Dans un récent ouvrage intitulé Aux origines de la catastrophe, conçu sous leur direction commune, Pablo Servigne, Raphael Stevens, les éditions Les Liens qui Libèrent et le magazine Imagine Demain le monde se proposent de répondre à la question « pourquoi en sommes-nous arrivés là ? », d’exposer tout un ensemble de causes — « sur la base d’un choix forcément subjectif et non exhaustif » — permettant d’éclairer le « déclin des sociétés humaines et de la biosphère qui se déroule sous nos yeux » en faisant appel à tout un panel de contributeurs — auteurs, scientifiques et autres philosophes.
Seulement, force est de constater que leur livre ne remplit pas l’objectif qu’il se fixe. Sa lecture ne nous permet pas vraiment de comprendre le désastre protéiforme que nous avons sous les yeux, pas plus qu’elle ne nous fait entrevoir des moyens potentiels d’y mettre fin. Et certainement, en premier lieu, parce que ledit désastre — « la catastrophe » — n’est pas défini, parce que ses vagues évocations sont également contradictoires. Si l’effondrement de la civilisation industrielle est parfois présenté comme « la catastrophe », comme l’insupportable « abîme » à ne surtout pas contempler trop longuement, d’autres fois, c’est celui de la biosphère qu’ils présentent comme le drame principal. Parfois, ils les évoquent ensemble comme s’ils résultaient tous deux d’une sorte de cause externe, comme si l’existence de la civilisation industrielle n’était pas précisément la cause de la destruction du monde naturel. D’autres problèmes spécifiques sont mentionnés par les divers contributeurs sans, pour autant, se rejoindre et former un ensemble ne serait-ce qu’à peu près clair et cohérent. Comment se mettre d’accord sur la méthode à employer pour résoudre un (ou des) problème(s) si nous sommes incapables de le(s) définir, de nous entendre sur sa (ou leur) nature ? Ce manque de cohérence globale de l’ouvrage se double d’un manque de cohérence interne à plusieurs de ses sous-parties, aux propos de nombre de ses contributeurs.
Alain Damasio, par exemple, le premier d’entre eux, dans un texte qui se veut critique du développement technologique, se prononce contre la high-tech et pour la low-tech tout en nous expliquant que nous devrions faire un tri entre les bonnes et les mauvaises applications pour smartphone, entre les bons et les mauvais jeux vidéo, les bonnes et les mauvaises technologies numériques, mettre en place « une éducation précoce et profonde au numérique et à ses usages », en vue de « trouver un art de vivre avec la technologie ». Au risque de souligner une évidence : il est incohérent de se prononcer contre la high-tech tout en se prononçant pour de bonnes technologies numériques : les technologies numériques font intégralement partie de la « high-tech » — cela revient à se prononcer contre la high-tech ET pour son bon usage, pour une bonne high-tech. Aucune analyse, chez Damasio, des implications de la high-tech en général, des implications sociales de chaque technologie — terme que l’on réservera à la désignation de toute haute technologie, en synonyme du concept de « technique autoritaire » de Lewis Mumford. Pas un mot sur cette ambivalence de la technique mise en lumière par nombre de ceux s’étant lucidement, honnêtement intéressés au sujet[1]. Ainsi que Langdon Winner le remarquait dans La Baleine et le réacteur (que nous allons bientôt rééditer aux Éditions Libre) : « certains types de technologie exigent une structure particulière de leur environnement social à peu près comme une voiture exige des roues pour pouvoir rouler. L’objet en question ne peut pas exister comme entité réellement fonctionnelle tant que certaines conditions, sociales autant que matérielles, ne sont pas remplies. Cette “exigence” désigne une nécessité pratique (plutôt que logique). » C’est pourquoi : « En examinant les structures sociales qui caractérisent l’environnement des systèmes techniques, on découvre que certains appareils et certains systèmes sont invariablement liés à des organisations spécifiques du pouvoir et de l’autorité. » Le smartphone (en lui-même : sa conception, sa production ; bien avant le genre d’application qu’il met à disposition) implique une organisation spécifique du pouvoir et de l’autorité, tout comme l’ordinateur, la voiture, le panneau solaire photovoltaïque, le barrage hydroélectrique, le jeu vidéo, etc. Si nous les voulons, nous aurons l’organisation spécifique du pouvoir et de l’autorité qu’ils appellent. En revanche, si nous voulons nous défaire de l’organisation spécifique du pouvoir et de l’autorité qu’ils requièrent, nous devons renoncer au smartphone (à la voiture, au panneau solaire photovoltaïque, etc.), nous en débarrasser (trier entre de bonnes et mauvaises applications mobiles n’y fera rien).
