par Guy Boulianne.
Suite à mon article concernant Neil Keenan et les 124,5 milliards de dollars US de billets de la Réserve fédérale qui lui ont été volés par Daniele dal Bosco, secrétaire de la Loge P2 et conseiller financier du Vatican, j’ai reçu un courriel de la part de Monsieur Christian Basano, expert-comptable de Nice. Celui-ci m’écrit : « J’ai lu avec beaucoup d’intérêt votre dernier article : “L’argent détourné par les Khazars sera récupéré. Neil Keenan a découvert des milliers de comptes occultes des Élites à la Banque du Vatican”. Cette année, nous fêtons les 30 ans de la fin de la guerre du Golfe et le début de l’extinction des puits de pétrole en feu qui ont été éteints à une vitesse record notamment par l’utilisation de brevets de Joseph Ferraye qui a donné lieu à un vrai-faux contrat et au règlement de plus de 23 milliards US $ dont 8.419.987.200 US $ au nom de Christian Basano. Le montant total des comptes légalisés par les notaires s’élève à : 23.005.341.300 US$ (!?).
« Ayant refusé de signer les ordres de virement chez M° Mottu, notaire à Genève, le nom Christian Basano est toujours sur les écrans notamment au Royal Trust Bank à Toronto comme il est mentionné dans le rapport d’activité sur les comptes de Monsieur Christian Basano par la société S B Holding qui précise : Neil. »
Il poursuit plus loin : « Pour mieux comprendre cette incroyable affaire où la réalité dépasse la fiction, je vous invite à regarder le reportage sur l’extinction des puits de pétrole en feu au Koweït qui devait être diffusé le 12 mai 2000 dans l’émission Sans Aucun Doute. Ce reportage a été supprimé sur ordre de Dominique Strauss-Kahn (DSK) qui était ministre de l’Industrie en 1991 ; ayant accès à l’INPI, il a détourné les brevets de Joseph Ferraye sur l’extinction des puits de pétrole sans utilisation de la dynamite. Vous pouvez également découvrir la réédition de mon premier livre sur cette affaire « Jeu de Banques » qui a été censuré lors de sa sortie. Je pense que Neil Keenan pourrait avec son équipe retracer la piste de l’argent où les banques ont utilisé la technique des comptes « transaction » hors bilan. Je reste à votre entière disposition pour tous renseignement complémentaire. » Le lendemain. M. Basano m’écrit à nouveau afin de préciser : « Concernant Neil Keenan, il faudrait à tout prix pouvoir le contacter car c’est la même méthode qui a été employée pour détourner des fonds. »
Le Koweït Gate : une bien étrange affaire
Christian Basano a déclaré que Monsieur Dominique Strauss-Kahn est un voleur et un usurpateur. Selon M. Basano, en sa qualité de ministre délégué à l’Industrie et au Commerce Extérieur dans le gouvernement d’Édith Cresson en 1991, il a volé les brevets sur l’extinction des puits de pétrole en feu sans utilisation de la dynamite de Monsieur Joseph Ferrayé déposés à l’INPI les 11 et 16 avril 1991, ainsi que le 2 mai 1991. DSK est un spécialiste du vol de brevets. Le 26 juillet 1991, il écrit à Monsieur Hamoud Abdallah al-Raqbah, Ministre du pétrole Emirat du Koweït :
« Monsieur le Ministre. J’ai été informé de l’intention de la Kuwait Petroleum Company de conclure un contrat avec le consortium français conduit par HORWELL en vue d’éteindre des puits en feu sur certains champs pétroliers de votre pays. Le gouvernement français est très sensible à cette intention. Il souhaite vous confirmer toute la confiance qu’il a dans les capacités de ce consortium à mener à bien une telle mission. En espérant que les négociations en cours pourront aboutir aussi vite que possible, et en vous remerciant par avance pour votre aide, je vous prie de croire, Monsieur le Ministre, à l’expression de mes sentiments les meilleurs.. »
En sa qualité de ministre de l’Économie et des Finances dans le gouvernement de Lionel Jospin en 1999, il est intervenu pour déstabiliser Christian Basano en ordonnant sa radiation du Tableau de l’Ordre des Experts-Comptables d’une part, et d’autre part un contrôle fiscal ! En sa qualité de mari de Anne Sinclair (TF1), il a fait annuler le reportage sur l’extinction des puits de pétrole en feu au Koweït pré-enregistré dans l’émission Sans Aucun Doute du 12 mai 2000. Dans son livre “Le rapport Omertà 2002”, Sophie Coignard interroge Bernard Nicolas (journaliste qui était présent sur le plateau de l’émission du 12 mai 2000), page 261 : — Vous avez déjà été victime de censure dans l’exercice de votre métier ?
