Mutilations des chevaux et intérêts pharmaceutiques

Mutilations des chevaux et intérêts pharmaceutiques
Mutilations des chevaux et intérêts pharmaceutiques

par Sandrine Cabioch.

Une petite réflexion personnelle sur les mutilations qui touchent nos chevaux. Comme chez nous à Langoëlan où j’ai pu recueillir des témoignages en direct, et mener des veillées nocturnes avec les propriétaires de chevaux.

Il y a beaucoup d’incohérences dans ces attaques (l’impression d’un vaste réseau, de gros moyens financiers (drones, et vans peut être réfrigérés), d’inefficacité des forces de l’ordre, appels à ne pas intervenir, conclusions d’enquêtes systématiquement erronnées etc…) Donc j’ai un peu creusé.

J’ai parlé à un centre équestre près de Quimper et à deux vétérinaires équins, les deux ont acquiescé et trouvé ça intéressant quand j’ai parlé de faits de laboratoires… les 8 chevaux près de Quimper sous sédation, ont été retrouvés avec la langue noire. S’agit-il d’un empoisonnement (le véto n’a pas dit non) et si oui, avec quel poison ou médicaments, fournis par qui ? Le vétérinaire ne sait répondre à cette question. Selon lui l’analyse médicale est en cours mais le véto qui est sur le coup et le labo ont été désignés … par la gendarmerie ! (j’ai posé la question).

Bon le veto me dit que c’est quand même bizarre car « normalement » les chevaux expérimentaux sont issus d’élevages en Argentine, en Uruguay (dont un site protégé par des militaires), élevages interdits en Europe.

D’autant plus que ces recherches pourraient être sulfureuses ? (ex : sang d’équidés dans les vaccins, ou hybridation homme-animal pour créer des chimères, ce qui existe dans les deux cas).

Dans la presse :

J’ai vu que la 1ère mutilation a eu lieu en 1967, aux États Unis. On constate déjà le même genre de mutilations sur le cheval. Puis en Angleterre de 1983 à 1993 (160 chevaux, appareils génitaux du cheval prélevés, non élucidé) et consécutivement en Allemagne de 1993 à 2003 (50 chevaux, non élucidé), en suisse en 2005, non élucidé :

Belgique 2016. Non élucidé.

(Ca ressemble donc à une organisation internationale et ce n’est déjà donc pas possible que les mutilations actuelles soient le résultat d’une vengeance de gens de l’Est suite au scandale assez récent de la viande chevaline, puisque les mutilations sont très anciennes).

En 1967, le cas Snippy :

Extraits :

En 1967, tout commence avec un cheval de selle nommé Snippy, dont la carcasse est retrouvée vidée de son sang, les os du cou laissés à nu. Aucune piste, pas de trace du sang, le cerveau a disparu. Et depuis Snippy, les animaux d’élevage mutilés se comptent par centaines dans cette région du Colorado, des animaux privés de leurs oreilles, de leurs organes génitaux, de leurs langues.

Le FBI mènera l’enquête notamment au Nouveau Mexique en 1979. Conclusion : une fois encore, tout cela ne serait que l’œuvre de prédateurs et de charognards. La responsable, c’est mère nature.

Puis il y a eu une recrudescence des attaques en 1974, pour faire au total des milliers de cas de mutilations chevalines aux États Unis, avec des coupures très nettes pourtant les enquêteurs ont toujours conclu à des attaques de prédateurs et n’ont jamais retrouvé un seul coupable en 50 ans, et quelles que soient les forces de l’ordre du pays (corrompu) concerné : France, États Unis, Grande Bretagne, Belgique…

Les plaques d’immatriculation relevées par les riverains sont « fausses ». Peut-être que oui, peut être que non.

Archives de 1975 :

Déjà à l’époque : cheval vidé de tout son sang, parties génitales attaquées … mentions par le vétérinaire Wilson… d’attaques par des renards et oppossums !! Le journal parle même d’interventions d’OVNIS (ben voyons !).

TOUS les cas aux États Unis ont été classés ou expliqués par la cause « prédateurs » (renards, le plus souvent) malgré les incisions très nettes.

L’enquête conclut également à des morts naturelles.

On ne trouve pas de traces de pas, mais les riverains voient des lumières étranges dans le ciel et on note des hélicoptères ayant servi aux agresseurs.

Voir articles de 1975 en anglais.

Je ne sais si les oreilles et les yeux ont un intérêt pharmaceutique. Ce peut aussi être une fausse piste imaginée par les labos pour faire croire à un rituel sataniste, systématiquement relayé dans tous les médias et en toutes langues.

Récemment, un suspect allemand formellement reconnu, ayant tenté d’assassiner le propriétaire d’animaux à la serpette, intercepté grâce à la dénonciation citoyenne … et relâché par les forces de l’ordre !! :

Quand j’entends la gendarmerie dire que les propriétaires ne doivent surtout pas se défendre, j’hallucine. Ces gens sont dangereux, et ce sont probablement les mêmes qui jalonnent les routes en Europe, puisque les faits se succèdent. La hiérarchie de la gendarmerie est-elle là pour protéger les gros labos ?

PSIG= réservistes et gendarmes adjoints volontaires. Est-ce normal ? À moins que je ne me trompe sur les gendarmes présents sur le terrain.

Je remarque que dans tous les journaux – avec des journalistes sensés être des enquêteurs- on retrouve systématiquement les mêmes théories à la con :

– satanistes : non, ils attaquent UNE espèce en particulier

– défis internet : non, c’est traçable

– attardés mentaux : avec ces moyens financiers ?

Quant aux gens de l’Est, ça ne tient pas car anachronique.

Dans la Loire, pour Le Figaro et l’AFP, on répète ce que dit « l’enquête » de gendarmerie : on écarte la piste humaine puisque le tueur de chevaux est … un blaireau, et le parquet classe l’affaire sans suite, comme indiqué dans l’article.

On se demande qui est le blaireau.

Les agresseurs utilisent leurs téléphones portables en milieu isolé en pleine nuit mais ces téléphones ne « bornent » pas sur les antennes relais et ne sont pas identifiés par les enquêteurs ???

À moins que ce ne soit des forfaits rechargeables non identifiables ?

Dans les cas d’hybridation homme-animal et de créations de chimères, ce sont des cellules humaines qui sont implantées dans les ovules de la femelle animal :

Du sang d’équidés dans les vaccins

Certains labos en Suisse et en Allemagne sont sans limites :

Neocutis, crème à base de fœtus humain, labo allemand vendant aux États Unis

Des hélicoptères de manière régulière, même depuis les années 1970.

Extrait

Comme l’explique Le Monde daté du mercredi 18 décembre, Sanofi-Pasteur possède un élevage de chevaux à Alba-la-Romaine. Dans cette ferme, le laboratoire produit des antidotes antirabiques, antitétaniques et des antivenins. Les chevaux, vaccinés, produisent des anticorps qui servent à la fabrication des sérums.

Extrait :

Utilisation

Insémination d’une jument

Les chevaux ont une grande capacité de production d’anticorps, qui les rend de ce fait recherchés par l’industrie pharmaceutique. Sanofi Pasteur possède ainsi un élevage d’une soixantaine d’équidés à Alba-la-Romaine, et les utilise pour produire des vaccins antirabiques et antitétaniques, ainsi que des antivenins. Les anticorps des chevaux sont prélevés avec leur sang, et servent ensuite à la fabrication des vaccins.

Le marché des chevaux de laboratoire est très porteur, et présente une croissance d’environ 3% par an (chiffres 2011).

Antiserum et sérothérapie :

Extrait :

Appelée également immunisation artificielle passive, la sérothérapie ou sérumthérapie ou plasmothérapie est l’utilisation thérapeutique du sérum sanguin (partie non cellulaire du sang) se caractérisant par l’administration et par l’injection sous-cutanéeintramusculaire ou intra-rachidienne (l’intérieur du liquide entourant la moelle épinière) d’un sérum immunisant. Celui-ci est soit d’origine animale, provenant d’un animal qui a été vacciné contre une maladie infectieuse, soit d’origine humaine. La sérothérapie, l’une des formes de l’immunité passive, permet de neutraliser un antigène microbien, une bactérie, une toxine, un virus ou encore un venin.

