SOTT FOCUS: Le revenu de base universel et les six autres théories qualifiées de « conspirations délirantes » jusqu'à ce que l'an 2020 arrive

SOTT FOCUS: Le revenu de base universel et les six autres théories qualifiées de « conspirations délirantes » jusqu'à ce que l'an 2020 arrive

L’article publié par Daisy Luther le 23 novembre dernier sur Organic Prepper décrit ces sept théories depuis le point de vue des États-Unis. Toutefois, et de par le contexte de Coup d’État mondial/ mondialiste actuel, ce point de vue vaut pour toutes les populations — notamment occidentales, mais pas seulement — quelles que soient leurs nationalités.

Théorie conspirationniste

© Inconnu

Le Covid-19, c’est une épidémie de peur. Un canular perpétré sur les populations mondiales. Là où il n’y a pas de peur, il n’y a pas de Covid-19. La peur et l’incertitude dominent la couverture médiatique. Le nouveau coronavirus est dépeint non pas comme un agent pathogène banal dont les miracles de la science moderne sont en passe de venir à bout d’un jour à l’autre, mais comme un mal invisible qui rôde partout, redoutable au point d’inspirer une terreur respectueuse même dans les hautes sphères de l’establishment médical. La réponse au coronavirus relève d’une campagne de terreur étatique basée sur la propagande. Les mesures de protection, comme les masques, ont pris un caractère talismanique, le lavage des mains est devenu une performance rituelle, et une secte fondée sur la dénonciation et la mise au pilori des « hérétiques » a pris possession de l’esprit de nombre de gens, tandis qu’on les dépouille tranquillement de leurs droits, désormais remplacés par un État policier paternaliste. Les confinements illégitimes d’un point de vue scientifique s’enchaînent et nous enchaîne chaque fois un peu plus, et on aurait parfois l’impression d’être embarqués à notre insu dans des montagnes russes. Ne parlons même pas des vaccins qui ont parait-il « sauvé l’humanité » des pires maladies infectieuses.

Laissons la parole à Daisy Luther, et nous reviendrons ensuite notamment sur son point 1, en tentant de démontrer pourquoi et comment le « revenu de base universel » constitue — sous couvert de panacée — un piège.

* * * * * * * * * * * * * * * *

Vous vous souvenez de l’époque, disons en 2019, où toute personne qui parlait d’implants de puces RFID, de l’obligation pour circuler de présenter des attestations de déplacement, ou encore de la mise en place de camps de rééducation, était considérée comme un théoricien du complot en plein délire ? Et puis, 2020 est arrivé, et voilà ! Il s’est avéré que ces théories du complot n’étaient pas si « délirantes » après tout.

Et je ne parle pas seulement du gouvernement [des États-Unis – NdT] qui publie des informations sur les OVNIs.

Nous vivons dans une époque où si vous avez voté pour le « mauvais » candidat à la présidence, un individu pourrait tenter de vous tabasser, de brûler votre maison ou même de vous tuer. Nous sommes soumis à des couvre-feux, nos déplacements sont limités et nos entreprises ont été fermées de force. Un jour, les gens considéreront 2020 comme l’année où tout a changé — ou selon la façon dont les populations réagissent aux obligations qui leur sont faites — comme l’année où nous avons enfin dit, ça suffit.

Voici sept théories qui étaient avant 2020 considérées comme des conspirations délirantes… jusqu’à aujourd’hui, où elles deviennent bien trop réelles.

1 — Revenu de base universel

Auriez-vous jamais pensé pouvoir vivre dans un pays où le gouvernement dirait aux propriétaires d’entreprises privées quand et comment ils seraient autoriser à exercer leurs activités ? Où les travailleurs se verraient dire : « Pour votre propre bien, vous ne pouvez plus aller travailler ? »

Eh bien, bienvenue en 2020.

22 millions d’emplois ont été perdus et seulement 42 % d’entre eux ont en août dernier été retrouvés [aux États-Unis – NdT], lorsque le pays a commencé à déconfiner. Des millions d’emplois perdus le sont de façon irréversible, parce que les entreprises croulent dans tout le pays sous le poids des restrictions qui ne leur permettent pas de poursuivre leurs activités et/ou sont aux prises avec les difficultés financières de leurs anciens clients.

Mark Zandi, économiste en chef de Moody’s Analytics, déclare que :

« Il est clair que la pandémie cause des dommages fondamentaux au marché du travail. Beaucoup d’emplois perdus ne reviendront pas de sitôt. L’idée que l’économie va revenir à ce qu’elle était avant la pandémie n’est clairement pas envisageable. Les personnes qui comptent sur la réouverture des entreprises peuvent être surprises de constater qu’une perte temporaire est devenue permanente. »

Quant à Heidi Shierholz, économiste senior à l’Economic Policy Institute, un groupe de réflexion libéral, elle déclare que :

« […] Plus de 10 millions d’Américains sont actuellement classés comme temporairement sans emploi. Mais historiquement, près de 30 % des personnes qui déclarent au ministère du travail qu’elles sont temporairement au chômage ne retrouvent jamais leur emploi. Même si nous ne savons pas si le record historique tiendra dans ces conditions, le fait que toutes ces personnes ne soient pas rappelées constitue une préoccupation extrêmement justifiée. »

Parmi les entreprises qui ont fermé, beaucoup ne rouvriront jamais. Les plus durement touchées sont les petites entreprises.