« Plusieurs fois. Dès lors qu’il était question de personnage politique de premier plan, les ennuis commençaient à TF1… Une fois, j’avais fait un reportage sur une histoire politico-financière compliquée qui devait passer dans l’émission de Julien Courbet Tout est possible. Dans la journée, une autopublicité annonce le thème de mon enquête. La direction de TF1 s’inquiète : cette affaire peut-elle être gênante pour Dominique Strauss-Khan ?… J’étais interloqué : rien n’indiquait dans mon enquête que DSK fût mêlé en quoi que ce soit à cette affaire. Soit on se trompait en haut lieu, soit on en savait plus long que moi….. Les téléspectateurs qui ont vu la bande-annonce n’ont jamais vu la suite… »
Quel est le montant des rétro-commissions encaissées par DSK sur le détournement des sommes payées par le Koweït pour l’utilisation des brevets Ferraye ? Avec quel argent DSK a-t-il acheté ses tableaux longtemps stockés au port franc de Genève ?
Il est important de faire savoir que concernant la somme de 22 milliards US $ (correspondant au devis envoyé le 14 juin 1991 au Directeur de la Kuwait Bank), Christian Basano, malgré les pressions et les menaces, n’a pas voulu signer ses lettres d’instruction bancaire préparées par les notaires car il avait compris (de par son expérience d’auditeur de banques notamment à Monaco) : la manipulation et le piège pour déposséder totalement les Ayant Droit Economique Réel (clients « effectifs ») de la possibilité de regard, par rapport aux sommes versées sur chacun desdits comptes (…). Ce que n’ont pas compris à temps les autres ADER qui furent malheureusement à l’époque, tous manipulés par leurs avocats respectifs.
Monsieur Denis Robert, pour avoir eu le courage de dénoncer le mécanisme de la corruption, a été condamné par des Juges corrompus ! Aujourd’hui, les dirigeants de Clearstream ont peur : par communiqué de presse, ils proposent à Denis Robert un cessez le feu ! Ce dernier a écrit dans son deuxième livre sur l’affaire Clearstream, “La Boite Noire”, Chapitre 13, page 119 :
« L’expert-comptable niçois, Christian Basano, est le héros malheureux d’une histoire très complexe liée à la Guerre du Golfe. Au lendemain du conflit, des Koweïtiens aidés par des complices occidentaux auraient détourné 16 milliards de dollars provenant de l’aide internationale (et donc, des banques de plusieurs pays). Ces fonds devaient en principe financer l’extinction des puits de pétrole koweïtiens, selon une méthode imaginée par un chercheur génial ayant déposé un brevet. Christian Basano était alors un proche de ce chercheur. Avec lui, il avait créé une société et envoyé des photocopies de son passeport pour obtenir un visa koweïtien. L’affaire Basano a commencé quand ce dernier s’est rendu compte, quelques années plus tard, qu’on s’était servi de son identité et de ses papiers pour transférer, via une banque hollandaise, des fonds provenant du Koweït. Ces fonds seront investis en titres grâce à un compte non publié de Clearstream. Christian Basano se déplacera jusqu’à Luxembourg et livrera ses documents aux autorités grand-ducales. On y trouve la liste et les références précises de tous ces comptes ».
