par Pierre-Alain Depauw.
Le monde de folie que veulent nous imposer les apprentis sorciers mondialistes n’a pas fini de nous surprendre, de nous inquiéter et de nécessiter notre ferme résistance.
Le coronavirus sert de prétexte à légitimer l’accélération d’un plan qui est conçu jusque dans les moindres détails comme le confirme cyniquement le manifeste du Great Reset signé par Klaus Schwab, dirigeant du Forum économique mondial.
Le monde post-covid a des allures de film de science-fiction. Un monde de plus en plus totalitaire dans lequel le numérique et en conséquence le robot prennent de plus en plus d’importance en même temps que la société se déshumanise.
Et voici que parmi ce projet de Nouvel Ordre Mondial apparaît encore un nouveau concept : « Untact ». Sans contact. Entendez par là sans contact humain. La Corée du Sud est à la pointe du projet d’une société « Untact ». Ici encore, le coronavirus en est un prétexte accélérateur. Puisque l’autre humain est présenté comme un potentiel dangereux vecteur de virus, il faut entrer en contact direct avec le moins possible d’autres humains selon la vision futuriste anxiogène.
D’où un plan des autorités sud-coréennes pour organiser la vie quotidienne de demain « sans contact ». Le mot « untact » apparaît à 47 reprises dans le plan de relance de 136 pages présenté par les autorités sud-coréennes pour relancer l’économie de leur pays. Un plan présenté en juillet 2020. Admirez la rapidité avec laquelle de telles théories surgissent quelques mois seulement après l’annonce d’une pandémie Covid-19. Et, comme par hasard, un tel plan repose sur les multinationales et les nouvelles technologies.
La Corée du Sud va donc investir plus de 40 milliards d’euros pour encourager les entreprises à développer des robots, des véhicules autonomes, des drones, des hôpitaux à base d’intelligence artificielle et toute autre technologie qui pourra permettre de réduire les contacts humains.
En réalité, la Corée du Sud n’a pas attendu le coronavirus pour enclencher cette révolution « Untact ». Ce pays est un des plus connectés au monde et vivre une partie importante de son temps derrière un écran. Le mot « untact » n’est d’ailleurs pas nouveau en Corée du Sud. Le coronavirus a simplement permis de l’ériger au rang de projet de société par le gouvernement.
Le développement de la 5G, de la robotisation et de l’intelligence artificielle doivent, selon les termes du plan de relance sud-coréen, modifier tous les aspects de notre existence.
Les restaurants seront remplacés par des chaînes de restauration sans personnel humain, dans lesquels ce sont des robots qui préparent la commande et viennent la servir à table.
L’enseignement à distance deviendra la norme.
18 hôpitaux équipés d’intelligence artificielle ultra-développée privilégieront les soins à distance.
La plupart des boutiques disparaîtront au profit du commerce en ligne. De nombreuses livraisons se feront par des drones.
Les discussions en ligne avec les interlocuteurs professionnels deviendront la norme.
Les liens avec les amis et la famille seront encouragés à ne plus exister que par écrans interposés.
Les loisirs (écouter un concert, visiter une exposition,…) se feront virtuellement devant un écran.
Des « smart cities » (villes intelligentes) vont se développer avec le « sans contact humain » comme règle de base.
Dans une interview au journal Le Figaro, Park Yang-woo, ministre sud-coréen de la Culture, des Sports et du Tourisme de Corée a déclaré qu’il devenait nécessaire de « créer une culture sans contact ». « Nous devons créer une nouvelle vie, qui inclut moins de contacts en face-à-face. Nous avons baptisé cela la culture « untact » qui sera soutenue par la Quatrième Révolution industrielle, dont les nouvelles technologies comme l’intelligence artificielle, et la 5G ».
En vérité, cette société « untact » promue par le gouvernement sud-coréen est exactement conforme à la description du monde post-covid faite par Klaus Schwab au nom du Forum économique mondial sous l’intitulé Great Reset.
Bienvenue dans le Meilleur des Mondes…
source : https://medias-presse.info/
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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