« Environ 60 % des entreprises qui ont fermé pendant la pandémie de coronavirus ne rouvriront jamais, et ce sont les restaurants qui ont le plus souffert, selon de nouvelles données de Yelp. »

Nous avons donc non seulement des gens qui sont devenus chômeurs, mais aussi des propriétaires d’entreprises qui ont tout perdu. Alors qu’aux États-Unis nous entrons dans le deuxième épisode de confinement, il n’est pas exagéré de penser que certaines des petites entreprises qui ont jusqu’à présent réussi à se maintenir à flot succomberont aux effets économiques de ces mesures… qui entraîneront avec elles encore plus de pertes d’emplois et plongeront encore plus de citoyens dans la pauvreté.

Note du traducteur : En France, et selon l’INSEE, c’est près de 500 000 emplois qui ont été perdus en additionnant les premier et second trimestre, ce dernier n’étant pas terminé. Selon l’institut, la baisse du premier semestre annule, à elle seule, les hausses enregistrées au cours des deux années précédentes.

La pauvreté est un cercle vicieux et une seule chose, petite en apparence, peut aspirer ceux qui se débattent dans une spirale de frais et de pénalités financières dont il semble impossible de sortir. J’ai déjà fait part ici de ma propre expérience de la pauvreté. L’inquiétude porte sur le nombre encore plus élevé de personnes qui après ce cycle de mesures gouvernementales ne se remettront pas financièrement, ce qui ne fera qu’augmenter encore plus le nombre de citoyens fauchés, affamés et sans abri.

Pauvreté en France

© Reuters

Mais ne vous inquiétez pas — le gouvernement est là pour vous aider. Il a fourni un chèque de « relance » à tout le monde et a tellement donné d’argent aux chômeurs que ces derniers gagnaient plus en restant chez eux qu’en allant travailler. Le gouvernement s’est tellement endetté que le montant de la dette est tout simplement abyssal.

En effet, des citoyens ont été payés pour ne pas travailler. Et, dans la plupart des cas, ces personnes ne sont pas coupables — le gouvernement a imposé la fermeture de leur lieu de travail, à moins qu’il ne soit considéré comme « essentiel ».

Et cette situation ressemble beaucoup à celle du revenu de base universel. Ou, comme j’aime à l’appeler, le féodalisme moderne :

« Beaucoup sont prêts à renoncer à leur liberté pour que quelqu’un d’autre puisse s’occuper d’eux.

Ces personnes ne pensent pas que de cette manière elles renoncent à leur liberté. Elles sont convaincues qu’elles adoptent un système intelligent et équitable qui élimine la pauvreté. La cupidité, le droit et le manque d’ambition qui semblent aujourd’hui inhérents à de nombreuses personnes les feront glisser volontairement sous le joug de la servitude.

Elles estiment que leur vie mérite une bouffée d’air [ou que leur survie vaut mieux que leur vie – NdT]. L’un des titres de Gawker, « Un revenu de base universel est l’utopie que nous méritons », exprime assez bien ceci :

« L’idée d’un revenu de base universel pour tous les citoyens a fait son chemin partout dans le monde. Est-ce trop fou pour y croire ? Nous avons parlé à l’auteur d’un nouveau livre sur les tenants et aboutissants et les rêves utopiques de faire du revenu de base une réalité.

Le mouvement en faveur du revenu de base a reçu un coup de fouet cette semaine, lorsque l’organisation caritative GiveDirectly a annoncé qu’elle allait lancer un projet pilote de 30 millions de dollars sur dix ans pour donner un revenu de base à un groupe choisi de villageois kenyans et en étudier les effets. En tant que solution à la pauvreté, le revenu de base universel s’adresse aux personnes les plus démunies d’Afrique, aux Scandinaves relativement aisés et aux Américains qui ont perdu leur emploi en raison de l’automatisation de leurs activités. »

Bien sûr, de l’argent pour rien, ça a l’air génial en surface. Mais quel serait le résultat réel d’un revenu de base universel ? Le féodalisme. Le servage. L’esclavage.

Le revenu de base universel nous ramènerait rapidement au féodalisme du Moyen Âge. Bien sûr, en lieu et place de simples cabanes, nous pourrions vivre dans des logements modernes et pratiques. Nous pourrions exercer un métier adapté aux temps modernes plutôt que d’élever des moutons pour le seigneur du chateau.

Mais, en fin de compte, nous ne posséderions rien, car la propriété privée serait abolie pour tous sauf pour la classe dirigeante. La vie ne nous octroierait plus aucune possibilité de progression. Nos trajectoires personnelles nous seraient imposées et nous serions fortement dissuadés d’en dévier.

Les gens seraient complètement dépendants du gouvernement et de la classe dirigeante pour tout ce qui est nécessaire : nourriture, logement, eau, vêtements. Quel meilleur moyen d’affirmer le contrôle que de rendre la conformité nécessaire à la survie ? »

À l’aune de ce deuxième épisode de confinement, combien d’emplois supplémentaires vont définitivement disparaître ? Comment vont faire toutes ces personnes pour se nourrir ? Pour payer leur loyer ? Le gouvernement est en train de leur donner de l’argent. Et il est en fait impossible d’en débattre, parce que tout le monde connaît quelqu’un ayant perdu un emploi occupé pendant des décennies et qui est incapable aujourd’hui d’en trouver un autre.