Monsieur Yves Bertrand, l’ancien directeur des renseignements généraux, dans son livre “Je ne sais rien… mais je dirai (presque) tout” évoque cette affaire (pages 187 à 189) : « …Affaire qui, à l’heure où nous parlons, semble porter malheur à ses protagonistes puisque, parmi eux, trois décès suspects sont à déplorer : un ancien agent de la DST, un financier suisse de la société BSC Finances, et le président de la société OIL SA… » Et, si Yves Bertrand disait tout ce qu’il sait sur DSK et les autres !…
M° Gilbert Collard, avocat de Joseph Ferraye, qui était présent sur le plateau de Sans Aucun Doute, avait très justement déclaré : « Ce serait la plus grosse escroquerie du siècle sur fond de politique et de guerre du Golfe ! la plus grande escroquerie du siècle, escroquerie incroyable, enjeu colossal; on ne joue plus avec des rigolos, on joue avec de vrais tueurs, des hommes prêts à tout sous prétexte qu’un Etat a des intérêts qui sont reliés par d’autres Etats ». Julien Courbet, le présentateur, a quant à lui annoncé : « Cette affaire pourrait remonter très très très haut ». Mais, c’est très courageusement que M° Gilbert Collard a très vite abandonné le combat…*
Détournement des indemnités de la Guerre du Golfe ?
Le 20 septembre 2014, un honorable pilote de ligne en retraite, Jean-Charles Duboc, explique comment le syndicat des pilotes d’Air France a gagné face au gouvernement et à la direction d’Air France, lors de la grève de juin 98 : en vendant (cher) son silence sur cette si jolie poubelle du détournement des indemnités de la 1ère guerre du Golfe versées à la France en 91. À cette époque, Dominique Strauss-Kahn est le Ministre de l’Économie et des Finances de l’ancien militant trotskiste-lambertiste lié la CIA du nom de Lionel Jospin. (Euroclippers, 20 septembre 2014)
À l’issue de la première guerre du Golfe, quelques pays arabes font partir vers la France plusieurs milliards de dollars, pour indemniser l’armée française de ses frais et pour ses morts de la première guerre du Golfe. Jean-Charles Duboc parle de 5 milliards d’Euros actuels.
Au lieu d’arriver du côté du Trésor Public et des militaires, ces milliards arrivent sur un compte suisse au nom du Président de la République de l’époque, un certain François Mitterrand. Paix à son âme, elle en a bien besoin. M. Dominique Strauss-Kahn, actif complice de ce détournement de fonds avec un certain Dumas, est, quant à lui, bien vivant. Les militaires, qui savent vérifier ce genre d’informations, ne sont pas très contents, semble-t-il. Questions : combien l’avocat Dominique Strauss-Kahn a-t-il touché pour couvrir cette escroquerie présidentielle mis en œuvre aux dépens direct des militaires ? Un approfondissement d’enquête du côté de Clearstream nous le dira peut-être.
Vol de brevets et détournements de fonds ?
Christian Basano accuse publiquement et solennellement ici même M. Strauss-Kahn Dominique, ancien ministre des Finances de Lionel Jospin et à ce titre tutelle de l’INPI (Institut National de la Propriété Industrielle), de : vol de brevets, abus de pouvoir et participation active et rémunératrice à une opération américano-koweitienne de 23 milliards de dollars issus des fonds Pétrole contre Nourriture, transformés en monnaie sonnante et trébuchante via Clearstream pour quelques gangsters d’État, dont… M. le futur Directeur Général du Fonds monétaire international (FMI).
