La covidocratie méprisante

La covidocratie méprisante
La covidocratie méprisante

par Maxime Tandonnet.

Celui qui s’exprime ci-dessous est l’un des plus hauts représentants de la covidocratie au pouvoir, cette nouvelle caste d’une poignée de médecins et scientifiques, maîtresse de la peur, qui domine les médias et dicte ses ordres au politique :

Hier sur France Info : « À Noël, on peut aller chez Papy et Mamie. Il faut pas manger avec Papy et Mamie. Même à Noël. On coupe la bûche de Noël en deux. Papy et Mamie mangent dans la cuisine et nous on mange dans la salle à manger ».

Humour nous dit-on. Des centaines de milliers de commerçants et de restaurateurs voient en ce moment les efforts de toute une vie ruinés et leur famille plongée dans la misère. Les Français  sont privés de la liberté d’aller et venir, la plus précieuse de toutes et subissent l’humiliation de devoir justifier auprès de l’administration chaque sortie de chez eux. Des millions de jeunes gens et filles sont jetés dans l’enfer du chômage et du désœuvrement. Les Chrétiens sont interdits de messe. Des personnes âgées, privées de visites, souffrent et meurent dans la solitude des EHPAD. Les dépressions et les suicides se multiplient. Qui a envie de blaguer avec Monsieur le docteur ?

Mais de fait, cette déclaration n’est pas anodine : elle s’adresse à la nation française et à chacun d’entre nous comme à un grand enfant irresponsable. Elle touche au paroxysme de l’infantilisation d’un peuple par la covidocratie, cette nouvelle caste dirigeante, maîtresse de la peur. Au passage, elle reflète un sidérant mépris des personnes âgées. Ah, Monsieur le docteur, douze ans d’études pour en arriver là…

Quant aux mesures du déconfinement progressif annoncées hier, issues de la covidocratie, elles sont arbitraires, obtuses, bureaucratiques à l’image de toute la gestion d’une crise sanitaire depuis 10 mois.

Pourquoi un quota uniforme de 30 personnes dans les Églises quelle que soit leur dimension ?

Pourquoi avoir persécuté pendant un mois les libraires et les commerçants ? Leur réouverture est annoncée pour le 28 novembre. Les biens dits non essentiels le mois passé seraient par magie devenus essentiels ? Cette réouverture, alors que le nombre officiel (déclaré) d’hospitalisations et de morts reste élevé, est l’aveu même du caractère monstrueusement bureaucratique et débile de leur fermeture.

Le 24 et le 31 décembre, exceptionnellement, la liberté d’aller et venir doit être rétablie pour permettre aux Français de faire la fête. Qu’est-ce que cela signifie ? Que les contraintes à la circulation, le reste du temps, ne servent à rien ? Ou bien que si elles servent à quelque chose, le pouvoir sacrifie délibérément des vies le 24 et le 31 décembre ?

Et 20 km de distance pour 3 heures d’autorisation de sortie, à quoi cela rime-t-il ? 30 km, seraient plus contagieux que 20 km ? Et 3 heures de sortie seraient sans danger alors que 4 heures favoriseraient l’épidémie ?

Et les centaines de milliers de restaurants, bêtement, injustement et inutilement condamnés à mort alors qu’au prix de quelques précautions, ils sont infiniment moins propices à la contagion que les métros et les RER ? Tout comme les pistes de ski, évidemment…

En outre, il est aussi désormais question de « mesures contraignant celles et ceux qui ont le virus ». Nous y voilà, il fallait en arriver là au bout de la chaîne : le malade montré du doigt, désigné comme le porteur du mal, le bouc émissaire à isoler au prix de la contrainte, assortie de sanctions et de contrôles. L’heure des pestiférés est de retour. Une société se juge à la manière dont elle traite ses malades. Celle-là est odieuse.

La crise sanitaire est en train d’accoucher d’un monstre. Derrière ce naufrage dans la bureaucratie tatillonne se profile la jubilation – presque libidineuse -, vertige de la toute-puissance, jubilation de mettre le pays et la vie intime de chaque français en coupe réglée. Mais attention : il paraît que 79% des Français sont satisfaits de ces mesures liberticides et de leur asservissement. Devant les maîtres de la peur, la France courbe la tête. La France est en train de devenir un vaste troupeau apeuré et bêlant de contentement, un peuple d’esclaves consentants. Va-t-elle un jour se réveiller ?

source : https://maximetandonnet.wordpress.com

envoyé par Nicolas Bonnal

Source : Lire l'article complet par Réseau International

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À propos de l'auteur Réseau International

Site de réflexion et de ré-information.Aujourd’hui nous assistons, à travers le monde, à une émancipation des masses vis à vis de l’information produite par les médias dits “mainstream”, et surtout vis à vis de la communication officielle, l’une et l’autre se confondant le plus souvent. Bien sûr, c’est Internet qui a permis cette émancipation. Mais pas seulement. S’il n’y avait pas eu un certain 11 Septembre, s’il n’y avait pas eu toutes ces guerres qui ont découlé de cet évènement, les choses auraient pu être bien différentes. Quelques jours après le 11 Septembre 2001, Marc-Edouard Nabe avait écrit un livre intitulé : “Une lueur d’espoir”. J’avais aimé ce titre. Il s’agissait bien d’une lueur, comme l’aube d’un jour nouveau. La lumière, progressivement, inexorablement se répandait sur la terre. Peu à peu, l’humanité sort des ténèbres. Nous n’en sommes encore qu’au début, mais cette dynamique semble irréversible. Le monde ne remerciera jamais assez Monsieur Thierry Meyssan pour avoir été à l’origine de la prise de conscience mondiale de la manipulation de l’information sur cet évènement que fut le 11 Septembre. Bien sûr, si ce n’était lui, quelqu’un d’autre l’aurait fait tôt ou tard. Mais l’Histoire est ainsi faite : la rencontre d’un homme et d’un évènement.Cette aube qui point, c’est la naissance de la vérité, en lutte contre le mensonge. Lumière contre ténèbres. J’ai espoir que la vérité triomphera car il n’existe d’ombre que par absence de lumière. L’échange d’informations à travers les blogs et forums permettra d’y parvenir. C’est la raison d’être de ce blog. Je souhaitais apporter ma modeste contribution à cette grande aventure, à travers mes réflexions, mon vécu et les divers échanges personnels que j’ai eu ici ou là. Il se veut sans prétentions, et n’a comme orientation que la recherche de la vérité, si elle existe.Chercher la vérité c’est, bien sûr, lutter contre le mensonge où qu’il se niche, mais c’est surtout une recherche éperdue de Justice.

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