C’est donc là précisément qu’intervient l’article 13 du Code de déontologie qui oblige désormais tout médecin qui participe à une action d’information du public « à caractère éducatif, scientifique ou sanitaire », à ne faire « état que de données confirmées ». Mais confirmées par qui ? La science ainsi se fige. On se doute que les données confirmées dans l’immédiateté seront celles de Big Pharma, du Pouvoir en collusion ou sous domination des lobbies qui tirent les ficelles, puisque le décret, passé subrepticement à Noël, stipule que le médecin est libre de communiquer « des informations scientifiquement étayées » sur « des questions relatives à sa discipline ou à des enjeux de santé publique », nous comprenons alors qu’il devient dangereux pour le médecin de risquer de parler de vitamine D3, d’hydoxychloroquine, prochainement d’Ivermectine, d’antibiotique macrolide, de l’Artemisia, ou de Zinc. Quand il faut se faire tester pour savoir si l’on est malade, dans un climat de réticence à se faire piquer par une thérapie génique, on peut craindre que d’autres décrets du même genre suivront, pour l’enseignement, l’Histoire, la philosophie, les partis politiques, et toute remise en cause scientifique, toute nouvelle invention ne seront plus permises sans l’aval du Pouvoir, aussi les journalistes seront « libres » de faire valider leurs articles par l’organe officiel de censure. Jamais dans une Démocratie, ou considérée telle, les Droits de l’homme auront été autant foulés aux pieds, jamais la fenêtre qui mène encore à la liberté passée n’aura été aussi étroite. La rage qui manifestement étreint le Pouvoir face à une épidémie dont les risques sont considérablement enflés, le refus de toute discussion ou débat, semblent correspondre à un agenda, celui qui fit peut-être dire : « On les aura, ces connards ».
Les dits connards se souviendront.
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