Régime nocturne : les dernières heures de liberté du Christ se déroulent bien pendant la nuit, moment illustré et très bien choisi de Marie pour sa couverture du livre d’Auguste Crampon.
On dit que la nuit et la lune sont plutôt le domaine féminin, mais le féminin n’étant pas entièrement accompli sans le masculin, c’est en fait la réconciliation obligée de l’homme et de la femme durant la nuit (d’amour et de rêves partagés), si on ne veut pas que l’homme qui a dormi seul durant la nuit ne se venge de son mal-être une fois le jour venu en mal-faisant…
Le thème de la vengeance n’étant pas exactement chrétien, plutôt judéo-hollywoodien : le Christ a bien été crucifié le jour par une horde de haineux frustrés dont les descendants dirigent aujourd’hui la France – voir la tronche d’Haziza.
Régime diurne : le culte du soleil est celui de l’homme vainqueur, le héros qui a accompli sa tâche virile, mais qui tragiquement est obligé de s’éteindre, de dormir pour reprendre des forces car il n’est pas un dieu… après l’effort le réconfort…
Cette société individualiste qui nous suggère constamment le modèle du sur-homme ou de l’homme-dieu (qui n’a plus besoin de Dieu paraît-il), engendre logiquement un déséquilibre (psycho-somatique) entre principe féminin et principe masculin. C’est bien parce qu’on nous encourage à suivre un modèle (orgueilleux et malade d’origine étrangère) qui nous dénature constamment – tant qu’on le suit !
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