Macron : le petit dictateur de Davos

Macron : le petit dictateur de Davos
Macron : le petit dictateur de Davos

Emmanuel Macron : « Essayez la dictature et vous verrez ! »

Merci Mr le Président, depuis votre discours lors de votre retour d’Israël en janvier 2020, vous nous avez confié votre vision de la démocratie en France.

Comme un enfant vous jouez avec l’avenir de la France, votre immaturité n’est plus à démontrer tant vos choix contreviennent à la souveraineté de notre pays.

Depuis la fraude des élections présidentielles américaines, nous ne pouvons exclure qu’il en fut de même en 2017.

D’après une enquête de la journaliste Corinne Lhaïk, Macron, en plein remaniement au mois de juillet 2020, s’est lâché devant son écran de télévision. « Regarde-moi ces connards », a-t-il lancé à BFMTV. le président de la République ne se prive plus d’insulter les journalistes.

« Les Français ne savent pas qui je suis »

Souvenons nous de la déclaration d’amour de Klaus Schwab à Macron en 2018 à Davos :

« Vous êtes le symbole de la politique dont nous avons besoin pour nous guider dans le nouveau monde »

Etaient présents à cette mise en scène : le roi d’Espagne (parti en exil), Christine Lagarde, directrice générale du FMI, Isabelle Kocher, directrice générale d’Engie, Patrick Pouyanné (Total), Maurice Lévy (Publicis), Bernard Charlès (Dassault Systèmes) et son ex-mentor Jacques Attali.

Tous les décideurs qui vous ont choisi veulent imposer la dictature du coup d’Etat Mondialiste appelé Grand Reset.



« Les discours politiques extraordinairement coupables  » qui affirment que le pays est devenu une dictature et tendent à justifier les actes de violence. « Aujourd’hui s’est installée dans notre société – et de manière séditieuse, par des discours politiques extraordinairement coupables – l’idée que nous ne serions plus dans une démocratie, qu’une forme de dictature se serait installée  »
« Mais allez en dictature ! Une dictature, c’est un régime où une personne ou un clan décident des lois. Une dictature, c’est un régime où on ne change pas les dirigeants, jamais. Si la France c’est cela, essayez la dictature et vous verrez ! La dictature, elle justifie la haine. La dictature, elle justifie la violence pour en sortir. Mais il y a en démocratie un principe fondamental : le respect de l’autre, l’interdiction de la violence, la haine à combattre. »

Selon Macron, «  tous ceux qui aujourd’hui dans notre démocratie se taisent sur ce sujet sont les complices, aujourd’hui et pour demain, de l’affaiblissement de notre démocratie et de notre République ».

« Celles et ceux qui portent cette violence, celles et ceux qui, avec cynisme quelquefois, l’encouragent, celles et ceux qui taisent tout reproche qu’il faut avoir oublient une chose très simple : nous sommes une démocratie »

«  Une démocratie », «  c’est un système politique où l’on choisit nos dirigeants. C’est un système politique où l’on choisit des représentants qui auront à voter librement les lois qui régissent la société. Cela a beaucoup d’exigence, cela veut dire que la liberté du peuple et sa souveraineté sont reconnues. Mais cela a une contrepartie, c’est que dans une démocratie, on a un devoir de respect à l’égard de ceux qui représentent et votent cette loi, parce que précisément, on a le pouvoir de les révoquer. On a l’interdiction de la haine, parce qu’on a le pouvoir de les changer  ! »

« Toutes les démocraties occidentales vivent une crise, et c’est une crise qui s’exacerbe devant les grandes peurs contemporaines », a-t-il estimé, citant la transformation numérique et la transformation climatique. Or, d’après lui, « l’antisémitisme est la forme la plus avancée, à chaque fois la plus radicale, de la peur de l’autre  »


source:http://www.geopolintel.fr/article2470.html

Source : Lire l'article complet par Réseau International

Source: Lire l'article complet de Réseau International

À propos de l'auteur Réseau International

Site de réflexion et de ré-information.Aujourd’hui nous assistons, à travers le monde, à une émancipation des masses vis à vis de l’information produite par les médias dits “mainstream”, et surtout vis à vis de la communication officielle, l’une et l’autre se confondant le plus souvent. Bien sûr, c’est Internet qui a permis cette émancipation. Mais pas seulement. S’il n’y avait pas eu un certain 11 Septembre, s’il n’y avait pas eu toutes ces guerres qui ont découlé de cet évènement, les choses auraient pu être bien différentes. Quelques jours après le 11 Septembre 2001, Marc-Edouard Nabe avait écrit un livre intitulé : “Une lueur d’espoir”. J’avais aimé ce titre. Il s’agissait bien d’une lueur, comme l’aube d’un jour nouveau. La lumière, progressivement, inexorablement se répandait sur la terre. Peu à peu, l’humanité sort des ténèbres. Nous n’en sommes encore qu’au début, mais cette dynamique semble irréversible. Le monde ne remerciera jamais assez Monsieur Thierry Meyssan pour avoir été à l’origine de la prise de conscience mondiale de la manipulation de l’information sur cet évènement que fut le 11 Septembre. Bien sûr, si ce n’était lui, quelqu’un d’autre l’aurait fait tôt ou tard. Mais l’Histoire est ainsi faite : la rencontre d’un homme et d’un évènement.Cette aube qui point, c’est la naissance de la vérité, en lutte contre le mensonge. Lumière contre ténèbres. J’ai espoir que la vérité triomphera car il n’existe d’ombre que par absence de lumière. L’échange d’informations à travers les blogs et forums permettra d’y parvenir. C’est la raison d’être de ce blog. Je souhaitais apporter ma modeste contribution à cette grande aventure, à travers mes réflexions, mon vécu et les divers échanges personnels que j’ai eu ici ou là. Il se veut sans prétentions, et n’a comme orientation que la recherche de la vérité, si elle existe.Chercher la vérité c’est, bien sûr, lutter contre le mensonge où qu’il se niche, mais c’est surtout une recherche éperdue de Justice.

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Recommended For You