On a connu des temps où le gouvernement de la Banque envoyait 100 000 forces de l’ordre dans toute la France pour écraser dans la violence les revendications légitimes des Gilets jaunes, ce peuple condamné par la politique néolibérale mondialiste.
Mains arrachées à coups de grenades de désencerclement, yeux écrasés à coups de LBD, les manifestants français ont été considérés comme des sous-racailles par Macron et son gouvernement.
Aujourd’hui, la politique de double chaos social et économique conduit inévitablement à des embrasements de quartiers, qui ne font plus partie de la République depuis longtemps, comme le clament les nationaux-sionistes.
Mais la République, qui a déjà expulsé – comme une femme expulse son enfant – plus de 12 millions de Français dits pauvres, avec une partie de la classe moyenne qui arrive « grâce » au Grand Reset, finira par n’inclure que les sionistes et les francs-maçons. Tout le reste sera criminalisé et mis au ban de l’État.
C’est une fiction, bien entendu.
Naturellement, comme de fait exprès, les zemmouriens sautent sur le feu social pour en tirer leurs marrons. Et si, à la manière des ghettos noirs dans les grandes villes américaines des années 70, le chaos était organisé (par simple laisser-faire) pour faire baisser les prix de l’immobilier, et favoriser la rafle des promoteurs qui y ont installé une nouvelle population avec une explosion des bénéfices à la clé ?
C’est le programme des nationaux-sionistes, politiquement parlant. Les socialo-sionistes ont en 40 ans semé le chaos dans les banlieues françaises (chômage industriel de masse, désœuvrement généralisé, immigration galopante, trafics de drogue, assistanat social sans contrepartie, corruption politique locale endémique), les nationaux-sionistes en récoltent les bénéfices politiques aujourd’hui. Montbrial est sur la ligne de Zemmour, qui ne cache plus son désir de guerre civile.
« La raison est dans le pacifisme et dans la crainte de la violence et du nombre. Il y a des rapports de force, il y a une Europe qui a renoncé à la force et en face une civilisation qui assume la guerre », Eric Zemmour dans #Facealinfo pic.twitter.com/cfpSSL3rdV
— CNEWS (@CNEWS) March 8, 2021
L’article de Sputnik qui suit illustre cette dérivée du pouvoir profond qui est passé en 40 ans du socialo-sionisme au national-sionisme. C’est ce pouvoir profond qui est responsable de l’état de notre pays, et qui prépare aujourd’hui un changement de régime.
Le grand ennemi de ce pouvoir profond, incarné par les loges maçonniques et le pouvoir exagéré du CRIF, ce n’est pas la racaille des banlieues ou les antifas, qui sont les alliés aussi objectifs qu’inconscients de cette grande machination : ce sont les Français qui luttent contre le déchirement national, contre le délitement des services publics, contre la razzia de la banque sur l’économie productive.
Et contre une école qui prône tous les communautarismes possibles pour mettre en place la guerre civile chère à Éric Zemmour. N’est-ce pas lui qui dit toujours que Dieu se rit des hommes qui se plaignent des conséquences dont ils chérissent les causes (Bossuet) ?
L’Éducation nationale, par @AlbanGuillemois
« Si j’étais le diable, et que le peuple me choisît pour son député au parlement, j’y ferais une motion, une seule, qui procurerait à l’Enfer le plus de clients possible ; je proposerais de séparer l’École de l’Église. »
— Alban Stolz pic.twitter.com/gP25EIchxA— Vexilla Galliae (@VexillaGalliae) March 8, 2021
– La Rédaction d’E&R –
Beauvais, La Duchère, Bron, Rillieux-la-Pape : depuis plusieurs jours, les forces de l’ordre sont confrontées à des émeutes souvent très violentes. Pour l’avocat Thibault de Montbrial, la dégradation générale de la sécurité en France nécessite une restauration urgente de l’autorité de l’État si l’on veut éviter d’arriver au « point de non-retour ».
« Il faut à tout prix corriger le tir pour éviter l’affrontement », prévient Thibault de Montbrial.
