L’art médical versus la technoscience médicale

L’art médical versus la technoscience médicale

Entre les deux, qui fait le balancier ? 

Au niveau public, nous constatons l’autorité du système politique et de certains oligarques. 

Comme nous l’avons vécu pendant la covidémie, les «mesures sanitaires» ont été imposées, minimisant le rôle des médecins. Les dirigeants se sont  appuyés sur des données dites scientifiques qui les confortaient, en construisant une doxa loin du consensus bio-médical.

Le centre de leur doxa a été un coronavirus et non pas l’entité humaine.

L’art médical en a été réduit d’autant. 

Un psychiatre et anthropologue, Daniel Cosculluela nomme de façon magistrale l’état d’esprit qui nous gouverne :

«Théologiens de la santé et Inquisition scientifique»   

Attachons-nous au piège du pan médicalisme, la nouvelle religion de la santé éternelle. Celle-ci est devenue le nouveau sacré…

La dictature de la bien-pensance sanitaire érigée au rang de vérité scientifique incontestable et incontournable (cf : les menaces et plaintes diverses contre les Professeurs Raoult, Dr Perronne, Dre Nicole Delépine, Dr Gérard Delépine, Professeur Toussaint, etc…) multiplie les victimes de diverses natures (dont il n’est possible que d’ébaucher la pandémie) : économiques et médicales.

Toute cette période coronavirale a mis au grand jour les divisions du corps médical, l’écartelant entre l’art médical et les stratégies techno-scienfiques. On nous a exposé les médecins de plateaux : «Médecins stars du petit écran, pour le meilleur et pour le pire».

Depuis l’apparition du coronavirus, pas un jour ne passe sans qu’un médecin intervienne sur les plateaux télé pour décrypter l’évolution de l’épidémie ou commenter la stratégie gouvernementale. Si cette omniprésence médiatique a permis de relayer des messages de prévention, elle a aussi donné lieu à quelques prises de position excessives de prétendus experts, parfois préjudiciables à la profession. 

Des médecins se sont soumis aux mesures «sanitaires», refusant de voir les malades ou vaccinant les bien-portants. Certains se sont vite révoltés et c’est la justice publique qui les a exclus de leur poste : «Deux ans de suspension pour un médecin belge !

Le Docteur Alain Colignon a considéré comme inacceptable les directives des autorités de santé lors de la crise Covid. Avoir dit aux patients de ne pas se rendre chez leurs médecins prétendant qu’il n’y avait pas de traitements était contraire à la réalité du terrain et aux fondements de la médecine. Cette doxa est la cause majeure des décès et des tensions dans les hôpitaux.

Le problème s’est répandu au-delà des frontières. En Suisse romande, c’est la société vaudoise de médecine qui a suspendu un médecincar il a osé critiquer les décisions prises pendant la pandémie :

Cette crise sanitaire s’est révélée une crise multiple, multifactorielle (politique économique, sociétale, des médias, de l’info, médicale et scientifique , crise qui touche le côté religieux ou spirituel. On est dans une phase où la médecine a des capacités extraordinaires d’interférer avec le génome humain en particulier.

En France des médecins se sont regroupés pour densifier leurs créativités. Ils en ont fait un bilan lors d’un congrès :«Saintes, les 18 et 19 mai : Conférences-débats organisée par RéinfoLiberté et célébration de la 100ème émission du CSI» L’art médical cherche à englober les différentes dimensions d’un être humain – physique, énergétique, affective, mentale et supraphysique – et se soumet aux lois qui les relient.

Par les technosciences, des humains cherchent à maîtriser une fonction complexe pour se conformer àun concept, un désir, une volonté qu’un ou des individus déterminent. Or, tout étant relié dans l’entité humaine, il y a forcément des connexions qui ne seront plus considérées lors d’une intervention.