Paul Jorion, second contributeur, soutient que le principal problème de notre temps est la finance débridée, et qu’il nous faudrait, pour y remédier, revenir à « un ordre monétaire mondial tel qu’il en exista un de 1944 à 1971 », mettre « en place […] un nouvel ordre monétaire sur le modèle de celui que Keynes proposa en 1944 ». On passera vite sur de telles inepties, cette nostalgie d’un bon État et d’un bon capitalisme des temps d’avant.
Matthieu Auzanneau, lui, est chargé de nous dire que le problème sont les combustibles fossiles. Et c’est à peu près tout. Vive la transition.
Les contributeurs suivant, Géraldine Thiry et Philippe Roman, co-auteurs d’un texte sur le problème de la croissance, affirment qu’en conséquence de son idolâtrie par la civilisation industrielle, notre « capacité à maitriser la machine pour le bien commun […] risque de nous échapper » [je souligne]. Comme si nous n’étions pas depuis longtemps dépossédés de tout contrôle sur l’essentiel de ce qui régit aujourd’hui nos existences, sur la mégamachine, comme si celle-ci était encore au service de quelque « bien commun ». Le recours à d’absurdes euphémismes (volontaire ou non) caractérise bon nombre des textes rassemblés dans le livre.
Renaud Duterme, par exemple, nous explique que « le capitalisme a permis le développement d’un certain nombre de progrès » — sa définition du capitalisme est, en outre, plus que douteuse ; n’associant pas le capitalisme à ses caractéristiques les plus fondamentales, à savoir le travail, l’argent, la marchandise et la valeur, il soutient que l’URSS n’était pas capitaliste et qu’ainsi le communisme pose tout autant problème[2].
Cédric Chevalier, « économiste, ex-conseiller du gouvernement wallon en matière de développement durable et spécialiste des politiques publiques environnementales et économiques », dans un texte sur l’État par ailleurs relativement intéressant, vante la capacité des prétendues « démocraties » (encore un bel euphémisme) à se transformer « en économie de guerre comme exemples de mobilisation massive de la puissance d’agir collective pour parer à une menace existentielle ». La lutte contre le réchauffement climatique vaut bien une mobilisation militaro-industrielle des plus autoritaires.
Stephan Harding, docteur en écologie comportementale de l’université d’Oxford, dans un texte qui se veut critique du scientisme, se défend d’être en train de suggérer « qu’il faut arrêter l’aventure scientifique ». Il faut juste moraliser la science — laquelle nous aurait « rendus plus intelligents » et permettrait des choses formidables —, voilà tout. Cinquante ans après le plaidoyer d’Alexandre Grothendieck contre la recherche scientifique[3], autrement plus incisif et subversif, le texte de Harding passe pour de l’eau tiède.
La plus absurde et inutile des contributions est sans doute le texte critique du cerveau (oui, oui, vraiment) — écrit par Sébastien Bohler, ingénieur et rédacteur en chef de la revue Cerveau & Psycho — qui s’invalide lui-même. Le cerveau n’est en effet aucunement un problème, puisque tout dépend in fine de la culture, du conditionnement social. (La thèse de Bohler est également abordée dans cet article publié sur le site Bonpote.com.)