L’avocat au barreau de Paris se veut lucide sur la situation sécuritaire en France. « Il est minuit moins cinq », alerte-t-il dans son essai Osons l’autorité (Éd. de l’Observatoire). Dans la métropole lyonnaise, vingt et une personnes ont été interpellées après plusieurs nuits d’émeute et d’attaques de fourgons de police brûlés par les flammes. « Il y a un bon état d’esprit qui règne, même s’il peut y avoir ici où là des éléments incontrôlables », avait relativisé au micro de BFMTV le maire (EELV) de Lyon, Grégory Doucet.
« La lâcheté n’a jamais empêché la débâcle », lui a vertement répliqué Me de Montbrial sur Twitter.
« Il est urgent de restaurer l’autorité de l’État afin d’éviter autant que possible la vague de violences, dont il est malgré tout inéluctable qu’elle nous frappe en partie », martèle Me de Montbrial au micro de Sputnik. « Tous les acteurs régaliens de la sécurité intérieure et de l’armée sont extrêmement inquiets sur la difficulté que l’on aura pour éviter que la violence continue à augmenter. »
Si les responsabilités de cette dégradation de la sécurité en France sont « multiples », précise l’avocat, les « renoncements et les lâchetés petits et grands » des gouvernants « au cours des quarante dernières années, de droite comme de gauche » ne sont pour lui pas étrangers à cette situation.
Après #Lyon hier soir, #RilleuxLaPape s’embrase !
Toujours le même scénario :
des caïds qui veulent imposer la loi du plus fort, en cassant tout, en brûlant tout.
Et toujours les plus faibles qui trinquent.
Nos collègues de la @PoliceNat69 sont sur le bitume, en dernier rempart. pic.twitter.com/RibAmmhAMy— Commissaires de Police SICP (@SICPCommissaire) March 5, 2021
« À force d’avoir laissé se creuser les dissensions qui fracturent notre société, la soupape est prête à exploser », écrit dans son livre le président du Centre de réflexion sur la sécurité intérieure (CRSI).
« Toute faire pour éviter la guerre civile »
De là à agiter le spectre de la guerre civile ? L’avocat n’exclut pas cette possibilité, même s’il prend soin de préciser qu’il « tout faire pour l’éviter, sans renoncer à défendre nos valeurs. » « Tous les pays qui ont connu la guerre civile ont eu beaucoup de mal à s’en relever : cela signifierait une violence épouvantable et, sur la durée, la destruction d’une partie du patrimoine culturel d’un pays », avertit-il.
Pour notre interlocuteur, cependant, « le point de non-retour n’est pas encore atteint. » Des solutions existent pour que l’État recouvre son autorité, à condition d’y consentir. Est-ce là que le bât blesse ? Selon l’avocat, la classe politique dans son ensemble n’ignore rien de la violence qui gangrène le pays, et de ses causes. « En privé, tous les hommes politiques de la gauche républicaine jusqu’à la droite nationale sont parfaitement conscients [des problèmes de sécurité, NDLR], même s’ils ne l’admettent pas forcément publiquement », avance ainsi Thibault de Montbrial.
« Nous vivons en paix depuis soixante-dix ans : cela complique parfois le travail mental nécessaire pour se rendre compte de l’état de dégradation de notre pays. D’autant plus que les élites vivent dans des conditions relativement préservées ! », poursuit-il.
La crise sanitaire a permis d’illustrer concrètement ce qu’on peut qualifier d’indulgence de l’État. Ainsi, entre le 16 mars et le 7 mai 2020, 12.500 prisonniers sur les 72.500 que comptent les prisons (soit 17 % du nombre total de détenus) ont été libérés, officiellement pour éviter la propagation du virus derrière les barreaux. La vraie raison de ce que Thibault de Montbrial qualifie d’« amnistie Covid » qui ne dirait pas son nom serait plutôt la surpopulation carcérale, faute d’un nombre suffisant de places de prison en France. Faut-il redouter une crise sécuritaire majeure dans les mois et les années à venir en raison de cette mesure pour le moins généreuse portée par Nicole Belloubet, l’ex-ministre de la Justice ?