Note du traducteur : Les prévisions pour l’année 2020 font état de la disparition d’environ 840 000 emplois, dont près de 730 000 emplois salariés. En France et à l’heure actuelle, c’est l’économie francilienne qui a été le plus impactée, et sans surprise, ce sont les secteurs de l’hôtellerie-restauration, les services de transport, les activités récréatives et de loisirs qui sont le plus touchés au niveau national.

On pourrait en entendre parler sous une autre expression, mais le revenu de base universel arrive. Et c’est pour bientôt.

2 — Attestations de déplacement

Ne soyez pas ridicule. Nous n’aurons jamais à montrer des « attestations » pour se déplacer librement..

Et c’est là que, lorsque survient une pandémie de Covid accompagnée de toutes ses restrictions subsidiaires, la réalité de la chose vous envahit comme une révélation. En mars dernier, quelques jours après avoir mis en garde contre le premier confinement, j’ai écrit :

« Pour tous ceux qui pensaient que l’article sur le « confinement américain » était une « exagération hystérique » et que, parce qu’il n’était pas vraiment appliqué, ils pouvaient toujours faire ce qu’ils voulaient, que pensez-vous aujourd’hui du fait que des « attestations de déplacement » sont distribués ? Pour moi, on dirait que les mesures de confinement que j’ai écrites alors n’étaient que le premier pas vers une société que personne n’espère voir.

Hier, les lecteurs m’ont envoyé des photos de ces « attestations de déplacement » qui leur ont été remises par leurs employeurs pour leur permettre de se rendre à leur travail et d’en revenir. Il s’agit d’employés qui travaillent dans des secteurs tels que les soins de santé, les pharmacies et la restauration, ainsi que ceux qui travaillent dans la production, le transport et la vente de fournitures essentielles.

Un lecteur a écrit : « On nous a dit de les montrer si nous étions arrêtés sur le chemin du travail et que si les autorités nous posaient des problèmes, de ne pas discuter et de rentrer chez nous. »

Ces attestations qui m’ont été envoyées venaient de Pennsylvanie, de New York, d’Arizona, du Michigan, de Caroline du Nord, du Kansas, du New Jersey, de Virginie occidentale, de Virginie, de l’Oregon, de Floride, de Louisiane et d’Ohio. Les sociétés mentionnées dans ces documents étaient des entreprises de camionnage, des épiceries, des cliniques médicales, des hôpitaux, des maisons de repos, des sociétés de transports en commun, des compagnies ferroviaires, des usines de production alimentaire, des pharmacies, des stations essence, des magasins comme Target et Walmart, et des ateliers de réparation automobile.

La plupart des gens recevaient leurs attestations le vendredi ou le samedi et étaient prévenus qu’ils en auraient besoin dès la semaine suivante pour se rendre à leur travail et en revenir. »

Vous pouvez voir certaines de ces attestations qui m’ont été envoyées ici.

3 — Suivi obligatoire des individus par GPS

« Ne sois pas idiote. Personne ne te suit à la trace grâce à ton téléphone. Tu n’es pas Jason Bourne.»

Oups ! Raté ! 2020 a prouvé que c’était un mensonge à partir du moment où ils ont déployé des applications de recherche de contacts pour s’assurer que vous ne respiriez pas le même air qu’une personne ayant eu un test Covid positif.

« Non seulement les personnes malades ou potentiellement malades doivent s’inquiéter d’être appelées ou interrogées par des traceurs de contact, mais il existe également un tout nouveau monde de technologie dystopique qui se développe rapidement.
Apple et Google ont formé un partenariat afin de développer une application pour téléphone permettant de surveiller un tiers de la population mondiale. Le gouvernement australien a développé une application appelée COVIDSafe pour vous protéger, vous, votre famille et vos amis et sauver la vie d’autres Australiens. Plus les Australiens se connecteront à l’application COVIDSafe, plus vite nous pourrons trouver le virus.

En fait, toutes sortes de nouveaux outils technologiques potentiellement invasifs apparaissent pour combattre le Covid. Certains utilisent l’IA pour détecter les signes de Covid et le ministère de la défense déploie l’imagerie thermique pour détecter les signes de Covid.

Ces dispositifs ne disparaîtront pas une fois la pandémie terminée. Si elles sont utilisées pendant un an ou deux — quelle que soit la durée de présence du virus — il y a de fortes chances qu’elles restent. »

Donc… si vous avez un smartphone, soyez rassuré, une application comme celle-ci sera à un moment donné probablement installée de force lors d’une de ces incessantes mises à jour. Bien sûr, ils diront que l’application n’est qu’un cadre conceptuel et que vous devez l’activer pour qu’elle fonctionne. Oh, attendez, ils ont déjà dit ça. Après avoir installé « le cadre conceptuel ».

Société sans cash

© Inconnu

4 — Sociétés sans cash

D’une manière ou d’une autre, les États-Unis n’ont plus de monnaie.

On ne pouvait plus avoir de pièces de monnaie… nulle part… et ça a duré un certain temps. Bloomberg en a parlé en août :

« Comme si une profonde récession et une pandémie sans fin ne suffisaient pas, les États-Unis sont maintenant confrontés à une autre crise : une pénurie de pièces de monnaie. En raison des confinements, moins de pièces sont en circulation, ce qui empêche les commerçants de rendre la monnaie lorsque les clients les payent en billets. »

Beaucoup s’en sont montrés inquiets, d’autant plus que le Vénézuela a utilisé le Covid pour pousser les citoyens vers une société sans argent liquide. Ici, aux États-Unis, la « pénurie de monnaie » était tellement considérable que de nombreux magasins vous rendaient la monnaie sur une carte de fidélité ou vous invitaient à faire don de cette monnaie à une cause quelconque. Une véritable société sans numéraire permettrait un contrôle important sur notre vie quotidienne. Voir cet article pour connaître les effets totalitaires que cela aurait sur nous.