Cela dit, en matière d’absurde, le texte de François Roddier, physicien et astronome du CNRS, fait également très fort en affirmant que tous nos problèmes découlent des lois de la thermodynamique, lesquelles induiraient une véritable « fatalité de l’histoire », avant de pirouetter dans la promotion d’une solution consistant à établir une seule civilisation technologique mondialisée et unifiée d’individus « solidaires », une technocratie planétaire toute puissante (Roddier, en bon mécaniste, estime que « La vie c’est une machine qui avance avec l’information », que « Le vivant est un système qui dissipe de l’énergie, comme une machine à vapeur », lamente la perspective d’un effondrement de la civilisation et chante les louanges du numérique).
La dernière contribution, de Thierry Paquot, philosophe et professeur à l’institut d’urbanisme de Paris, traitant du problème de la démesure, est, comme d’autres, à l’image du livre : confuse, mièvre. La démesure — Une question de taille (Olivier Rey) — est effectivement un sujet crucial. Mais l’utopie permacole qu’il propose en horizon, où l’on « pare les toits de panneaux photovoltaïques, on abandonne sa voiture pour une bicyclette, on utilise la biomasse d’un quartier ou d’une ferme pour produire de l’énergie », etc., relève du fantasme simplet plus que d’une perspective politique rigoureuse. La production de panneaux solaires photovoltaïques (et cela nous renvoie à la première contribution, celle de Damasio) requiert selon toute logique une civilisation techno-industrielle, un système sociotechnique d’une certaine ampleur, avec hiérarchies sociales, division et spécialisation importantes du travail. Le paradis permaculturel qu’il imagine s’appuie toujours — au moins en partie — sur la démesure à laquelle il est censé s’opposer.
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Malgré tout ce qui précède, certaines contributions confèrent au livre un intérêt relatif — comme celle de François Jarrige —, et quelques-unes présentent un caractère légèrement subversif malgré, le plus souvent, une certaine fadeur. (Le livre n’est pas non plus aidé par une mise en page assez médiocre : beaucoup d’erreurs typographiques, etc.).
Dans l’ensemble, la confusion règne. On ne sait pas si le capitalisme est ou non intrinsèquement et irrémédiablement nuisible, à combattre (les principaux auteurs, Servigne et Stevens, se demandaient en introduction s’il pouvait ou non exister un « capitalisme non destructeur », la contribution de Jorion tend à répondre par l’affirmative tandis que celle de Duterme suggère l’inverse). On ne sait pas ce qu’est vraiment la démesure, on ne sait pas quel est le problème avec la technologie, et ainsi de suite. La conclusion du quatuor Servigne, Stevens, Chapelle et Chevalier ne parvient pas non plus à l’objectif qu’elle se fixe de « démêler le sac de nœuds » que constituent les diverses contributions du livre. Bref, un livre de plus pour ne pas dire grand-chose. Pour suggérer un peu tout, et un peu tout son contraire.
Au passage, on notera— ceci expliquant peut-être cela — que ses vingt-neuf auteurs (contributeurs) sont presque tous issus de milieux autorisés — universitaires, économistes, chercheurs (par exemple au CNRS), polytechnicien, normalien, ingénieurs, dirigeant d’ONG (The Shift Project) subventionnée par des entreprises majeures[4], rédacteur adjoint de la Revue Militaire Suisse, etc.
Les mouvements de lutte contre la catastrophe, contre l’ordre établi, contre le patriarcat, l’État, le capitalisme et leurs institutions, seraient sans doute bien inspirés de chercher — aussi, en tout cas — ailleurs, au-delà des analyses, des remarques et des propositions d’individus qu’ils ont tout particulièrement façonnés, et qui dépendent d’eux, en termes de statut social, de salaire, etc., plus étroitement que d’autres — et qui, souvent, sont ainsi amenés à les défendre.
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La confusion qui se dégage de cet ouvrage rappelle la confusion qui se dégage du travail général et des prises de position de Pablo Servigne. D’un côté, le pape de la collapsologie nous dit que la civilisation industrielle va s’effondrer, c’est sûr, vers 2030. De l’autre, avec sa participation au CNRR, qu’il faut que nous rendions la civilisation techno-industrielle biodurable et démocratique. Tout est possible. Choisissez vos croyances.
Car le CNNR, comme la plupart des gens et des groupes de gauche, promeut un rêve, une chimère : la transformation de la présente civilisation techno-industrielle capitaliste, antidémocratique et mortifère, en une civilisation techno-industrielle éco-durable et démocratique.
« Salariat protégé », « secteur bancaire […] socialisé », « argent domestiqué », « droit à l’emploi » pour toutes et tous, « La France prend l’initiative d’une conférence mondiale pour refonder les institutions de la société globale sur les principes de la participation des citoyens et de la coopération loyale entre les peuples », État qui garantit un bon usage des technologies numériques, etc. (licornes qui paissent en toute liberté, dans les prés, aux côtés des leprechauns). Voilà où peut mener la confusion de l’ouvrage Aux origines de la catastrophe.
D’une part, ces gens-là, du CNNR — nostalgiques de l’État-capitalisme des géniales « Trente glorieuses » — semblent ne pas saisir grand-chose de ce qui pose problème dans la forme de vie (anti-)sociale moderne (défendre le salariat, l’argent, le secteur bancaire, la technologie, misère), et d’autre part, ils planent loin, très loin, beaucoup trop loin.
« Il est rare cependant que les croyances réconfortantes soient en même temps raisonnables », remarquait Simone Weil. Qui nous enjoignait, par ailleurs, si nous voulons traverser dignement « cette sombre époque », à nous abstenir « de nous réchauffer avec des espérances creuses ».
Les espérances creuses du CNNR reflètent peut-être l’état d’impuissance, de dépossession dans lequel nous sommes tous englués. Le désastre ambiant génère un besoin de croire en n’importe quoi, et d’abord en des choses plutôt simplistes, faciles — comme en la possibilité de ne pas changer grand-chose, de conserver l’essentiel de la civilisation industrielle et de le rendre écologique et démocratique. Leurs espérances se fondent sur l’idée selon laquelle il est possible de rendre l’État (les structures étatiques) démocratique, de contrôler démocratiquement et de rendre soutenable la technologie, l’argent, le secteur bancaire, c’est-à-dire le capitalisme, sur l’idée selon laquelle le salariat est une condition désirable (le travail, une bonne chose), etc. Chacune de ces idées est terriblement contestable. Prises ensemble, il ne peut s’agir que d’une mauvaise blague. Theodore Kaczynski le souligne dans un livre que nous publierons bientôt aux Éditions Libre :
« Aujourd’hui encore, des personnes dont on aurait espéré mieux continuent d’ignorer le fait que le développement des sociétés [complexes] ne peut jamais être contrôlé rationnellement. Ainsi voyons nous souvent des technophiles déclarer des choses aussi absurdes que : “L’humanité est en charge de son propre destin” ; “[nous allons] prendre en charge notre évolution” ; ou “les gens [vont] parvenir à contrôler les processus évolutionnaires”. Les technophiles veulent “guider la recherche afin que la technologie améliore la société”, ils ont créé une “université de la Singularité” et un “institut de la Singularité”, censés “déterminer les avancées et aider la société à gérer les ramifications” du progrès technologique, et “garantir […] que l’intelligence artificielle […] demeure amicale” envers les humains.
Bien évidemment, les technophiles ne parviendront pas à “déterminer les avancées” du progrès technique, ni à s’assurer qu’elles “améliorent la société” et soient amicales envers les humains. Sur le long terme, les avancées technologiques seront “déterminées” par les luttes de pouvoir intestines entre les différents groupes qui développeront et utiliseront la technologie à seule fin d’obtenir plus de pouvoir. […]
Il est peu probable que la majorité des technophiles croient pleinement en ces âneries de “déterminer les avancées” de la technologie pour “améliorer la société”. En pratique, l’université de la Singularité sert surtout à promouvoir les intérêts de ceux qui investissent dans la technologie, tandis que les fantasmes concernant “l’amélioration de la société” servent à désamorcer la résistance du public vis-à-vis des innovations technologiques extrêmes. Une telle propagande n’est efficace que parce que le profane est assez naïf pour croire en toutes ces fantaisies.