L’histoire de Christian Basano est une des plus belles et invraisemblables mais bien réelle histoire de bricolage financier international de ces dernières années, avec quelques morts et beaucoup d’argent, au dépens, notamment, du peuple irakien. Et il est très clair que le citoyen Dominique Strauss-Kahn, né le 25 avril 1949 à Neuilly-sur-Seine (92) y est mouillé jusqu’au cou…
Il semble bien que l’institution judiciaire française se décide enfin à enquêter sur ce dossier, à partir d’une terrifiante faille du système bancaire international : l’identité de Christian Basano a été utilisée, sans aucune signature de sa part, pour gérer, via plusieurs banques, dans des comptes « offshore », la modeste somme de 8 milliards de dollars. Quand Christian Basano émet sur papier libre des chèques sur les comptes dont il est officiellement toujours titulaire, les banques ne savent rien répondre d’autre, pour ne pas payer, que « le compte a été fermé ». Sur ordre de qui ? Quand ? Où est passé l’argent ? L’ennui est que Christian Basano a beaucoup de preuves très amusantes dans ses dossiers des invraisemblables méthodes de corruption internationale des élites politiques.
Perversion d’État et jouissance de la transgression
La perversion d’État pourrait se décrire ainsi : j’ai le pouvoir ; j’ai donc tous les pouvoirs. Pouvoir de baiser qui je veux quand je veux, même si le qui en question ne veut pas (existe-t-elle, d’ailleurs, autrement que comme objet à jouir ?). Pouvoir de prendre l’argent là où il passe, quand je veux, comme je veux. Pouvoir, ainsi, particulièrement jouissif, de baiser Marianne et, en prime, de lui piquer son portefeuille. La loi n’est pas faite pour le pervers. Non, le pervers d’État préfère cette posture bien plus confortable : faire les lois pour les autres, décider qu’elles ne sont pas faites pour lui et jouir intimement de leur transgression au quotidien.
Toutes ces informations confirment bien les conclusions du rapport d’audit réalisé par la société suisse SB Holding sur les comptes de « Christian BASANO » :
- Que divers organismes bancaires ont travaillé directement avec le nom de Monsieur Basano pour la réception et le transfert des fonds.
- Que des organismes financiers ou bancaires ont simplement servi de relais dans l’utilisation du nom de Monsieur Basano pour l’ouverture de comptes mais que souvent ces comptes n’ont servi que pour une seule transaction, et qu’ils restent à ce jour, malgré tout ouverts.
- La plupart de ces comptes sont organisés à plusieurs tiroirs, avec un compte principal qui réceptionne le virement, mais qui exécute immédiatement la répartition qui se fait automatiquement sur des comptes secondaires sous le même N° avec des lettres ou des chiffres b,c,d, de ce fait la transaction semble être moins importante.
Pourquoi sommes-nous aujourd’hui au courant de ces détournements ?
Parce que et entre autres, le fils du Ministre du pétrole du Koweït de l’époque (1991) n’avait pas eu sa part du « gâteau ». Certains documents ont alors été remis à Daniel Levavasseur, l’ex-agent de la DST qui a malheureusement été retrouvé pendu à 15M du sol au Dramont (Var) le 2 février 2003, comme le Directeur de la banque Ambrosiano. Cet « accident » de parcours montagneux a donc bien été signé.
Il avait notamment déclaré quelques temps avant aux journalistes français, Alain Dusart et Frédéric Menu : « Il y avait effectivement un dossier et un système de manipulation financière dont ont profité des princes koweïtiens et d’autres… Par un savant mécanisme de comptes bancaires et de crédits imaginaires, des milliards de dollars ont circulé à la faveur de la juteuse après guerre ». (Cette déclaration fut publiée le 13 mai 2000 par l’Est Républicain). Juste avant sa « pendaison » il travaillait avec son associé installé à Genève, Yves Baeumlin, fondateur de la société Intelynx à Genève, sur le scandale « Pétrole contre Nourriture » d’une part, et d’autre part, avec l’avocat belge Luc Gheysens, dans le cadre de la défense des 50 000 Palestiniens expulsés sans motif valable du Koweït. Ils déposent une plainte contre le Koweït au nom de la Cooperative society for the Gulf war returnees en réclamant près de 2,5 milliards de dollars en réparation du préjudice subit.