Un modèle imposé est celui de la vaccination. Cela fait des décennies que les faits prouvent que les produits vaccinaux peuvent provoquer des effets secondaires. Avant les drames consécutifs aux injections géniques contre le covid, faussement appelés vaccins mais dont le vocable a été utilisé politiquement, il y a eu les pathologies très sévères causées par le vaccin Gardasil : «Conférence du Dr G. Delépine – Gardasil : inutile, ruineux et dangereux»

Et encore : le vaccin provoque la maladie qu’on veut éradiquer : «Vingt-six cas de poliovirus confirmés en RDC»

La RDC fait face à une nouvelle épidémie de poliomyélite à travers le pays où vingt-six cas de poliovirus dérivés du vaccin  sont confirmés,

Evidemment, on peut dire que sur le nombre d’enfants vaccinés, c’est peu mais on n’étudie pas ou du moins on ne mentionne pas les diverses conséquences sur les autres enfants,ni à court, ni à long terme.

Les vaccins apportent d’autres types de lésion : «Les vaccins causent l’autisme»

Selon l’une des autorités les plus respectées au monde en matière d’autisme, la totalité ou la quasi-totalité des 100 scientifiques les plus réputés dans le domaine de l’autisme savent que les vaccins sont le principal moteur de la crise de l’autisme en Amérique. Ils ne sont tout simplement pas autorisés à en parler en public. S’ils le faisaient, ils perdraient leur financement, leur emploi et feraient l’objet de techniques d’intimidation de la part de leurs pairs. Ils se taisent donc et personne ne sait ce qu’ils pensent vraiment.

Tout praticien de l’art médical sait qu’il s’agit de prendre en compte l’ensemble de la santé, la globalité des troubles et pas seulement la maladie ciblée. Il est temps de se poser la question :

«Les enfants non-vaccinés en meilleure santé?»

S’il est bien quelque chose que tout le monde souhaite connaître, c’est la réponse à cette question fondamentale: quel est le bénéfice des programmes de vaccination pour la santé des enfants. Les pro-vax sont convaincus d’une balance bénéfice-risque positive. Les voix critiques, elles, ne mesurent pas la véracité d’une affirmation au nombre de fois qu’elle est répétée et réclament les études qui pourraient définitivement donner raison à l’un des deux camps.

Certains médecins s’appuient énormément sur les technosciences : les chirurgiens effectuent les «chirurgies d’affirmation de genre.»

Pour être complètes, il s’agit aussi des reconstructions génitales.

Il s’agit d’intervention qui durent toute la journée. Est-ce que les médecins font le bilan de la portée sur l’organisme entier de tous les coups de bistouri nécessaires et de la durée de la narcose, ou encore de la rupture sociale qui en résulte? Evidemment, s’ils se limitent au résultat obtenu, ils peuvent prétendre : Cela a été une semaine très excitante pour nous… Cela a été quelque chose de vraiment merveilleux pour nos patients. Comment peuvent-ils parler à la place de leurs patients sans connaître toutes les suites à long terme ?

Ils décrètent aussi « Les chirurgies d’affirmation de genre ne sont pas des opérations de chirurgie esthétique. Ce sont des chirurgies qui transforment les vies, elles sont vitales ». Il est évident qu’il y a une transformation vitale que les opérés devront assumer durant toute leur existence, à moins qu’ils l’interrompent brutalement : «Une étude danoise révèle que les personnes transgenres sont plus susceptibles de mourir par suicide que la population générale»

Certains cherchent aussi à détransitionner une fois que l’illusion est passée et que la réalité leur rend la vue :«Choc frontal avec le quotidien des hommes : Une femme biologique regrette sa transition»

Ceux qui pratiquent les reconstructions ne se doutent certainement pas de toutes les conséquences possibles et à quel point on peut s’éloigner de l’art médical : Un activiste trans veut être le premier transgenre à avorter après la greffe d’un utérus.

Ça se complique ! Les transgenres mâles réclament désormais la possibilité de se faire greffer des utérus pour pouvoir avoir des enfants. La femme ne se résumant pas à son appareil reproducteur, l’opération est déjà ardue et les possibilités d’avoir un enfant hautement hypothétiques. Mais un activiste transgenre mâle vivant comme une femme a réussi à placer la barre encore plus haut. Ce monsieur veut désormais se faire greffer un utérus pour pouvoir ensuite subir… un avortement !

L’utérus est aussi visé pour d’autres causes : «À cause du climat, ils ciblent le ventre des Africaines»

Avant, on disait que la surpopulation était la cause de notre pauvreté….Après le leitmotiv de la pauvreté vient celui du climat : les mamans le mettent en danger !!!

L’art médical obéit à des principes de base depuis des siècles. Actuellement, on rappelle celui de «primum non nocere» qui est trop facilement escamoté. Il est temps de revenir à la locution latine complète «Primum non nocere, secundum cavere, tertium sanare», traduite par : «premier ne pas nuire, deuxième faire attention, troisième soigner».

Pendant la covidéme, ce principe a été bafoué de différentes façons. On peut en donner l’exemple de l’obligation du port du masque magistralement expliquée dans cette «métaanalyse en population générale» de Guillaume Basquin (Du port du masque facial en population générale, une méta-analyse).

L’art médical inspire les humains à se développer. Selon les époques, ce souffle a stimulé différents courants. Il y a plusieurs siècles, la sagesse portait à susciter des aspirations telles que «connais-toi toi-même et tu connaîtras les dieux et l’univers.» Ainsi les thérapeutes insufflaient un mouvement de connaissance vers un monde toujours plus vaste et plus subtil. Actuellement, la technoscience développe des instruments pour aller vers l’infiniment petit. Ainsi la génétique étudie le génome. Elle peut être au service de l’humain, comme elle peut être utilisée pour le détruire : des armes biologiques sont développées selon les dernières découvertes de la science.

Cette vidéo compile différents documents concernant les armes biologiques sur des bases ethniques. On y découvre ainsi des drones capables de larguer des moustiques infectés de façon à contaminer une population ciblée.

L’entité humaine n’est pas la seule à subir les conséquences des technosciences. Les arbres aussi :«Un Empire Industriel en Forêt Française | EP 4 : Alliance Forêts Bois.

Les arbres ne hurlent pas quand on les abat et nous pouvons nous désoler de voir le paysage qui en résulte : «Visualisations des parcs éoliens Mollendruz, Sur Grati et Bel Coster»

Un commentaire en dit long sur le prétexte de transition énergétique :

Des socles en béton d’environ 2000m3 de béton pour une seule éolienne, soit 200 trajets aller et retour de camions transportant 10m3, chacun des véhicules polluants roulant sur des routes à construire, et ensuite l’acheminement des machines… Des renseignements que les promoteurs cachent délibérément, ces personnes résidant de plus hors du canton de Vaud, loin des nuisances. Des coûts de plus de 5 millions par éolienne, des déficits colossaux à la charge du contribuable et une nette augmentation du prix du KWh. Quel magnifique gâchis !

Ces chiffres semblent excessifs mais il faut tenir compte aussi du prix de l’extraction des minerais qui saccagent des régions, de la fabrication de antennes, des pales, du rotor, et du transport pour les amener sur place : «Sur la route, avec les premières éoliennes vaudoises».

Pales, moyeux, rotors, tubes… Les pièces d’acier et de résine des éoliennes de Sainte-Croix se mesurent en tonnes et en millions. Elles arrivent par convois extraordinaires. Un défi logistique depuis la mer du Nord.

De même que la nature bénéficie de la diversité, ainsi l’art médical la cultive aussi.Or, nous assistons à la réduction de la biodiversité comme à celle du rôle du médecin envers son patient,par exemple en le délimitant énormément avec le Dossier Electronique du Patient.

Un des objectifs est de favoriser la compétence des patients en matière de santé. Qu’en est-il de la présence à soi de chacun ? De l’apprentissage de la connaissance de soi ? Elle est réduite à des données principalement basées sur des résultats d’analyses et de radiologie.

Il est aussi notifié que le dossier électronique du patient est un dossier virtuel du patient : il se fonde sur le principe de la gestion partagée des données. Ainsi l’art médical est devenu davantage une collecte de données technoscientifiques. L’interrogatoire et l’examen dupatient en sont réduits d’autant et incitent beaucoupmoins le praticien à développer sa sagacité et son empathie.

Les lois de la nature savent toujours reprendre leurs droits : la médecine intégrative se développe.

Un collectif en France s’est constitué, dont la devise est riche de sens : «Tous pour UNS et UNS pour tous». Il cherche à promouvoir une vision globale du soin par la mise en place de réseaux de soin intégratif respectueux de l’humain et du vivant. …. et à accompagner les personnes dans l’autonomie vers une santé globale.

Son nom évoque pleinement son intention : «Une Nôtre Santé»

Marie-France de Meuron


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Source : Lire l'article complet par Mondialisation.ca

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