En 1894, le docteur Émile Roux, ancien disciple de Louis Pasteur, constate que, si l’on vaccine un cheval en lui injectant des doses croissantes de toxine diphtérique, on provoque chez lui l’apparition de grandes quantités d’anticorps antidiphtériques. Roux a donc l’idée de transférer le sérum de ce cheval ainsi « hyperimmunisé » à des malades atteints de la diphtérie. Un grand nombre de malades guérissent : la sérothérapie est née.

Les sérums d’origine animale contiennent des anticorps spécifiques d’une toxine ou d’un microbe : antidiphtérique (contre Corynebacterium diphteriae) ; antitétanique) ou contre venin (de serpent du groupe des vipères notamment. Souvent produits par des chevaux à partir des années 1890 ; ils ont été utilisés en médecine humaine pendant de nombreuses années et le sont encore parfois.

Au printemps 2020, la sérothérapie fait partie des solutions testées et envisagées contre la COVID-19, notamment en France avec l’essai Coviplasm. En pleine épidémie, les américains élargissent la base de collecte avant même que des résultats probants n’aient été publiés. Il en est de même au Canada qui attend des résultats pour la mi-juillet mais autorise dans certains contextes l’usage de cette méthode.

COVIPLASM Coviplasm est un essai clinique promu par l’Assistance publique – Hôpitaux de Paris (AP-HP) avec le soutien de l’Inserm et l’Établissement français du sang (EFS), qui consiste à évaluer l’éventuelle efficacité de la transfusion de plasma sanguin de malades guéris pour lutter contre la COVID-19. Karine Lacombe, cheffe du service des maladies infectieuses et tropicales (SMIT) de l’hôpital Saint-Antoine est l’investigatrice principale de cet essai. 

Source: Lire l'article complet de Réseau International

À propos de l'auteur Réseau International

Site de réflexion et de ré-information.Aujourd’hui nous assistons, à travers le monde, à une émancipation des masses vis à vis de l’information produite par les médias dits “mainstream”, et surtout vis à vis de la communication officielle, l’une et l’autre se confondant le plus souvent. Bien sûr, c’est Internet qui a permis cette émancipation. Mais pas seulement. S’il n’y avait pas eu un certain 11 Septembre, s’il n’y avait pas eu toutes ces guerres qui ont découlé de cet évènement, les choses auraient pu être bien différentes. Quelques jours après le 11 Septembre 2001, Marc-Edouard Nabe avait écrit un livre intitulé : “Une lueur d’espoir”. J’avais aimé ce titre. Il s’agissait bien d’une lueur, comme l’aube d’un jour nouveau. La lumière, progressivement, inexorablement se répandait sur la terre. Peu à peu, l’humanité sort des ténèbres. Nous n’en sommes encore qu’au début, mais cette dynamique semble irréversible. Le monde ne remerciera jamais assez Monsieur Thierry Meyssan pour avoir été à l’origine de la prise de conscience mondiale de la manipulation de l’information sur cet évènement que fut le 11 Septembre. Bien sûr, si ce n’était lui, quelqu’un d’autre l’aurait fait tôt ou tard. Mais l’Histoire est ainsi faite : la rencontre d’un homme et d’un évènement.Cette aube qui point, c’est la naissance de la vérité, en lutte contre le mensonge. Lumière contre ténèbres. J’ai espoir que la vérité triomphera car il n’existe d’ombre que par absence de lumière. L’échange d’informations à travers les blogs et forums permettra d’y parvenir. C’est la raison d’être de ce blog. Je souhaitais apporter ma modeste contribution à cette grande aventure, à travers mes réflexions, mon vécu et les divers échanges personnels que j’ai eu ici ou là. Il se veut sans prétentions, et n’a comme orientation que la recherche de la vérité, si elle existe.Chercher la vérité c’est, bien sûr, lutter contre le mensonge où qu’il se niche, mais c’est surtout une recherche éperdue de Justice.

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