5 — Puces RFID

Le Darpa s’est impliqué très tôt, vantant les mérites de cette initiative pour nous « sauver » du Covid. Robert Wheeler a écrit :

« Mais les gouvernements n’ont pas besoin de commercialiser la micro-puce comme une méthode pour suivre, tracer et contrôler leurs populations. Au contraire, ils commercialisent la puce comme un moyen de suivre et de détecter les positifs au Covid et autres coronavirus. Il est clair que c’est bien plus facile à vendre à un public littéralement terrorisé par leurs gouvernements et les grands médias depuis six mois.

Dans son article « Une micro-puce implantable financée par la DARPA pour détecter le Covid-19 pourrait être commercialisée d’ici 2021 », Raul Diego détaille la création et le lancement prochain de la nouvelle biopuce :

« La découverte scientifique la plus importante depuis la gravité se cache au grand jour depuis près d’une décennie et son potentiel destructeur pour l’humanité est si énorme que la plus grande machine de guerre de la planète a immédiatement déployé ses vastes ressources pour la posséder et la contrôler, en finançant sa recherche et son développement par le biais d’agences comme les National Institutes of Health (NIH), la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) et la BARDA du HHS.

La percée révolutionnaire a été réalisée par un scientifique canadien nommé Derek Rossi en 2010, par pur hasard. Ce professeur de Harvard, aujourd’hui à la retraite, a affirmé dans une interview au National Post qu’il avait trouvé un moyen de « reprogrammer » les molécules qui portent les instructions génétiques nécessaires au développement des cellules dans le corps humain, sans parler de toutes les autres formes de vie biologiques.

Ces molécules sont appelées « acide ribonucléique messager » ou ARNm et la nouvelle capacité à réécrire ces instructions pour produire n’importe quel type de cellule dans un organisme biologique a radicalement changé le cours de la médecine et de la science occidentales, même si personne ne l’a encore vraiment remarqué. Comme Rossi le dit lui-même : La découverte la plus importante fut que vous pouviez maintenant utiliser l’ARNm, et si vous l’introduisiez dans les cellules, alors vous pouviez faire en sorte que l’ARNm exprime n’importe quelle protéine dans les cellules, et c’était ça le plus important. »

Note du traducteur : Raul Diego poursuit en expliquant que cette découverte était si importante,

« qu’en 2014, Rossi a pu prendre sa retraite après que la société qu’il a cofondée avec la société de capital-investissement Flagship Pioneering pour exploiter son innovation — à savoir Moderna Inc — a attiré près d’un demi-milliard de dollars de fonds fédéraux pour commencer à développer des vaccins en utilisant cette technologie. N’étant plus affilié à Moderna au-delà de ses actions, Rossi guette la suite des événements et s’il ressemble un tant soit peu à la description de père attentionné que l’on fait de lui, il doit être horrifié. »

6 — Vaccinations obligatoires

Vous vous souvenez de l’époque où personne — sauf les « théoriciens du complot en plein délire » — ne pensait que les adultes seraient un jour obligés de se faire vacciner ? Eh bien, ce jour approche à plus grands pas qu’imaginé par beaucoup.

Un vaccin Covid très attendu pourrait être mis en place en quelques jours. Pfizer et BioNTech ont tous deux conclu la phase 3 de la mise sur le marché rapide de leurs vaccins. Il reste encore beaucoup, beaucoup de questions [sans réponses – NDT]. Dans son article du 21 novembre, le Washington Post nous fait part des informations suivantes :

« Arthur Reingold, professeur d’épidémiologie à l’école de santé publique de l’université de Californie, à Berkeley :

« Le retour à beaucoup de nos anciennes habitudes prendra du temps, et on ne sait pas encore combien de temps. Les réponses nécessitent d’autres recherches sur les vaccins, la manière dont ils peuvent être distribués et le nombre de personnes disposées à en bénéficier.

Un vaccin ne sera pas disponible immédiatement pour tout le monde.

Ceci prendra probablement quatre à six mois. Ce que j’en conclus, c’est que les gens devront continuer à porter des masques au moins jusqu’au printemps. Nous ne serons pas dans une situation magiquement différente en février ou mars. Je ne vois pas comment cela pourrait arriver. »

Tout aussi importantes sont les inconnues concernant les vaccins eux-mêmes. Les scientifiques ne savent toujours pas combien de temps durera la protection induite par le vaccin, par exemple, ni si les inoculations peuvent bloquer l’infection proprement dite ou seulement empêcher l’apparition de la maladie [ou ne réduire que les symptômes – NdT]. Si c’est le cas, c’est-à-dire si les vaccins nous empêchent de tomber malade, mais pas d’être infectés, nous pourrions quand même être contagieux pour les autres. Tant que nous ne le savons pas, ne jetez pas ces masques à la poubelle…
[…]
Andrew Badley, un immunovirologue qui préside le groupe de travail sur le Covid-19 de la clinique Mayo, affirme que le retour à des activités normales dépend de nombreux facteurs, notamment du nombre de personnes qui se font vacciner :

« La seule possibilité que la vie revienne à la normale d’ici l’été est que la majorité de la population reçoive les vaccins d’ici là et que les premières données d’efficacité soient confirmées par les études en cours. Je pense qu’il est peu probable que nous puissions vacciner la majorité de la population d’ici là. »

Et comment vont-ils s’assurer que « la majorité » de la population soit vaccinée ? Au début, ce sera facile : des tas de gens retrousseront volontiers leurs manches pour se faire vacciner avec un vaccin mis sur le marché à la hâte, sans que les effets à long terme aient été testés. Et puis, le reste d’entre nous sera contraint de ne pas pouvoir aller au travail, à un concert, à l’école ou dans un bâtiment public sans avoir la preuve qu’il a été vacciné.

