Il faut comprendre Bill Gates. Il a tellement d’argent qu’il ne sait pas quoi en faire. Alors il s’achète des caisses. Des caisses allemandes, parce qu’il ne veut pas que ses compatriotes ouvriers produisent trop de gaz carbonique en travaillant.
S’il est évident qu’il ne sait que faire de son fric, on jurerait aussi qu’il ne sait que faire de sa bouche, si c’est bien une bouche. On le voit toujours en train de la crisper, comme s’il voulait l’empêcher d’insulter le photographe sans sa permission.
Ça fait soupçonner qu’il est affligé du syndrome de Gilles de la Tourette. Et qu’il le sait, puisqu’il crispe. Oui, c’est sûrement ça. Comment expliquer autrement les énormités qui émaillent ses déclarations publiques ?
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