Question : vaut-il mieux mourir malade ou mourir vacciné ?

Question : vaut-il mieux mourir malade ou mourir vacciné ?

par Jacqueline

Petit problème de fin d’études primaires. Comparez le pourcentage de risque de mourir du virus avec celui de mourir de son vaccin. Vous avez une minute pour rendre votre copie (le temps de lire cet article).

Le risque de mourir du Covid est de 0,026 %. Y a-t-il plus de risque à se faire vacciner contre une maladie à peine moins rare qu’un tiercé touché dans l’ordre (0,01%) ? Quel est le pourcentage de risque de mourir d’une vaccination anti-Covid ?

Cherchons une réponse au ministère de la Santé.

Le ministère cite sur sa page internet les publications sur les essais de phase III en cours.

A propos du vaccin AstraZeneca : « A noter qu’un patient receveur du ChAdOx1 nCoV-19 est mort (vs. 3 dans le groupe contrôle). Ces décès n’ont pas été considérés par les auteurs comme liés au vaccin ou au placebo. » Comment un placebo peut-il tuer ? Quels sont les cobayes ? On ne sait pas.

Quant au vaccin Pfizer-BioNTech, c’est la faute à pas de chance : « A noter que 2 patients receveurs de BNT162b2 sont morts (vs. 4 dans le groupe contrôle). Ces décès n’ont pas été considérés par les auteurs comme liés au vaccin ou au placebo. » Bon, nous voilà rassurés. Si nous mourrons après le vaccin AstraZeneca ou Pfizer, ce sera pure coïncidence.

Et que dit le ministère à propos de Moderna ? La conclusion est : « A noter que deux patients receveurs du mRNA-1273 SARS-CoV-2 sont morts (VS. 3 dans le groupe contrôle). » Un point c’est tout.

Et sur le vaccin Johnson & Johnson ? A peu près la même chose : « A noter que trois patients receveurs du vaccin Ad26.COV2.S sont morts (VS. 16 dans le groupe contrôle). » Un groupe contrôle avec 16 morts ! Combien étaient-ils en tout ? L’essai se déroulait-il dans une zone de guerre ?

Donc il y a des morts, mais on ne sait pas pourquoi et de toute façon le pourcentage en est certainement infime. Les études citées sont elles-mêmes des compilations d’études diverses. Bref, on noie le poisson. Le problème de pourcentage est quasiment impossible à résoudre. Il s’est transformé en calcul de probabilité. C’est plus calé.

La clause de « la faute à pas de chance »

Les laboratoires refusent toute responsabilité en cas d’effets secondaire graves. L’Union européenne a signé une directive en ce sens : « Selon cette directive, les laboratoires sont responsables en cas de défauts ou négligences liés à leur produit, à moins qu’ils ne prouvent “que l’état des connaissances scientifiques et techniques (…) n’a pas permis de déceler l’existence du défaut” ».
C’est la fameuse clause « la faute à pas de chance » des essais de phase III en cours, que les laboratoires pourront faire jouer en leur faveur.

Se faire vacciner : pari audacieux, coup de tête irresponsable ?

Après avoir été si bien informés, les courageux, ceux qui aiment les paris, s’élanceront droit vers le vaccinodrome. Les autres, ceux qui hésitent, manquent d’audace et d’enthousiasme, devront faire confiance au ministère qui affirme pour les rassurer : « Nous faisons le choix de ne présenter que les vaccins disponibles dès aujourd’hui et dont les données d’efficacité et de sécurité préliminaires sont robustes. » Donc soit on fait confiance au ministère, soit on fait confiance en sa bonne étoile. Faut pas trop réfléchir.

source:https://lemediaen442.fr/

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À propos de l'auteur Réseau International

Site de réflexion et de ré-information.Aujourd’hui nous assistons, à travers le monde, à une émancipation des masses vis à vis de l’information produite par les médias dits “mainstream”, et surtout vis à vis de la communication officielle, l’une et l’autre se confondant le plus souvent. Bien sûr, c’est Internet qui a permis cette émancipation. Mais pas seulement. S’il n’y avait pas eu un certain 11 Septembre, s’il n’y avait pas eu toutes ces guerres qui ont découlé de cet évènement, les choses auraient pu être bien différentes. Quelques jours après le 11 Septembre 2001, Marc-Edouard Nabe avait écrit un livre intitulé : “Une lueur d’espoir”. J’avais aimé ce titre. Il s’agissait bien d’une lueur, comme l’aube d’un jour nouveau. La lumière, progressivement, inexorablement se répandait sur la terre. Peu à peu, l’humanité sort des ténèbres. Nous n’en sommes encore qu’au début, mais cette dynamique semble irréversible. Le monde ne remerciera jamais assez Monsieur Thierry Meyssan pour avoir été à l’origine de la prise de conscience mondiale de la manipulation de l’information sur cet évènement que fut le 11 Septembre. Bien sûr, si ce n’était lui, quelqu’un d’autre l’aurait fait tôt ou tard. Mais l’Histoire est ainsi faite : la rencontre d’un homme et d’un évènement.Cette aube qui point, c’est la naissance de la vérité, en lutte contre le mensonge. Lumière contre ténèbres. J’ai espoir que la vérité triomphera car il n’existe d’ombre que par absence de lumière. L’échange d’informations à travers les blogs et forums permettra d’y parvenir. C’est la raison d’être de ce blog. Je souhaitais apporter ma modeste contribution à cette grande aventure, à travers mes réflexions, mon vécu et les divers échanges personnels que j’ai eu ici ou là. Il se veut sans prétentions, et n’a comme orientation que la recherche de la vérité, si elle existe.Chercher la vérité c’est, bien sûr, lutter contre le mensonge où qu’il se niche, mais c’est surtout une recherche éperdue de Justice.

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