Une nouvelle étude lie avortement et problème de santé mentale

Une nouvelle étude lie avortement et problème de santé mentale

Par Bettina di Fiore (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : stokkete/Adobe Stock

Une nouvelle étude évaluée par des pairs et rédigée par des chercheurs du Charlotte Lozier Institute (CLI) et de l’American Association of Pro-Life Obstetricians and Gynecologists (AAPLOG) suggère que les femmes dont la première grossesse se termine par un avortement ont une moins bonne santé mentale que celles dont la première grossesse se termine par un accouchement.

L’étude s’est concentrée sur les bénéficiaires de Medicaid admissibles sans interruption qui avaient 16 ans en 1999 et a suivi l’historique de leurs demandes en matière de santé mentale jusqu’en 2015. Au total, 1 331 femmes ont vu leur première grossesse se terminer par un avortement, tandis que 3 517 femmes ont vu leur première grossesse se terminer par un accouchement. L’étude des taux d’utilisation des services de santé mentale par les femmes a permis d’éviter les limites méthodologiques liées aux enquêtes auprès des patientes.

Source : Lire l'article complet par Campagne Québec-Vie

Source: Lire l'article complet de Campagne Québec-Vie

À propos de l'auteur Campagne Québec-Vie

Campagne Québec-Vie est une association québécoise qui travaille de concert avec tout individu ou association de bonne volonté, à l’établissement d’une société chrétienne qui protège la foi, la famille et la vie, de la conception à la mort naturelle.CQV a trois objectifs : i) Promouvoir la reconnaissance, par les représentants de tous les corps sociaux, y compris ceux de l’État, de la nécessité du christianisme, en tant que seule religion intégralement vraie, pour une réalisation pleine et entière du bien commun ; ii) Promouvoir la reconnaissance du fait que la foi chrétienne est raisonnable, et que la raison soutient la foi et la morale chrétiennes ; iii) Promouvoir le respect de la vie humaine depuis la conception jusqu’à la mort naturelle ainsi que les droits de la personne et de la famille ;CQV œuvre à instaurer une « Culture de Vie », c’est-à-dire que nous favorisons, en manifestant, en organisant des colloques, en diffusant des nouvelles par Internet et offrant de l’aide aux femmes enceintes en difficulté, le développement d’une société dont les lois et les mœurs concourent, entre autres, à la reconnaissance du droit à la vie de toute personne humaine, de la conception à la mort naturelle, ainsi qu’à la reconnaissance de la famille traditionnelle (homme, femme, et les enfants qui découlent de leur union aimante) comme lieu privilégié pour l’épanouissement de la personne humaine.

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Recommended For You