Selon l’article de National Geographic publié cet été,

« Vous marchez vers le stade, prêt pour voir un grand match, billets en main. Mais ce que vous voyez, c’est une longue file d’attente qui se poursuit au coin du bâtiment avec un goulot d’étranglement à l’entrée, alors que les gens fouillent leurs poches et leurs sacs à main pour trouver un petit bout de papier. Pour être autorisé à entrer, vous devrez également présenter un document prouvant que vous avez reçu un vaccin Covid-19.

C’est l’avenir tel que le voient certains experts : un monde dans lequel vous devrez, pour assister à un match sportif, vous faire faire une manucure, aller au travail ou prendre le train, faire la preuve que vous avez été vacciné contre le nouveau coronavirus.

Arthur Caplan, bioéthicien à la faculté de médecine de l’université de New York déclare que « Nous n’en arriverons pas au point où la police vaccinale défoncera votre porte pour vous vacciner. »

Mais lui et plusieurs autres experts de la politique de santé envisagent que des obligations vaccinales pourraient être instituées et appliquées par les gouvernements locaux ou les employeurs, comme c’est le cas actuellement pour les enfants d’âge scolaire, le personnel militaire et les travailleurs hospitaliers…

[…] Les obligations peuvent également être orientés vers les consommateurs. Tout comme les propriétaires de commerces peuvent interdire l’accès à leurs restaurants, salons, scènes et magasins aux clients « sans chemise et sans pantalon », ils peuvent légalement empêcher les gens d’entrer pour un certain nombre de raisons, « tant qu’ils ne sont pas en infraction avec les lois anti-discriminatoires », explique Dorit Rubinstein Reiss, professeur de droit de la santé et des vaccins à l’université de Californie, Hastings College of the Law.

Lorsqu’un vaccin Covid-19 sera disponible, certains experts pensent que les États exigeront des entreprises ciblées qu’elles fassent respecter les obligations vaccinales pour leurs employés, en particulier ceux que nous connaissons sous le terme de « travailleurs essentiels. »

Carmel Shachar, directeur exécutif du Petrie-Flom Center for Health Law Policy, Biotechnology, and Bioethics à la faculté de droit de Harvard explique que :

« Les employés des épiceries sont exposés à beaucoup de monde, mais peuvent aussi eux-mêmes en infecter beaucoup d’autres en raison de la nature de leur travail et du fait que pratiquement tout le monde doit acheter de la nourriture. »

Les employés du secteur hôtelier — ceux qui travaillent dans les restaurants, les bars et les cafés, par exemple — pourraient également se voir confier des obligations similaires.

Carmel Shachar poursuit :

« Il est dans l’intérêt d’un employeur de s’assurer que son lieu de travail est protégé et qu’un employé ne peut pas infecter ses collègues. Le fait de disposer d’un vaccin largement accessible permet à de nombreux commerçants de ne pas avoir à contrôler le comportement de leurs clients. Si votre main-d’oeuvre est vacciné, vous n’avez pas à vous inquiéter si les personnes que vous servez au restaurant ont le Covid-19. »

Même le grand public pourrait être incité à se faire vacciner. Arthur Caplan explique :

« Bizarrement, la meilleure façon d’imposer une obligation est de récompenser les gens en leur accordant plus de liberté s’ils la respectent. Par exemple, avec une preuve d’inoculation, vous pourriez assister à un événement sportif « comme récompense pour avoir fait ce qui était bien. Et j’imagine bien les gens dire : si vous voulez entrer dans mon restaurant, mon bowling ou mon salon de tatouage, alors je veux aussi voir un certificat de vaccination. »

Des rappels d’injections pourraient également être nécessaires, en fonction de l’efficacité des futurs vaccins.

La façon dont tous ces experts prévoient de forcer une population réticente à accepter un vaccin non testé ne vous fait-elle pas éprouver des sentiments émus et chaleureux ? C’est pour notre propre bien, vous savez…

7 — Camps de rééducation

Vous vous rappelez comment nous avions l’habitude de plaisanter sur le fait d’être mis dans des camps de la FEMA ? Eh bien…

Enfin, pour ceux d’entre nous qui ont toujours cru que ces théories conspirationnistes n’étaient que des fables complotistes — oh — et pour les électeurs de Trump — il y a la discussion sur la façon de nous rééduquer afin que nous puissions réintégrer la société.

Dans un fil de discussion sur Twitter, nous avons vu le côté sombre de certains démocrates « bien éduqués » qui essayaient sincèrement de trouver comment récupérer ceux d’entre nous qui n’ont pas voté pour Joe Biden.

Note du traducteur : S’ensuit une succession de plusieurs tweets que vous pouvez retrouver dans l’article de Daisy Luther en lien ci-dessous. J’ai fait le choix de ne pas les inclure.

