La chasse aux sorcières a débuté aux États-Unis alors que l’opinion publique désapprouve les mesures les plus idéologiques des néo-puritains de l’administration Biden.
Seuls 45% des citoyens US approuvent l’interruption de la construction du mur à la frontière mexicaine. Tandis que seuls 42% approuvent l’autorisation d’immigrer depuis les pays musulmans dans lesquels les ambassades n’ont pas la possibilité de vérifier l’identité des migrants.
Les membres du Comité international olympique ne savent pas comment remettre en cause l’autorisation du président Biden donnée à chaque athlète de choisir dans quelle catégorie, masculine ou féminine, il entend concourir. Certains réfléchissent à fixer des seuils de testostérone chez les concurrentes.
Plusieurs centaines de personnes, siégeant dans les 42 comités consultatifs du Pentagone, ont été invitées à démissionner ou seront renvoyées avant la fin du mois. La plupart d’entre elles avaient été nommées au cours des deux derniers mois de l’administration Trump. Il s’agit de la plus importante purge jamais effectuée au Pentagone, y compris au plus fort de la Guerre froide, durant la période maccarthyste (1953-54).
La Chambre des Représentants cherche officiellement un moyen de destituer la nouvelle représentante de Géorgie, Marjorie Taylor Greene, pour avoir suggéré qu’aucun avion n’avait frappé le Pentagone le 11 septembre 2001 et que les attentats n’ont pas été perpétrés par Al-Qaïda, mais par une partie de l’État profond US (la thèse de Thierry Meyssan). D’ores et déjà, le leader de la minorité républicaine, Mitch Mc-Connell, a annoncé qu’il ne partageait pas ses « mensonges » et ne la défendrait pas.
Le représentant républicain Adam Kinzinger lève des fonds pour lutter contre l’influence de l’ancien président Donald Trump au sein du Parti républicain.
Le leader de la majorité démocrate du Sénat, Charles E. Schumer (photo), a quant à lui déposé une résolution le 2 février 2021 visant à contraindre le FBI à enquêter sur le mouvement QAnon, présenté comme une menace contre la démocratie, et à le criminaliser. Les principaux médias mènent simultanément une campagne de propagande pour réduire le message politique de QAnon et faire passer ce mouvement pour une secte anti-pédophiles.
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