Non, rien. Saison 2 Épisode 23

Non, rien. Saison 2 Épisode 23

Il y a quelques mois, JK Rowling a été pointée du doigt et accusée de transphobie, ce qui lui a même valu d’être écartée de la cérémonie du 20e anniversaire d’Harry Potter. En effet, l’auteure s’était moquée d’un article qui utilisait les mots « personnes qui ont leurs règles » à la place du mot « femme ». Mais le 19 novembre, le Daily Mail a indiqué que l’auteure de 56 ans a une nouvelle fois été prise à partie, cette fois-ci par trois militants trans qui ont se sont postés devant le domicile de la célèbre écrivaine en mettant en évidence son adresse à Édimbourg, tout en brandissant des pancartes aux slogans pro-trans. Les trois individus ont ensuite posté le tout sur les réseaux sociaux, avant que le contenu ne soit supprimé. Une action qu’a commentée et critiquée JK Rowling qui a aussi indiqué qu’elle avait reçu tellement de menaces de mort qu’elle pourrait « tapisser sa maison avec ». (Valeurs actuelles)

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Ce concours réservé aux femmes célibataires d’une taille minimum d’1,70 mètre, fait toutefois l’objet d’un nombre croissant de critiques. La ministre de l’Égalité entre les femmes et les hommes Élisabeth Moreno, a ainsi déploré vendredi des « règles dépassées (…) qui peuvent être discriminantes ». Élisabeth Moreno s’exprimait dans un bref entretien qu’elle a accordé à l’AFP après avoir rencontré les miss à Caen. Élisabeth Moreno a regretté que par exemple une « femme veuve ou une femme qui est déjà mère ne puisse pas postuler ». (France Info)

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Selon des sources concordantes, les faits se seraient produits le même jour au Parc des Princes dans le contexte du match PSG-Nantes (3-1, 14e journée de Ligue 1). Présent en tant que spectateur, l’ex-journaliste sportif de Canal + est accusé par une hôtesse d’accueil d’avoir eu des gestes déplacés dans l’enceinte du stade en touchant la poitrine de la jeune femme. (…)

« Pierre Ménès a bien assisté au match PSG-Nantes, nous indiquait alors l’avocat de l’ex-chroniqueur du Canal Football Club, Me Arash Derambarsh. Il était accompagné de trois personnes durant toute la soirée. Il n’y a eu strictement aucun problème. La soirée s’est très bien passée et c’est confirmé par les attestations CERFA des trois personnes qui l’ont accompagné partout. Mon client déposera une plainte pour dénonciation calomnieuse si l’on porte atteinte à son honneur ou à sa considération. » La défense de Pierre Ménès fait aujourd’hui état de six témoignages le dédouanant, dont celui d’un policier hors service. Les enquêteurs ne disposent ni de photos ni de vidéos des faits dénoncés. (Le Parisien)

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Ghislaine Maxwell, la complice présumée du milliardaire, aurait autrefois établi une liste de règles que devaient scrupuleusement respecter les employés, a-t-on appris lors du cinquième jour de son procès. Qui portaient aussi bien sur leur uniforme que leur manière de parler.

Avant toute chose, chaque employé devait, selon l’ancien majordome, « ne rien voir, ne rien entendre, ne rien dire, sauf pour répondre à une question qui vous est directement adressée ». « Lady » Maxwell voulait que la propriété de Floride, au 358 El Brillo Way, vendue récemment pour 18,5 millions de dollars (soit 16,4 millions d’euros), ressemble à un palace cinq étoiles. « Le staff doit anticiper les besoins de Mr Epstein, de Ms Maxwell et de leurs invités », expliquait l’introduction au guide des bonnes manières façon Epstein. (…)

Le manuel comportait une liste très longue et très précise de tous les produits d’épicerie et autres denrées haut de gamme qui devaient toujours être en quantité suffisante, dont, par exemple, 32 rouleaux de papier toilette qu’exigeait Maxwell pour sa salle de bain personnelle, où ledit papier devait être plié en « V », était-il précisé. Les carnets de Ghislaine Maxwell pour prendre des notes étaient gravés « Lady Ghislaine », le nom que portait le yacht de son père. (Le Figaro)

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« La pauvreté est avant tout le détachement de l’argent, elle consiste à avoir très peu de besoins. » (Charles de Foucault)

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La menace qui pèse sur le monde est celle d’une organisation totalitaire et concentrationnaire universelle qui ferait, tôt ou tard, sous un nom ou sous un autre, qu’importe ! de l’homme libre une espèce de monstre réputé dangereux pour la collectivité tout entière, et dont l’existence dans la société future serait aussi insolite que la présence actuelle d’un mammouth sur les bords du Lac Léman. Ne croyez pas qu’en parlant ainsi je fasse seulement allusion au communisme. Le communisme disparaîtrait demain, comme a disparu l’hitlérisme, que le monde moderne n’en poursuivrait pas moins son évolution vers ce régime de dirigisme universel auquel semble aspirer les démocraties elles-mêmes. (Georges Bernanos, La liberté, pour quoi faire ?)