Source de l’article initialement publié en anglais le 23 novembre 2020 par Daisy Luther : The Organic Prepper
Traduction : Sott.net

* * * * * * * * * * * * * * * *

Bienvenue dans le Nouvel ordre mondial

INGSOC George Orwell, 1984

© Inconnu
INGSOC – George Orwell, 1984

En lieu et place de la succession de tweets en anglais, je préfère renvoyer le lecteur vers les articles relatifs aux camps et à l’idéologie sous-jacente qui opère aujourd’hui au grand jour.

Le piège du revenu de base universel

Je voulais revenir sur le revenu de base universel évoqué par Daisy Luther dans son Point 1, et dont il est particulièrement question ces derniers jours dans les médias mainstream français. Avec cet article, entre autres, nous avons compris comment et pourquoi les médias abordent à un certain moment donné des thématiques bien précises, en vue de « tester » les réactions du public. Le dernier en date ne fait pas exception. Il s’agissait d’un des fers de lance du programme de Benoît Hamon lors des dernières élections présidentielles. Il avait alors nommé ce Revenu, « Revenu universel d’existence » — en acronyme, ça fait RUE… Croyez-vous que d’un point de vue sémantique ce soit un hasard ? Le même Benoît Hamon vient juste de publier un livre Ce qu’il faut de courage. Plaidoyer pour le revenu universel, et l’on peut donc considérer que puisque les médias se sont dernièrement emparés du sujet, les marionnettistes de l’ombre doivent estimer que le temps est venu de « déposer », vraiment, le sujet dans l’esprit des Français.

Ce revenu de base universel ne peut pas vraiment voir le jour sans son corollaire : une société sans cash.

La suppression du cash, avec l’encadrement légal des moyens de productions alimentaires, constitue sans doute la base la plus solide sur laquelle pourrait reposer tout système de contrôle vraiment efficace, comme celui du revenu de base universel. Puisque l’argent détermine presque entièrement la qualité de notre vie sociale, il devient possible, en conditionnant de façon restrictive cet accès à l’argent, de contrôler la vie d’une personne dans sa quasi-totalité. C’est qu’il ne s’agit plus de savoir ce que fait, souhaite et pense le citoyen ordinaire : les autorités compétentes le savent depuis longtemps déjà, aidées en cela par les traces inévitables qu’il laisse en utilisant son ordinateur, son téléphone, sa voiture et en effectuant ses paiements par carte bancaire. Il s’agit plutôt, pour les pouvoirs en place, de disposer d’un instrument de punition sans équivalent, qui sanctionne, sans échappatoire possible. N’est-ce pas là une manière de remplacer la peine de mort physique par une peine de mort virtuelle tout aussi létale, mais politiquement correcte ?

À l’heure où les lois les plus liberticides sont votées, où le langage est surveillé, où les délits d’intention sont fantasmés, combien de temps faudra-t-il à l’État pour finaliser, à l’aide de cette crise sanitaire ET financière « tombée du ciel », le processus irréversible de la création d’une monnaie entièrement électronique ? Et à ce moment-là, que pourront bien encore faire les ennemis désignés de l’État ?

Comme toujours, présenté comme il l’est — l’idée selon laquelle l’État devrait distribuer un revenu de base de manière inconditionnelle à l’ensemble des citoyens, chômeur volontaire ou involontaire, travailleur à temps plein ou à temps partiel, et cumulable avec d’autres revenus — ce revenu universel de base fera dire à beaucoup que « c’est plutôt pas mal, c’est une bonne chose pour les pauvres ou les sous-payés, etc. ». Il suffit de lire la 4e de couv du livre de Benoît Hamon pour s’en — peut-être — laissé convaincre (ce n’est évidemment pas mon cas) :

« Le revenu universel sera la grande conquête sociale du siècle. Un instrument de justice qui permet d’éradiquer la pauvreté. Un revenu qui libère les hommes de la « cage de fer » consumériste, productiviste et capitaliste. Une bombe démocratique qui affranchit de la tyrannie du court terme, ralentit le temps et rétablit la juste hiérarchie entre l’homme et la machine. C’est par le revenu universel d’existence que nous préparerons une société où la nature n’est plus seulement considérée comme une ressource, mais comme un bien commun. Ce salaire du bonheur, par opposition au salaire de la peur, propose un choix existentiel, une éthique de l’individu réconcilié avec le collectif et la nature. »

On ressort de cette lecture avec le sentiment qu’enfin, la solution à tous nos problèmes a été trouvée. Elle libérerait l’être humain de ses chaînes ; c’est tellement beau qu’on en pleurerait, n’est-ce pas ? On en viendrait aussi presque à se demander pourquoi et comment il se fait que cette idée n’ait pas pris racine dans l’humanité avant. Un « salaire du bonheur », il fallait quand même oser ! Un rêve, véritable élaboration de la pensée imaginative qui transforme la réalité.

Mais le rêve de qui ?