André Sanchez, qui était quant à lui, co-signataire avec Daniel Levavasseur, Joseph Ferrayé et Christian Basano de la convention de cessions de droits litigieux préparée par le notaire genevois Me Mottu, est mort lui aussi : « accidentellement » le 15 mai 2001 par l’explosion de sa voiture !
« Il n’est point de secret que le temps ne révèle »
Jean Racine / Britannicus
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ADDENDUM DU 16 JUIN 2021 :
Bonjour Guy,
Vous avez fait un super article qui résume bien le Kuwait Gate. La vérité doit éclater (enfin) au grand jour comme celle du COVID 19. Il ne faut pas oublier que celui qui a organisé ces détournements est le directeur de la National Kuwait Bank, Isam Al Sager qui nous a invité au Koweït en 1991 et qui est aujourd’hui le Président de la NBK ; Bref rappel historique ci-après :
Nous apprenons que le 16 février 2014 la NBK nomme Isam Al Sager (un vétéran de la banque, il a rejoint NBK en1987 et a occupé plusieurs postes de direction depuis 1992) nouveau PDG du groupe. Le nouveau Président de la National Bank of Koweït, Isam Al Sager, est à l’origine d’un détournement de plus de 23 milliards $ avec la complicité de la France.
Concernant Neil Keenan, je lui ai envoyé le dossier. Son collaborateur, Kevin MacKinnon, m’a répondu : « Monsieur Basano. Un grand merci pour votre correspondance avec M. Keenan. Il était rempli de joie de recevoir la lettre et les pièces jointes. Il m’a demandé de le traduire pour lui et de répondre. Il vous contactera sous peu concernant les spécificités de votre correspondance ainsi que pour mieux comprendre comment ces transactions se sont déroulées. Sincèrement. »
Je ne manquerai pas de vous tenir informé. Je pense qu’il faut mettre la pression sur la NBK et le Royal Trust Bank (où le nom Christian Basano serait toujours sur les écrans bien que le compte ait été vidé) pour essayer d’obtenir un accord transactionnel. Ce n’est pas par la justice que nous y arriverons.
J’ai demandé une audience à Bruno Lemaire qui a le dossier depuis plus d’un an. Aucune réponse pour l’instant ; ma demande d’audience a bien été enregistrée sous le N° mifiA2118671.
Très cordialement,
— Christian BASANO
RÉFÉRENCES :
- Christian Basano : « Les dessous politiques de la guerre du Golfe. L’incroyable escroquerie organisée sous couvert de l’O.N.U, l’OTAN et BNP Paribas ». Échos des Montagnes, 8 février 2006.
- Mohzginga99 : « Le Kuwait Gate ». Santodji, 29 Janvier 2016. [Paru une première fois le 19 mai 2006 dans Etleboro]
- Thierry Meyssan : « Dominique Strauss-Kahn, l’homme de « Condi » au FMI ». Réseau Voltaire, 5 octobre 2007.
- Jean-Luc Martin-Lagardette : « L’affaire des puits de pétrole du Koweit incendiés en 1991 rallumée ». Ouvertures, le temps du citoyen, 1 mars 2011.
- Jean-Luc Martin-Lagardette : « Koweïtgate : une bien étrange affaire ». Ouvertures, le temps du citoyen, 4 avril 2011.
- Jean-Luc Martin-Lagardette : « Koweïtgate : après l’Etat français, M. Basano attaque le Koweït en justice ». Ouvertures, le temps du citoyen, 16 décembre 2011.
- Jean-Luc Martin-Lagardette : « Koweïtgate : après l’Etat français, M. Basano attaque le Koweït en justice ». AgoraVox, 16 décembre 2011.
- International : « DSK: l’affaire qui donne du crédit à la théorie du complot ». Luxemburger Wort, 14 mars 2012.
- Jean-Charles DUBOC, commandant de bord B747/200 (Retraité) : « Grève des pilotes d’Air France : vers un plafonnement des cotisations sociales ?… ». Euroclippers, 20 septembre 2014.
source : https://guyboulianne.com
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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