L’Ivermectine : une alternative aux vaccins teintés par l’avortement ?

L’Ivermectine : une alternative aux vaccins teintés par l’avortement ?

Par Michael Haynes — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : yanalya/Freepik

Analyse

1er juin 2021 (LifeSiteNews) — L’Ivermectine est un médicament que l’on pourrait presque qualifier de « miraculeux » tant il s’est avéré efficace pour prévenir et traiter le Covid-19. Malheureusement, il a fait l’objet d’une suppression et d’une désinformation généralisées de la part des organismes de santé mondiaux : il semble bien que l’on ait tenté de promouvoir les revenus financiers plutôt que de sauver la vie de millions de personnes.

Dans un article récent, Michael Capuzzo, auteur et journaliste à succès du New York Times, a décrit en détail la manière dont l’Ivermectine a été utilisée pour traiter le COVID-19, et simultanément soumise à la censure mondiale malgré son taux de réussite incroyablement élevé dans le traitement du virus. Le numéro de mai 2021 de Mountain Home contient le rapport détaillé de Capuzzo, qui suit les actions des médecins de la Front Line COVID-19 Critical Care Alliance (FLCCC).

En ce moment, notre « monde a désespérément besoin » de l’Ivermectine, selon le Dr Pierre Kory, l’un des membres fondateurs de la FLCCC. Mais bien que le besoin désespéré soit présent, les organes de santé dirigeants semblent apparemment décidés à faire en sorte que le médicament ne soit pas connu, révèle M. Capuzzo.

La formation de la FLCCC et le médicament miracle Ivermectine

Cependant, la FLCCC ne fait pas la promotion de l’Ivermectine sur la base d’une intuition ou sans qualifications médicales à l’appui. L’équipe de cinq personnes (présentées dans l’ordre sur la photo d’en-tête de l’article), à savoir le Dr Paul Marik, le Dr Joseph Varon, le Dr Gianfranco Umberto Meduri, le Dr Jose Iglesias et le Dr Kory, compte à elle seule « près de 2 000 articles et livres évalués par des pairs et plus d’un siècle d’expérience au chevet des malades dans le traitement des défaillances organiques multiples et des maladies graves de type pneumonie ».

Le Dr Marik a passé les premiers jours de COVID-19 à l’hôpital général Sentara Norfolk à traiter des patients atteints du virus et, dès janvier 2020, à élaborer un protocole de traitement. La FLCCC s’est ensuite rendu compte, en mars 2020, que le coronavirus lui-même ne tue pas directement une personne, mais qu’il submerge le corps d’un « vaste cimetière viral » qui attaque ensuite l’organisme, provoquant l’inflammation des organes et la coagulation du sang. Ils ont développé le protocole MATH+ pour traiter le COVID, composé de méthylprednisolone, d’acide ascorbique (vitamine C), de thiamine (vitamine B1) et d’héparine, un anticoagulant.

Comme l’écrit Capuzzo, bien que cette approche ait été fortement déconseillée par les organismes de santé du monde entier, elle est devenue par la suite la « norme mondiale des soins hospitaliers », grâce à des études ultérieures. Leur premier protocole préventif COVID-19, le premier du genre, était « centré » sur l’utilisation du « médicament miracle » Ivermectine.

« C’est du nihilisme thérapeutique de dire que les médecins ne peuvent rien faire », a déclaré Marik. « Les soins de confort ne sont pas des soins du tout ».

L’Ivermectine : une alternative aux vaccins teintés par l’avortement ?

Source : Lire l'article complet par Campagne Québec-Vie

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À propos de l'auteur Campagne Québec-Vie

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