par Daniel Vanhove
Depuis des mois, il n’est plus question que de lui. Médias en boucle, il éclipse toute autre information – sauf en France, où le petit cercle politico-médiatique a besoin de sa dose régulière d’intox anti-arabo-musulman. Incontournable, il est LE sujet qui alimente nos échanges avec les rares personnes que nous pouvons encore rencontrer en cette période de semi-confinement, ou à défaut via les réseaux sociaux. Par-delà les frontières et les continents, tout le monde en parle, mais qu’en connaissons-nous et que cache donc ce coronavirus?
Sans compétence particulière sur la question, je m’exprime comme simple citoyen qui observe et s’interroge sur la gestion de ce virus par les autorités. Le sujet n’est pas aussi anodin que d’aucuns voudraient le croire – on ne met pas l’économie de la moitié de la planète en péril pour rien – mais plutôt qu’apaiser les choses, l’on doit constater que sa conduite douteuse par les gouvernements n’a cessé d’alimenter les fractures au sein des sociétés – déjà malmenées par les attaques incessantes des Etats contre les acquis sociaux – au point que des clivages profonds sont apparus entre amis et parfois même au cœur de familles. La raison en est aussi qu’au-delà de l’aspect sanitaire, il touche à l’essentiel: la vie et donc la mort, ce qui concerne chaque individu. En parler nécessite dès lors de la nuance et ne peut se réduire à une position binaire résumée à quelques lignes.
Commençons donc par le début avec ce bref rappel, toujours utile. Dans l’histoire du ‘vivant’, la biologie au sens moderne du terme n’existe que depuis ~200 ans. Un battement de cil à l’échelle de l’évolution. Mais, grâce à une technologie toujours plus précise, les avancées scientifiques nous ont permis d’en connaître un peu plus sur ce ‘vivant’. Ainsi, est-il avéré que virus et bactéries font partie de ce dernier en quantité innombrable. Et s’il y en a de mauvais qui nous rendent malades jusqu’à nous tuer, il y en a aussi de bons qui nous aident à vivre. Alors, sans se perdre dans trop de détails, quelles différences entre les deux, désignés sous l’appellation générique de ‘microbes’?
Au stade des connaissances actuelles, virus et bactéries sont les premiers éléments de vie apparus dans l’univers. Beaucoup d’entre eux ne sont pas nocifs et participent à l’équilibre du ‘vivant’. Mais à l’inverse des bactéries qui sont des unicellulaires, les virus ne sont pas autonomes et ont besoin d’une autre cellule pour se répliquer. Les animaux – dont les humains, en tant que primates – sont porteurs de bonnes bactéries permettant par exemple de digérer la nourriture, alors que d’autres sont plus ou moins dangereuses pouvant provoquer des maladies comme la peste, le choléra, la tuberculose – qui fait encore près de 2 millions de morts annuels dans le monde – mais aussi, la sinusite, la bronchite, l’angine. Théoriquement, notre système immunitaire a la capacité de nous en protéger. En cas de problème, la prise d’antibiotiques empêche la multiplication des bactéries et favorise la guérison.
Les virus, constituent environ 8% du génome humain. Ils sont inactifs pour la plupart et utilisent une cellule hôte pour se développer, raison pour laquelle ils sont considérés comme ‘parasites intracellulaires’. Il y a de bons virus qui attaquent des bactéries nocives qui pourraient nous infecter et nous tuer. Et d’autres, responsables de maladies comme le rhume, la grippe, la rage, la variole, le sida… Ici aussi, notre immunité nous aide, mais en cas d’infection sévère, elle peut vite être débordée. Et la prise d’antibiotiques ne peut rien contre les virus. Certains antiviraux aident, mais sans éradiquer le virus. Ce qui convient alors est un vaccin.
Dans la famille des coronavirus, qualifiée d’épidémie par les uns et/ou de « pandémie » par les autres la Covid-19 affecte la quasi totalité des régions de la planète. Au cours des siècles passés, quand une épidémie surgissait elle restait confinée aux alentours de l’épicentre du phénomène, parce que les gens circulaient peu et rarement en-dehors de leur zone d’habitat. Avec nos moyens de transport modernes et les échanges internationaux, tout agent pathogène se dissémine comme une traînée de poudre autour du globe.