Selon un article de Cairn.Info publié en 2018 :

« Cette proposition [de revenu de base universel] s’inspirait notamment de nos voisins européens, puisque des expérimentations voyaient le jour aux Pays-Bas et en Finlande, tandis qu’une votation populaire soumettait ce projet au peuple suisse en juin 2016 et était massivement rejetée. Ici, comme ailleurs, on trouve à la base de cette proposition, la thèse de la « fin du travail » ou de la raréfaction de l’emploi — notamment chez les non-qualifiés — ou encore l’idée de la perte de sens de sociétés entièrement organisées sur le paradigme de l’activité. Le diagnostic comme les solutions proposées semblent donc plus anciennes que l’actualité ne le laisserait croire et témoignent de questionnements récurrents depuis les années 1980. »

Tout d’abord, la première théorisation du « revenu universel » est attribué à Thomas Paine en 1797 :

« Dès le XVIe siècle Thomas More, dans son Utopie, envisagea un revenu permettant à tous les habitants d’une communauté d’échapper à la pauvreté. Au XVIIIe siècle, l’idée fut reprise par Voltaire dans un conte qu’il publia en 1768, L’homme aux quarante écus. La somme de quarante écus résulte de la division du nombre d’arpents du royaume — un arpent formant une superficie comprise alors entre deux mille et cinq mille mètres carrés — entre le nombre des sujets et la rente associée à la surface en question. Permettant tout juste de vivre dans des conditions modestes, elle a au moins le mérite d’être une allocation attribuée à chaque individu quel qu’il soit. Le narrateur du conte évoque également ses démêlés avec une administration fiscale pesante.

Toujours au siècle des Lumières, c’est le libéral Thomas Paine, partisan du libre-échange, du droit de propriété et chantre du gouvernement limité et des droits individuels qui défendit, dans son Sens commun paru en 1776, l’idée d’une redistribution des richesses et de l’attribution de droits sociaux. Puis, dans sa Justice agraire, publiée en 1797, partant du principe que la propriété engendre les inégalités, il défendit le revenu universel sous la forme de l’attribution inconditionnelle d’une somme pour toute personne adulte ainsi que d’une retraite inconditionnelle pour tous ceux âgés de plus de cinquante ans.

De leur côté, les mondialistes ne sont pas en peine. Selon leur livre blanc intitulé Réinitialiser le futur du monde du travail – dans un Monde Post-Covid et publié en octobre dernier, un des buts avoués du Forum économique mondial à travers le « Grand Reset », ou la « Grande réinitialisation », est de

« Réaffecter temporairement les travailleurs à différentes tâches — cela devrait toucher 30 % de la main-d’œuvre. Cela signifie également des échelles de rémunération complètement différentes — très probablement des salaires non viables, ce qui ferait du « salaire de base universel » ou du « revenu de base » également prévu — un salaire qui permet à peine de survivre, de faire face aux besoins évidents. Mais cela vous rendrait totalement dépendant du système — un système numérique, sur lequel vous n’avez aucun contrôle. »

Voir aussi notre article « Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle ».

Selon un article de Contrepoints, publié en 2016, il s’agit d’un concept effroyable :

« Sur le plan moral tout d’abord, elle instille l’idée perverse qu’on peut, sans dommage sur l’individu, rendre instantanément tout le monde directement dépendant de l’État, de la naissance à la mort. Distribuez ce revenu pendant quelques années et au bout d’un peu plus d’une génération, plus personne ne se souviendra qu’avant son arrivée, des millions de gens se passaient de son existence et savaient vivre sans lui, sans l’État, exactement de la même façon que tout le monde est maintenant persuadé de l’absolue nécessité de la guerre permanente contre les drogues ou de l’interdiction du port d’arme, même si drogues et armes furent bien plus librement disponibles dans l’Histoire sans qu’il fut question de sociétés barbares ou médiévales (on parle d’il y a moins d’un siècle).

Sur le plan économique ensuite, ce revenu deviendra en pratique un plancher pour à peu près tout, créant de l’inflation de façon immédiate ou quasiment ; de la même façon que les APL (aides publiques au logement) ont tiré les loyers vers le haut pour quasiment l’intégralité de leurs montants, le revenu universel en fera de même pour à peu près tout ; tout étant renchéri, le gain pour ceux qui n’auront que ce revenu sera à peu près nul. »

code barre humains

© Inconnu

Une société sans cash, des vaccins avec implant RFID, un revenu universel, etc. constituent la camisole électronique, impossible sans la mise en place de la 5G, qui nous est tricotée par ceux qui n’ont pas notre bonheur à cœur — contrairement à ce que prétend Benoît Hamon — dans un avenir qui verra l’ensemble des transactions monétaires contrôlées par l’Etat, les banques où les grandes sociétés privées. Autrement dit, toute notre vie.

Dans un autre article où j’abordais les tests anti-Covid comme outil de contrôle et dans lequel je considérais que le monde est transformé en Virusocratie, j’écrivais ce qui suit :

[…] Nous sommes égarés dans une simulation, à la recherche de la « vérité » et de la réalité. On peut le faire entre autres en s’emparant des mots et en les analysant. Les mondialistes adorent utiliser les mots comme des armes et les épeler, voire les marteler. Ce sont des hypnotiseurs. Ils inventent à dessein de nouveaux mots, et nous forcent à les utiliser et à les ressentir. Des mots comme « Coronavirus » et « distanciation sociale », ou encore « Covid-19 », « testé positif », « vaccins » ou « sauver le monde ».

Les mondialistes écrivent des codes. Ils codent les « virus » et leur donnent une identité militarisée de type jeu vidéo. Dans ce jeu vidéo, toutes vos libertés ont été supprimées et il faut faire preuve de gratitude et de servitude. Le code viral l’emporte sur toutes les autres formes de politique. Rien ne peut le contrer. Surtout pas la « science ». Ce virus constitue aussi une métaphore générale à propos de la « désinformation » propagée, à savoir tout ce qui est extérieur à leurs doctrines religieuses, et non reconnaissable par la virologie classique.