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Il aurait tué sa femme et ses trois filles de 10, 8 et 3 ans avant de retourner l’arme contre lui. C’est le scénario que privilégie la police, après la découverte des cinq cadavres d’une famille entière, dans leur maison, samedi à Königs Wusterhausen, une ville au sud-est de Berlin (Allemagne). Selon des médias locaux, les deux parents étaient enseignants. Devid R., le père de famille de 40 ans, a laissé une longue lettre d’adieu manuscrite de plusieurs pages pour expliquer son geste.

Il y raconte avoir fait fabriquer un faux certificat de vaccination pour sa femme, Linda, elle aussi âgée de 40 ans. Mais l’employeur de celle-ci, l’université technique (TH) de Wildau, « s’en est aperçu et a voulu enquêter avec la plus grande rigueur », a affirmé un porte-parole du parquet de Cottbus, Gernot Bantleon. « Le document soumis a donné lieu à des demandes de renseignements sur lesquelles l’employée a été invitée à commenter par écrit », a déclaré le ministère des Sciences du Brandebourg. (Le Parisien)

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De son côté, la Caisse nationale d’assurance vieillesse (Cnav) a indiqué ne pas pouvoir nous communiquer le chiffre de la part d’allocataires étrangers du minimum vieillesse. « Nous ne traçons pas la nationalité de nos assurés », affirme-t-on. La Cnav dispose seulement de données sur les allocataires nés à l’étranger – qui ne sont pas forcément de nationalité étrangère : fin 2020, 35 % des bénéficiaires de l’allocation de solidarité aux personnes âgées (Aspa) sont nés dans un pays étranger, soit environ 141.000 personnes, pour une dépense de 835 millions d’euros. Si l’on ajoute ce montant à celui des prestations versées par la Cnaf aux étrangers, on arrive à près de 14 milliards d’euros. (Le Figaro)

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Rachid Seka, expert financier : « Ça renvoie à l’opacité dans la prise de décision, ça renvoie à la cooptation, ça renvoie à la gestion et à la distribution de la rente, ça renvoie, n’ayons pas peur de le dire, pendant une certaine période, à la corruption et aux passe-droit, et la montée en puissance d’un certain nombre d’oligarques qui très clairement ont privatisé l’État. » (Toute l’Algérie du Monde, Arte, 28 septembre 2021)

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Le 27 janvier 2015, Brahim Abdeslam prend un vol Bruxelles – Istanbul. Il est censé embarquer avec son ami Rafik El Hassani mais ce dernier renonce au dernier moment à la suite de l’intervention de sa mère. Le lendemain, Brahim Abdeslam contacte son frère Salah pour lui dire qu’il va franchir la frontière turco-syrienne. Il est finalement de retour le 7 février 2015 : il prend un vol d’Istanbul vers Amsterdam, avant de rentrer à Bruxelles. Il sera arrêté quelques jours plus tard par la police de Bruxelles, le 16 février, pour excès de vitesse. Un téléphone, une barrette de shit et un document intitulé « Faut-il la permission des parents pour faire le djihad ? » sont retrouvés sur lui. Il est alors placé en garde à vue et auditionné concernant son récent voyage en zone turco-syrienne.

« Je suis croyant mais je fume du shit (…) J’ai déjà eu des idées radicales mais ce n’est pas ça l’islam », explique-t-il. L’interrogatoire se poursuit et Brahim Abdeslam a réponse à tout. « Avez-vous de la sympathie pour les combattants de l’État islamique ? », l’interrogent les policiers. « Aucune, ce ne sont pas des musulmans », répond Brahim Abdeslam. « Que pensez-vous du djihad ? », le questionnent les enquêteurs. « Le djihad, c’est le bon comportement. C’est se combattre soi-même et se retenir de faire des mauvaises actions », réplique-t-il.