Ce n’est donc ni le premier virus auquel les humains sont confrontés, ni le dernier. Et puisqu’il y en a toujours eu, il y en aura encore. La question pratique à se poser face à de tels épisodes est relativement simple et peut se résumer à: sommes-nous capables d’y faire face? Au niveau médical, nous y sommes assurément mieux préparés qu’avant, et en connaissons plus de nos jours qu’il y a quelques décennies. Ainsi les scientifiques ont-ils fait leur part du travail. Pour preuve, il y a tout juste un siècle, la ‘grippe espagnole’ a décimé en un an plus de 25 millions de personnes rien qu’en Europe et selon ces estimations, plus du double dans le monde. Ce qui, malgré les perspectives alarmistes des habituelles cassandres de service paraît improbable de nos jours. A terme, malgré des chiffres manipulés, il faudra bien constater que cette épidémie aura causé moins de victimes que les épidémies précédentes. Le problème ne vient donc pas du côté médical.
L’observation des événements semble plutôt indiquer que ceux qui n’y seraient pas préparés sont, comme souvent, certains gouvernements. Non seulement ils ont été incapables de prévoir les choses – alors qu’ils étaient avertis très tôt par les autorités de Chine d’où serait partie (?) la propagation du virus – mais ils ont été incapables d’y apporter les réponses adéquates. Sans parler d’approches complètement différentes en fonction de critères d’évaluation divergents selon les pays. Ni des mensonges à propos des stocks de masques, des vols de cargaisons entre pays – ah, la belle famille européenne! – ou encore de décisions totalement incohérentes interdisant aux gens de visiter leurs aînés en maison de repos où certains se sont laissés mourir de solitude et d’abandon, de se rencontrer autour d’un verre ou d’une table de resto, les cloîtrant chez eux en groupes restreints mais les encourageant à courir au boulot dans des transports en commun bondés matins et soirs!
En France où la population est en hausse régulière et où l’âge moyen a tendance à augmenter avec tout ce que cela représente en termes de besoins médicaux, comment comprendre de la part des décideurs la suppression continuelle de lits (~100 000 en 20 ans!) et de personnel soignant? Et cela, malgré leurs promesses et en plein épisode Covid-19?! C’est tout bonnement inadmissible, voire assassin!
Les exemples d’incurie gouvernementale semblent innombrables et révoltent à juste titre les citoyens, mais c’est dans leur interprétation qu’il faut être circonspects et ne pas se tromper: qu’il y ait une part d’incompétence et/ou d’amateurisme ne fait pas de doute, mais n’est pas suffisant pour justifier de telles grossières fautes. Il s’y trouve qu’en plus, ces élus acceptent d’être les relais/laquais de décisions qui les dépassent. Ils ne font qu’appliquer des mesures décidées dans les hautes sphères de la finance internationale, ce 1% qui possède toujours plus sans être jamais repu – ce qui démontre la pathologie de ces individus – et qui alimente de la sorte une société d’injustices criantes que les citoyens rejettent de plus en plus violemment.
Avec la Covid-19, afin de nous maintenir dans la peur – «nous sommes en guerre!», ânonnait l’immature acteur de l’Elysée – la propagande étatique nous (dés)informe chaque jour via ses médias aux ordres, que le nombre de ‘cas’ augmente et nécessite donc un tour de vis supplémentaire. Sauf que, d’une part, comme on teste plus qu’au début, il est logique de trouver plus de cas; et d’autre part, comme le virus se propage dans la population, une immunité collective s’étend et de ce fait, les citoyens ‘porteurs’ sont plus nombreux mais sans pour autant développer la moindre maladie, ce qui est une bonne nouvelle. Ces chiffres qui nous sont livrés de manière brute ne veulent donc rien dire quant à la dangerosité du virus d’autant que la fiabilité des tests PCR est dénoncée par plusieurs scientifiques, et que dans le même temps, les décès sont en chute depuis son apparition au printemps.
Sans parler de chiffres trafiqués puisque de nombreux patients classés ‘Covid’ n’en n’ont pas les symptômes, et que certains médecins ont eu le courage d’avouer qu’ils avaient reçu des instructions pour faire passer les cas de grippe saisonnière – qui semble avoir presque disparue, comme c’est étrange! – et autres pathologies, sous l’appelation ‘Covid’!
Et par rapport à ces chiffres bruts, pour rappel (quand même!): d’après les chiffres officiels, rien qu’en France, les cancers (première cause de décès) font ~450 morts/jour; les maladies cardio-vasculaires font ~400 morts/jour; le diabète fait ~100 morts/jour. Avec la Covid-19 on est loin du compte…
Dans le même temps, il faudrait demander aux autorités pourquoi leurs mesures de plus en plus drastiques et restrictives en termes de libertés individuelles aboutissent à des chiffres aussi mauvais ? Cherchez l’erreur… sauf à se rappeler que plus un Etat décline – et nos ‘démocraties’ sont bien chancelantes ces dernières années – plus il multiplie les mesures autoritaires pensant compenser ceci par cela.