Le code, les scénarios possibles, le mysticisme et la superstition sur la façon dont le virus se propage, ne doivent pas être remis en question. C’est une forme de socialisme environnemental post-mondialiste devenu maléfique qui exige que tout un chacun se soumette à une chance égale d’être tué par un virus. Si les mondialistes sont obsédés par la « propagation » et les « virus », c’est parce qu’ils veulent mettre un terme à toutes les formes de communication et d’échange d’informations qui menacent leur Nouvel Ordre Mondial.

Cette « Virusocratie » n’existe que grâce à la plus grande opération psychologique jamais utilisée sur des milliards d’individus au sein de laquelle la bonne science est évitée ou censurée, où les médias intimident les dissidents, dans laquelle les intérêts particuliers prévalent et où les médecins qui s’expriment sont qualifiés de « charlatans »…

Nous n’avons pas besoin de technologies qui nous déresponsabilisent, en disant et décidant à notre place où nous pouvons aller. Ce dont nous avons besoin, c’est d’exercer notre responsabilité personnelle, pour pallier les défaillances et le cynisme des dirigeants.

La pandémie de coronavirus a provoqué la pauvreté et la famine pour des millions de personnes dans le monde. Et on en voit pas le bout.

On a vraiment l’impression que presque tous les gouvernements sont cooptés ou contraints de manière tacite à adhérer aux « lignes directrices ». C’est à la fois diabolique et incompréhensible. Pourquoi ? Parce que certaines des « élites mondiales » — celles qui, nombreuses, sont flouées par les échelons supérieurs d’élites psychopathes — pensent a priori vraiment qu’elles contribuent à l’avenir et au bien-être de l’humanité. Pourtant, leurs actions ont entraîné une misère abjecte, du chômage et du désespoir. Sans de telles mesures coercitives, il serait difficile d’expliquer pourquoi presque tous les gouvernements de la planète se soumettent à cet horrible programme social et économique et mentent, encore et encore à leur population de façon abjecte. Ces populations même qu’ils sont censés protéger contre le chômage, la famine et le désespoir. Ajoutons aussi la corruption « organisée » intrinsèque au monde dans lequel nous vivons, avec la Fondation Bill Gates et l’Open Society de George Soros qui financent — entre autres — le Conseil de l’Europe et ses institutions comme par exemple la Cour européenne des Droits de l’Homme. Au-delà de l’Union européenne, la Fondation Gates et l’Open Society — entre autres, là encore, car on peut y ajouter Ford ou Oak — financent aussi l’ONU et la Cour pénale internationale. Le fait que toutes ces fondations et ONGs privées financent des institutions dites publiques en dit long sur la privatisation de ces mêmes institutions qui, de fait, ne peuvent plus être indépendantes — nonobstant le fait qu’elles ne l’ont peut-être jamais vraiment été. L’influence politique globale qu’elles s’octroient par leurs dons privés leur donne une marge de manœuvre qui anéantit même toute illusion ou promesse de démocratie.

Les technocrates du monde entier prétendent nous préserver du coronavirus aujourd’hui, en accélérant un système de production qui compromet déjà notre survie de demain. En plus d’être voué à l’échec, c’est absurde… Quoique du point de vue des Pouvoirs en place, ça ne l’est certainement pas : entre l’« Event 201 », le « Lock-Step », Bill Gates et sa GAVI, Rockfeller ou l’OMS, sans omettre le Forum économique mondial, il y a tout lieu de penser que ce que nous vivons aujourd’hui correspond à des scénarii pré-établis, propres à nous faire passer à toute vitesse dans un monde orwellien dématérialisé, inhumain et mortifère, qui aurait fait rêver Hitler ou Staline.

Ce qui est en jeu nous menace d’un grand péril : la mise à mort progressive de la conscience. Thomas Merton met en lumière la métaphore de la grenouille qui ne savait pas qu’elle était cuite, parce qu’un changement, s’il est suffisamment dilué dans le temps, échappe à la conscience et ne suscite ni réaction ni révolte avant un point de non retour :

« Le grand danger est que, sous la pression de l’anxiété et de la peur, de l’alternance des crises et puis de détente et puis de nouvelles crises, les peuples du monde en viennent à accepter progressivement […] l’idée de soumission au pouvoir total, et l’abdication de la raison, de l’esprit et de la conscience individuelle. »

~ Thomas Merton

Source: Lire l'article complet de Signes des Temps (SOTT)

À propos de l'auteur Signes des Temps (SOTT)

« Un combat quotidien contre la subjectivité. » « Le Monde pour les gens qui réfléchissent ! »Signs of the Times ou SOTT.net a été lancé le 26 mars 2002.SOTT.net est un projet de recherche sans but lucratif du Quantum Future Group (QFG). Le projet comprend la collecte, la mise en forme et l'analyse des sujets d'actualité qui semblent le mieux refléter les 'énergies' sur la planète. De surcroît, cette recherche note si les êtres humains, individuellement ou collectivement, peuvent réellement se souvenir d'un jour à l'autre de l'état de la planète et s'ils sont capables de lire précisément cette information et prendre des décisions intelligentes sur leur avenir, fondées sur cette connaissance. En bref, SOTT.net est une expérience.

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Recommended For You