Quelles que soient les raisons derrière l’ambition des technophiles souhaitant “améliorer la société”, certains d’entre eux semblent proposer des choses véritablement sincères. Pour des exemples récents, il faut lire les livres de Jérémy Rifkin (2011) et de Bill Ivey (2012). D’autres exemples semblent plus élaborés que les propositions de Rifkin et Ivey mais sont tout aussi impossibles à mettre en pratique. Dans un livre publié en 2011, Nicolas Ashford et Ralph P. Hall “offrent une approche unifiée et transdisciplinaire de la manière dont on pourrait parvenir à un mode de développement durable dans les nations industrialisées. […] Les auteurs promeuvent la conception de solutions multifonctionnelles au défi de la soutenabilité, intégrant l’économie, l’emploi, la technologie, l’environnement, le développement industriel, les règles juridiques nationales et internationales, le commerce, la finance, et la santé et la sécurité publique et des travailleurs.” Ashford et Hall ne proposent pas cela comme une abstraction type République de Platon ou Utopie de Thomas Moore ; ils croient véritablement proposer un programme pratique.
Pour prendre un autre exemple, Naomi Klein (2011) propose une “planification” massive, élaborée, mondiale, censée permettre de juguler le réchauffement climatique, régler nombre des autres problèmes environnementaux, nous apporter une “véritable démocratie”, “dompter le monde de l’entreprise”, résoudre le problème du chômage, minimiser le gaspillage des pays riches tout en aidant les pays pauvres à continuer leur croissance économique, nourrir “l’interdépendance plutôt que l’hyper-individualisme, la réciprocité plutôt que la dominance et la coopération plutôt que la hiérarchie”, “tisser toutes ces luttes dans un récit cohérent concernant la manière de protéger la vie sur terre” et, dans l’ensemble, promouvoir un agenda “progressiste” afin de créer “un monde sain et juste”.
L’on est tenté de se demander si tout cela ne constitue pas une sorte de blague sophistiquée ; mais non, à l’instar d’Ashford, de Hall, Klein est très sérieuse. Comment peuvent-ils croire un instant que les scénarios qu’ils imaginent pourront se concrétiser dans le monde réel ? Sont-ils totalement dénués de tout sens pratique concernant les affaires humaines ? Peut-être. Mais une explication plus réaliste nous est offerte par Naomi Klein elle-même : “Il est toujours plus confortable de nier la réalité que de voir votre vision du monde s’effondrer […]”. La vision du monde de la plupart des membres de la classe moyenne supérieure, qui comprend la plupart des intellectuels, est profondément dépendante de l’existence d’une société complexe et étendue, minutieusement organisée, culturellement “avancée”, caractérisée par un haut degré d’ordre social. Pour de tels individus, il serait extrêmement difficile, psychologiquement, de reconnaître que la seule chose pouvant nous permettre d’éviter le désastre qui se profile serait un effondrement total de la société organisée, une plongée dans le chaos. Ainsi se raccrochent-ils à n’importe quel programme, aussi fantaisiste soit-il, qui leur promet de préserver la société dont dépendent leurs vies et leur vision du monde ; et l’on suspecte qu’à leurs yeux, leur vision du monde soit plus importante que leurs propres vies. »
- Voir : https://biosphere.ouvaton.org/vocabulaire/2769-techniques-dualisme-des-techniques ↑
- Voir : http://www.palim-psao.fr/2020/01/l‑anticapitalisme-aujourd-hui-c-est-quoi-de-l-anticapitalisme-tronque-a-une-nouvelle-critique-sociale-par-clement-homs-mas-de-granie ↑
- https://sniadecki.wordpress.com/2012/05/20/grothendieck-recherche/ ↑
- « The Shift Project est financé par un système de mécénat provenant des entreprises membres. Les membres en sont Spie, la SNCF, EDF, Bouygues, Vicat, Saint-Gobain, Rockwool, Vinci et Kingspan. Les mécènes en sont Thalys, Keolis, Asfa, l’Ademe et Enedis. Son budget opérationnel pour 2017 se monte à près de six-cent mille euros. » https://fr.wikipedia.org/wiki/The_Shift_Project ↑
Source: Lire l'article complet de Le Partage