Augmentation de 91 % des homicides et tentatives d’homicide en 20 ans « La crise sécuritaire a en réalité déjà commencé », réplique Me de Montbrial. « De manière empirique, on estime à l’heure actuelle que les actes de violence ont augmenté de 15 % à 20 % depuis le mois de juin dans les villes moyennes françaises ». Une augmentation statistique bien plus large, poursuit l’avocat :
« Au cours des cinq dernières années, on constate une explosion de ce qu’on appelle les “homicidités”, qui comprennent les homicides, les tentatives d’homicide et les violences graves susceptibles d’aboutir au décès des victimes (lynchages en bande, etc.) »
Selon le criminologue Alain Bauer, 4.472 faits d’homicides et de tentatives d’homicide ont été recensés en 2020, ce qui représente une augmentation de 91 % en l’espace de vingt ans. En 2000, 2.338 faits de cette nature avaient en effet été répertoriés.
Michel Onfray : « On est dans une zone de non-droit qui est nationale. Ce n’est pas du tout des poches qui seraient des territoires perdus de la République. C’est la France qui est un territoire perdu de la République » dans #LaMatinale pic.twitter.com/qEXzNSD60L
— CNEWS (@CNEWS) March 4, 2021
« Tous les jours et toutes les nuits, à différents endroits du territoire, on relève des attaques graves contre la police, des règlements de compte entre bandes et des cadavres retrouvés dans la forêt ou dans les rivières », fait remarquer Me de Montbrial.
« Zones de non-droit »
Dans les banlieues, la situation n’en finit pas de se dégrader et les épisodes de violence font craindre un embrasement des quartiers sensibles par effet de contamination. « Il y a effectivement en France ce qu’on peut qualifier de “zones de non-droit”, dans lesquelles l’autorité de la République ne s’applique plus que ponctuellement : la police intervient en faisant du “in and out”, rentre et sort sans pouvoir y rester », observe Thibault de Montbrial. Pour lui, l’incapacité de l’État à agir dans ces quartiers s’explique assez facilement :
« Aujourd’hui, le gouvernement n’a ni les moyens ni l’intérêt d’aller à l’affrontement direct pour rétablir l’ordre dans les banlieues, car cela aboutirait très vite à des drames et des morts des deux côtés, compte tenu de l’état de tension et du matériel dont les voyous disposent. »
À Beauvais, quatre jeunes comparaissent ce lundi 8 mars pour « violence sur personne dépositaire de l’autorité publique », « participation avec arme à un attroupement par personne dissimulant volontairement son visage » et « menace de mort ». Trois policiers avaient été légèrement blessés, dont deux par des tirs de mortiers. Selon la municipalité, ces actes de violence résulteraient d’une pression exercée par les forces de l’ordre sur les trafiquants de drogue au cours des dernières semaines. Toujours dans la métropole lyonnaise, le maire (LR) de Rillieux-la-Pape a été la cible de menaces de mort. Des inscriptions taguées, « Le maire on va te couper la tête » et « La municipalité on va vous brûlé [sic] » ont été retrouvées sur des bâtiments publics ce samedi 6 mars.
Devant cet état des lieux préoccupant, le risque est que les islamistes profitent de cette impunité pour accroître leur emprise idéologique dans les banlieues, avertit Me de Montbrial :
« L’islamisme s’est imposé comme régulateur parallèle de la vie sociale : petit à petit et sans violence, les gens qui ne sont pas musulmans quittent ces quartiers. […] Les islamistes théorisent depuis les années 30 la façon dont on peut pénétrer puis renverser les pays non musulmans. […] En réalité, les militants islamistes non violents (Frères musulmans, salafistes) poursuivent le même objectif final que ceux qui commettent des crimes au nom de l’islamisme », conclut-il.
Non au national-sionisme !
Refusez l’arnaque du national-sionisme
en signant la pétition « Non au national-sionisme ! » :
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation