« Dans l’imaginaire détraqué de ceux qui tirent les ficelles du pouvoir… »

« Dans l’imaginaire détraqué de ceux qui tirent les ficelles du pouvoir… »

L’UE est-elle définitivement tombée dans l’escarcelle des mondialonazis ?

Continuer ou arrêter ?

L’édito politique de Libre Consentement Éclairé
    Que faire ?   Philippe F. est un des donateurs réguliers grâce à qui nous pouvons publier cette lettre depuis plus 6 ans maintenant (cela fait un bail, lorsqu’on y pense).   Philippe F. fait partie des donateurs qui ont répondu à la question « Que faire ? » posée dans la dernière lettre de Pierre Lefevre (« Devons-nous continuer ou arrêter ? »).   Nous publions sa réponse aujourd’hui, et nous en publierons d’autres dans les prochains jours.   Nous publions également la brève réponse de Pierre Lefevre.
   Marie-France D.
Le 21 mai 2024

Cher Monsieur Lefevre,

   Je vous remercie pour votre lettre confidentielle que je lis toujours avec beaucoup d’attention.

L’étau des mondialonazis se resserre sur nous et je suis préoccupé comme vous par notre avenir à tous.

   Que pouvons-nous faire ? Cette question reste fondamentale alors que le monde semble s’écrouler autour de nous.

   En premier lieu, il faut rester vivant et, autant que possible, libre de ses mouvements.

Ensuite, il faut continuer à s’informer et à informer… toutefois en prenant garde aux manipulations qui détournent notre attention des vraies questions. Pour exemple : les récents aveux de Fauci à propos de la création du C-19 en laboratoire à Wuhan ne sont là que pour soutenir la thèse des virus (et donc maintenir la peur), évinçant du même coup que le vrai danger n’est pas là, mais bien dans les vax (hein !) et même plus haut, dans l’imaginaire détraqué de ceux tirent les ficelles du pouvoir. Le vrai défi aujourd’hui est de garder sa lucidité au milieu de ce déferlement d’informations dont beaucoup sont mensongères ou contradictoires.

   Enfin, il me paraît important de rester en lien d’une manière ou d’une autre pour se soutenir et s’entraider. La communication au sein d’un réseau (de résistance) est essentielle pour que celui-ci survive et se développe, sans parler de la coordination de certaines actions communes qui pourraient s’avérer nécessaires dans un avenir peut-être pas si lointain.

   Pour toutes ces raisons, je pense que votre lettre doit subsister, mais qu’il est aussi important de vous protéger d’attaques ou de sanctions inutiles. L’art du combat est un équilibre de coups portés et d’esquives. Nos adversaires le savent très bien et sont mieux entraînés que nous.

   Ainsi, passer à une formule payante pourrait être une solution pour vous protéger et qui de plus impliquerait vos lecteurs. Si vous choisissez cette option, vous pourrez compter sur mon soutien.

Peut-être pourriez-vous également envisager un canal de diffusion sur Telegram. On y trouve bon nombre de chercheurs indépendants qui font un important travail d’information. Dans cette grande famille des complotistes, chacun participe à sa façon au réveil de la population… et j’imagine qu’il y a encore une multitude de mensonges insoupçonnés et de vérités à découvrir.

   Merci pour vos investigations et vos communications si précieuses. J’espère pouvoir continuer à vous lire et pourquoi pas à échanger avec vous et avec d’autres personnes du réseau libre. ET surtout, surtout… restons lucide sur la véritable nature de la réalité.

   Bien cordialement,

   Philippe F.

Réponse de Pierre Lefevre à Philippe F.

   Cher ami,

   Merci pour votre réponse à nos interrogations.

   L’option de la formule payante de nos lettres permettrait sans doute de diminuer considérablement les risques de leur diffusion publique, car le danger est celui-là (ils s’attaqueront sans aucun doute également aux correspondances privées).

   L’arsenal judiciaire que représente la conjugaison des trois lois (loi dite « contre dérives sectaires », loi de « programmation militaire » et loi visant à « sécuriser et à réguler l’espace numérique » leur permettra de sanctionner, y compris avec des peines de prison, le moindre propos fondé, mais désagréable, tenu publiquement vis-à-vis d’un protégé des politiciens ou des hauts fonctionnaires…

   Tous les propos tenus, sur toutes les plateformes publiques comme X, Telegram, YouTube Facebook, etc., seront concernés.

   La question n’est donc pas : « Où s’exprimer, sur quelle plateforme publique », mais : « Comment s’exprimer en privé (sans faire appel aux plateformes ou aux sites web), tout en informant le maximum de monde ».

   Bien cordialement

   Pierre Lefevre

Rappel

   – La loi dite « contre dérives sectaires », il sera très bientôt impossible de critiquer Big Pharma ainsi que les décisions des politiciens professionnels prises au nom de la « Santé publique ».

   – La loi de « programmation militaire », il sera possible aux politiciens professionnels au pouvoir et à leurs millions de fonctionnaires aux ordres, de réquisitionner à tout moment le moindre opposant pour l’assigner à une tâche humanitaire, par exemple en Ukraine, en Afrique, à Gaza, et de saisir tous ses biens.

   – La loi visant à « sécuriser et à réguler l’espace numérique » (loi SREN), projet de loi adopté par les sénateurs à la quasi-unanimité le 2 avril 2024 (seuls deux sénateurs ont voté contre) : sera « puni de 3 750 euros d’amende et d’un an d’emprisonnement le fait de diffuser en ligne tout contenu qui, soit porte atteinte à la dignité d’une personne ou présente à son égard un caractère injurieux, dégradant ou humiliant, soit créé à son encontre une situation intimidante, hostile ou offensante ».

   Je rappelle également que « Cela signifie simplement que nous sommes en plein arbitraire et que le moindre propos fondé, mais désagréable, tenu vis-à-vis d’un protégé des politiciens ou des hauts fonctionnaires, pourra vous envoyer en prison pendant 1 an et vider votre compte bancaire de 3 750 €… »

Pierre Lefevre
Co-fondateur
Libre Consentement Éclairé

Source : Libre Consentement Éclairé

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À propos de l'auteur Profession Gendarme

L'Association Professionnelle Gendarmerie (APG) a pour objet l’expression, l’information et la défense des droits et intérêts matériels et moraux des personnels militaires de la gendarmerie et de toutes les Forces de l'ordre.Éditeur : Ronald Guillaumont

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