Suite à cet interrogatoire, le « dossier Brahim Abdeslam » reste au niveau de la police locale et n’est pas confié aux services antiterroristes, sur décision d’un magistrat selon l’enquêteur belge auditionné ce vendredi. Le téléphone portable de Brahim Abdeslam n’est même pas exploité. (Le Figaro)

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Elle  : Comment accueillez-vous cette reconnaissance des lectrices de Elle ?

Coco  : Je ne m’y attendais pas. Je ne connais pas les lectrices. Quels sont leurs convictions, leur point de vue ? J’ai eu l’impression que le livre avait touché au-delà de ce que ça raconte du 7 janvier, au-delà de ce que j’avais pu imaginer. Ce livre évoque un contexte particulier et intime, mais aussi ce qu’était ce journal, cette équipe, les valeurs qu’on y défendait, en particulier le droit au blasphème, le droit à rire de tout. J’espérais que cela donnerait à penser, de la même manière que Samuel Paty donnait à penser à ses élèves avec nos dessins. Ce n’est pas toujours évident de parler de la liberté d’expression dans un contexte où les gens sont relativement offensés pour beaucoup de choses. Je ne m’attendais pas à ce que tout ça ait autant de résonance. Peut-être parce que je doute toujours pas mal.

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Car, ce qui me séduit dans la droite, ce sont ses écrivains. Montherlant, Morand, Giono, Jacques Perret et Marcel Aymé. Je suis toujours attiré par la déconnante, et la droite déconne. Les hurluberlus, les mabouls, on ne les trouve qu’à droite. La droite est braque, il ne faut jamais l’oublier. À gauche, c’est du sérieux. Ils pensent ce qu’ils disent et, c’est le moins qu’on puisse dire, ils ne sont pas très indulgents avec les idées des autres. Je n’ai jamais entendu Marcel Aymé porter des jugements sur le reste de l’humanité, ni demander des sanctions ou des châtiments. (Michel Audiard, Audiard par Audiard)

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Plusieurs écrivains de renom, dont Patrick Modiano ont décidé de démissionner de leur rôle de juré au prix littéraire du Temps retrouvé. Il était présidé par Patrick Poivre d’Arvor, récemment accusé de viols. Doté de 2 000 euros, et parrainé par la Fondation Daniel Iagolnitzer, le Prix du Temps retrouvé a perdu non seulement son président, mais aussi plus de la moitié de ses jurés.

Il ne reste désormais que trois jurés du prix du Temps retrouvé, tous écrivains : Alessandra Fra, Héloïse Guay de Bellissen et Denys Viat. « Tous les autres membres ont démissionné, cet automne, à la suite des développements de l’affaire PPDA, étant donné sa présence dans le jury », a précisé dans un communiqué l’association qui a créé ce prix, Le Pari(s) littéraire.

Si l’on se fie à la liste initiale des jurés dévoilée par le magazine spécialisé Livres Hebdo en octobre, les quatre démissionnaires sont des écrivains plus renommés : Patrick Modiano (prix Nobel de littérature 2014), David Foenkinos (prix Renaudot 2014), Jean-Paul Enthoven (prix Femina essai 2013) et Amanda Sthers. (France Info)

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Pourquoi les Francs-maçons obsèdent-ils l’extrême droite ?

Cette obsession est assez ancienne finalement si on remonte d’un point de vue historique, l’Abbé de Barruel est le premier en France avec l’Abbé Lefranc à donner une lecture complotiste de la Révolution française dans laquelle les Francs-maçons seraient parmi les responsables secrets de ce changement d’ordre, finalement de remise en cause de la France catholique, de la France royale, de la France éternelle et on retrouve tout au long de l’histoire, une espèce de haine anti-Francs-maçons qui se caractérise par l’idée qu’il s’agit d’une société secrète, de la synagogue de Satan et qui exercerait un pouvoir occulte de l’anti-France sur notre pays. Cette idée a essaimé au sein de l’extrême droite depuis la Révolution française jusqu’à nos jours. (France Culture)

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Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation

À propos de l'auteur Égalité et Réconciliation

« Association trans-courants gauche du travail et droite des valeurs, contre la gauche bobo-libertaire et la droite libérale. »Égalité et Réconciliation (E&R) est une association politique « trans-courants » créée en juin 2007 par Alain Soral. Son objectif est de rassembler les citoyens qui font de la Nation le cadre déterminant de l’action politique et de la politique sociale un fondement de la Fraternité, composante essentielle de l’unité nationale.Nous nous réclamons de « la gauche du travail et de la droite des valeurs » contre le système composé de la gauche bobo-libertaire et de la droite libérale.

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