Bien que les mesures covid eussent restreint les services de santé, les « transitions » ont augmenté de 12 %

Bien que les mesures covid eussent restreint les services de santé, les « transitions » ont augmenté de 12 %

Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Siam/AdobeStock

(LifeSiteNews) — Selon l’American Society of Plastic Surgeons, un nombre record de jeunes femmes souffrant de dysphorie de genre se font enlever les seins afin de se présenter comme hommes. Bien que l’accès à de nombreuses formes de soins de santé ait été limité en 2020 en raison de la [prétendue*] pandémie de covid-19, les opérations de changement de sexe, tant chez les hommes que chez les femmes, ont augmenté de 12 %, passant de 14 602 en 2019 à 16 353 en 2020. Comme l’a noté un observateur, ces chiffres n’incluent pas les opérations, les mastectomies et les traitements de transition de genre effectués par d’autres professionnels de la santé.

Comme l’a exprimé Zane Emma sur Twitter :

« Les services de santé américains ont globalement baissé de 1 % en 2019. Les services non liés au covid ont baissé bien plus. Mais pas les mastectomies pour dysphorie de genre. Ces procédures « salvifiques » pour les jeunes femmes qui se détestent ont grimpé de 15 % malgré la pandémie. Il y a beaucoup d’argent qui se fait sur la détresse des jeunes. Et la pandémie n’arrête personne. Encore moins les chirurgiens, qui ont beaucoup à gagner lorsque Medicaid et les assureurs commerciaux, convaincus par de piètres études que ces procédures sont médicalement nécessaires, paient pour cela.

Les mastectomies pour les filles et les femmes souffrant de dysphorie de genre ont continué à augmenter en 2020, selon l’American Society of Plastic Surgeons. Ce résultat est surprenant, car les restrictions covid ont entraîné des réductions spectaculaires dans tous les autres domaines de soins de santé en 2020. »

Je ne suis pas sûr que les gens soient réellement convaincus de l’efficacité médicale [de ces interventions] ; ils sont plutôt intimidés par la politique du mouvement transgenre. Vous imaginez ce qui se passerait si un assureur commercial refusait de payer ? Il serait immédiatement pris pour cible et accusé de participer au suicide des jeunes, et le gouvernement s’en mêlerait si possible.

Nous savons également que de nombreux parents s’opposent à ce que leurs filles prennent une décision aussi définitive, mais les écoles publiques écartent les pères et mères pour aider les enfants dans leur démarche de changement de sexe. Abigail Shrier, auteur de Irreversible Damage : The Transgender Craze Seducing Our Daughters [Dommages irréversibles : La folie transgenre qui séduit nos filles], a récemment mis en ligne des formulaires qui lui ont été envoyés par un enseignant d’une école publique de Chicago et qui demandent explicitement aux enseignants et au personnel de l’école de cacher aux parents que leurs enfants commencent à s’identifier au sexe opposé ─ une idée souvent implantée dans la tête des jeunes par les programmes LGBT.Bien que les mesures covid eussent restreint les services de santé, les « transitions » ont augmenté de 12 %

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À propos de l'auteur Campagne Québec-Vie

Campagne Québec-Vie est une association québécoise qui travaille de concert avec tout individu ou association de bonne volonté, à l’établissement d’une société chrétienne qui protège la foi, la famille et la vie, de la conception à la mort naturelle.CQV a trois objectifs : i) Promouvoir la reconnaissance, par les représentants de tous les corps sociaux, y compris ceux de l’État, de la nécessité du christianisme, en tant que seule religion intégralement vraie, pour une réalisation pleine et entière du bien commun ; ii) Promouvoir la reconnaissance du fait que la foi chrétienne est raisonnable, et que la raison soutient la foi et la morale chrétiennes ; iii) Promouvoir le respect de la vie humaine depuis la conception jusqu’à la mort naturelle ainsi que les droits de la personne et de la famille ;CQV œuvre à instaurer une « Culture de Vie », c’est-à-dire que nous favorisons, en manifestant, en organisant des colloques, en diffusant des nouvelles par Internet et offrant de l’aide aux femmes enceintes en difficulté, le développement d’une société dont les lois et les mœurs concourent, entre autres, à la reconnaissance du droit à la vie de toute personne humaine, de la conception à la mort naturelle, ainsi qu’à la reconnaissance de la famille traditionnelle (homme, femme, et les enfants qui découlent de leur union aimante) comme lieu privilégié pour l’épanouissement de la personne humaine.

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