«qui est pour l’Union européenne, pour l’OTAN, pour l’euro, pour le soutien à l’Ukraine, pour l’envoi d’armes à l’Ukraine, pour les sanctions contre la Russie, «
Je ne suis pas sûr de ça. La politique, c’est aussi de la dissimulation, Asselinneau ne le sait sûrement pas (sinon, il ne ferait pas 0,5%, c’est à dire un score digne du parti animaliste ou du parti pirate, c’est à dire le parti des jeunes femmes ou celui des clodos).
En 17, si les Bolcheviks avaient annoncés la mise à mort des Romanov, la liquidation des koulaks, la mise en place de l’hydrogoulag, le culte de la personnalité du secrétaire général du parti et la censure via un journal unique, ils ne seraient jamais arrivés au pouvoir.
On peut aussi citer l’exemple français des deux Napoléon (le premier en tant que Consul, le second qui a été président élu avant de faire un coup d’Etat), sans parler des autres changements de régime, chacun venu avec leur florilège de promesse et de non-dits.
Le RN l’a bien compris, le français moyen ne veut pas se défaire de l’euro par son plein gré, alors il faut le contraindre soit par la force (option non-privilégiée) soit par le mensonge (ça, on est habitués, tkt). Pareil pour l’Ukraine ou l’UE, il faut jouer fin, et fourbe, c’est ainsi. Pour être honnête, faut avoir quelqu’un de lucide fasse à soi.
Sinon tu perds ton temps à crier dans le vide, et la caravane passe ou la personne se braque.
Pensez petit père des peuples.
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