L’Autriche, pour les journalistes du Système, c’est le pays de tous les maux, et d’abord celui d’avoir donné naissance au chancelier Adolf Hitler.
Du coup, quand des milliers d’Autrichiens manifestent contre le confinement, cette mesure vexatoire sans aucun effet sur l’épidémie de grippe annuelle, la liberté devient… d’extrême droite.
– La Rédaction d’E&R –
Environ 10.000 personnes, dont des néonazis, ont bravé ce dimanche à Vienne une interdiction de manifester contre le couvre-feu et le confinement décidés par le gouvernement pour tenter d’endiguer le coronavirus.
La police avait interdit samedi cette manifestation, à la suite d’un précédent défilé ayant également rassemblé 10.000 personnes mi-janvier et au cours duquel les participants avaient été nombreux à ne pas porter de masques et à ne pas respecter les distances de sécurité.
Mais selon les forces de l’ordre, plusieurs milliers de personnes ont quand même répondu ce dimanche après-midi à l’appel du parti d’extrême droite FPÖ, qui avait organisé la manifestation et jugé « scandaleuse » son interdiction. Parmi elles figuraient des militants néonazis et des hooligans.
La police a procédé à 10 interpellations quand la foule a refusé de se disperser et a voulu marcher en direction du parlement, bloquant la circulation. Quatre policiers ont été blessés et plus de 800 personnes ont été verbalisées pour non respect des mesures sanitaires, selon le ministre de l’Intérieur Karl Nehammer.
[…]
Le FPÖ avait ensuite déposé une seconde demande d’autorisation pour « défendre la démocratie, la liberté et les droits fondamentaux », mais la police l’avait également rejetée. Elle avait mis en avant le risque de nouveau foyer de contamination, « en raison de la transmissibilité accrue des nouveaux variants » et « du manque de traçabilité des contacts » dans les rangs des manifestants.
Lire l’article entier sur bfmtv.com
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation