par Charles Sannat.
Nous vivons des heures très sombres, parce que la raison s’éloigne de plus en plus de ceux qui prennent des décisions qu’ils imposent aux autres au mépris aussi bien de la liberté individuelle, de la démocratie ou tout simplement du bon sens comme de la science !
Les mamamouchis d’en haut se préparent à nous imposer un 3ème confinement progressif et d’après les dernières rumeurs le confinement à 18 heures sera généralisé à tout le territoire ce qui est une ineptie, puisqu’il ne sert à rien de confiner des endroits où le virus circule pas ou peu, et puis surtout, ces histoires de couvre-feu, ne reposent sur aucune étude scientifique permettant d’en mesurer l’efficacité. C’est assez normal, car il faut toujours du temps pour étudier, mesurer et quantifier.
Nous subissons depuis maintenant un an, la politique erratique de dirigeants qui ne dirigent rien.
Je ne vous refais pas l’historique, mais pour mémoire nous avons eu droit à tout ! Le virus ne viendra jamais chez nous. Nous sommes les mieux préparés. Il ne faut pas porter les masques. Il n’y aura pas de confinement. Il faut porter le masque. Fermons les écoles. Ouvrons les écoles. Fermons les restaurants. Laissons les cantines scolaires ouvertes. Et si nous fermions les cantines ? J’en passe et des meilleures. C’est insupportable d’amateurisme et de manque de sens de l’État.
Pendant ce temps, notre économie s’effondre.
Nos artisans, commerçants, restaurateurs, entreprises de dizaines de secteurs sombrent collectivement.
Le métro parisien c’est possible de même que les bus bondés marseillais… mais un cinéma un siège sur deux, c’est impossible. Bref, tout ceci est du délire, alors même que le virus tend à muter, que la vaccination est très lente et sans certitude, sans oublier les effets secondaires éventuels mal mesurés aujourd’hui pour une maladie qui tue à 93% les plus de 65 ans vers qui nous devrions orienter une politique de protection ciblée (masques FFP2, tests, vaccination etc) et aussi les politiques de confinement puisque c’est nos seniors qui semblent saturer les services hospitaliers, encore faut-il poser les chiffres, peser les données, et en discuter collectivement pour voir comment protéger le plus grand nombre aussi bien en termes sanitaires, que sociaux et bien évidemment également économiques.
Quant à cette histoire de vaccin que l’on veut pousser tout le monde à faire, elle génère de la crétinerie et de la stupidité à un niveau jamais vu. Nous avons créé une machine à produire de la bêtise de manière industrielle… Mais parfois cela se voit !
Le plus beau bug de Praud. pic.twitter.com/TbSWOOkfdA
— Babar le Rhinocéros (@Babar_le_Rhino) January 13, 2021
Pour résumer, ceux qui sont vaccinés ne craignent rien des non-vaccinés. Ce sont les non-vaccinés qui peuvent risquer de se faire infecter y compris par les « vaccinés » puisque l’on ne sait pas encore si le vaccin empêche transmission et contagion…
Dit autrement, « on » réussit à faire croire aux vaccinés qu’ils ont peur des non-vaccinés… remarquable. C’est « orwellien » à souhait.
D’autres mamamouchis d’entreprises traitent les salariés comme des chiens !
« Chez les employés français d’Essity, la proposition de la direction d’équiper le personnel de boîtiers bipant en cas de non-respect de la distanciation sociale ne passe pas du tout ! »
Essity, est un groupe suédois de fabrication de produits d’hygiène (Papier toilette Lotus, couches, protections hygiéniques Nana…) Source ici.
« Et pour cause, comme le rapportent plusieurs journaux locaux de régions où l’entreprise est implantée, Essity veut proposer à ses employés de porter un boîtier (à la taille ou au bout d’un cordon porté au cou, d’où l’idée de collier pour chien sur laquelle ironise la CFDT) qui émet un son dès lors que la distanciation sociale entre deux salariés n’est plus respectée ».
D’après les rumeurs le son émis serait tout de même de 85 décibels ce qui est énorme.
Nous rentrons là dans le délire le plus absolu. C’est évidemment de la dictature sanitaire, du totalitarisme pandémique, appelez cela comme vous le voulez, mais c’est bien évidemment inadmissible.
Les gens ne sont pas des animaux, l’autre n’est pas un danger à fuir à tout prix, nous avons besoin de contacts sociaux, d’échanges, d’interactions, nous avons aussi besoin de nous toucher, de nous aimer, de nous disputer, de nous détester, ou de nous rapprocher, nous avons besoin de rire, de chanter et de danser.
La vie doit être protégée.
La vie est fragile.
Chaque vie compte. Mais une vie sans vie ce n’est pas la vie, ce n’est plus la vie.
La vie porte en elle une part de danger permanent, une fragilité inhérente, une finitude qui en fait sa force, sa rareté, sa préciosité.
Vivre est dangereux.
Vivre implique de mourir un jour.
Vivre sans vie c’est déjà mourir.
Nous sommes dirigés par des imbéciles, des menteurs, des manipulateurs, et des mauvais.
La restriction des libertés atteint un point qui ne doit plus laisser aucun citoyen indifférent. Cette histoire de collier pour respecter la distanciation sociale doit faire sonner un signal d’alarme chez chacun de nous.
Restez à l’écoute.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !
source : https://insolentiae.com
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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