Heureusement pour leurs résidents, quelques rares Etats ont choisi une approche différente avec des résultats qui devraient inviter les autres pays à suivre leur exemple. Pourquoi en une situation aussi ‘grave’ (d’après les autorités), les responsables de l’UE ne sont-ils pas en mesure d’imposer les mêmes règles à l’ensemble des pays, eux qui sont si prompts à le faire en d’autres occasions?
En réalité, le plus grave problème que rencontrent nos ‘démocraties’ sont les cas de mensonges, falsifications et corruptions au plus haut niveau des Etats, et cela concerne quasiment tous les pays. Avec pour conséquence désatreuse la perte de confiance des citoyens dans la parole officielle et celle des médias qui s’en font l’écho. Combien d’élus n’ont-ils pas été pris dans des dossiers plus que douteux… sans qu’ils ne démissionnent ou soient contraints à le faire? Cette caste a perdu en cela quelque chose d’essentiel à toute ‘démocratie’ saine et qui se respecte, et rien n’indique qu’elle en a pris la mesure. Ainsi l’usage de l’hydroxychloroquine dans le protocole mis en place à l’IHU de Marseille par le Pr. D. Raoult – reconnu comme l’un des plus éminents virologues – utilisée depuis des décennies par des patients pour un coût dérisoire, et qui a démontré son efficacité par le peu de victimes de la Covid-19 dans la région, n’a pas empêché son interdiction par l’Etat français. Seul pays au monde à avoir pris une telle mesure… ce qui peut questionner sur les motivations des décideurs. N’y aurait-il dès lors qu’une incompétence généralisée à l’œuvre?
Dans l’idéologie néolibérale adoptée par nos élus, une seule constante paraît les guider: le démantèlement des services publics au profit de leur privatisation. Sachant que les acteurs privés n’ont qu’une obsession, la rentabilité maximum et à court terme passant par l’économie du moindre sou afin de s’en mettre plein les poches, il y a tout lieu de se méfier. Ainsi de résultats sociaux catastrophiques que l’on voit, tous secteurs confondus, avec pour corollaire une inflation alarmante de la précarité, du chômage, de la pauvreté, des sans abris,… et qu’illustrait très bien une affiche lors des manifestations des Gilets Jaunes: ‘Quand ils auront tout vendu au privé, on sera privé de tout!’
En-dehors de discours démagogiques de type ‘guerrier’ – et le cas échéant de larmes de crocodiles qui ne leur coûtent rien – les responsables politiques se fichent pas mal du bien-être de la population. Depuis le temps, les citoyens devraient l’avoir intégré et (ré)agir en conséquence, à savoir: prendre systématiquement le contre-pied des annonces officielles en se rappelant que cette caste n’est plus au service de la collectivité, mais utilise la collectivité à son service. Les élus élaborent des plans désastreux pour la majorité des citoyens, et sont dans de sordides calculs, obsédés par leur propre logique de profit avec l’espoir d’avoir leur part du gâteau (n’est qu’à voir les groupes privés où ils se précipitent une fois leurs mandats publics terminés).
Quittons un moment la Covid-19 et prenons quelques recul, une question devient alors incontournable: comment en arrive-t-on à de telles situations? J’y vois deux facteurs:
1/ parce que la population s’est détournée de la ‘chose politique’ et n’a plus la conscience assez aiguisée pour désigner à la tête des Etats des individus compétents et intègres, pensant que la ‘démocratie’ se réduit à l’un ou l’autre scrutin émaillé de slogans sous forme de promesses jamais tenues par des requins sans scrupule, déguisés en agneaux… et où l’on constate que l’on a les élus qu’on mérite;
2/ parce qu’il est une limite entre le réel et le virtuel à ne pas dépasser. L’histoire de l’humanité s’est construite sur ces deux pôles: la réalité et le virtuel font notre quotidien depuis toujours. Le réel nous ancre au sol à travers les besoins élémentaires qu’exige notre condition matérielle; le virtuel nous tend vers le ciel – de manière symbolique – à travers les rêves, les aspirations, les idéaux que nous portons. Il en a toujours été ainsi et c’est par un équilibre entre ces deux pôles que nous pouvons trouver une certaine harmonie.
Aujourd’hui l’économie réelle – c’est à dire, les échanges de biens et services entre personnes, et qui créent de la valeur – ne représente plus qu’environ 2% de l’ensemble des échanges mondiaux. Les 98% restants sont de l’économie virtuelle ou ce que l’on appelle la ‘financiarisation’ de l’économie. Celle-ci n’est qu’un jeu d’argent, complètement déconnectée de la réalité. Ce déséquilibre est insoutenable.
Des bulles gigantesques se forment par l’entremise de produits dérivés que les banques et autres traders ont imaginés. Nombre d’économistes sérieux savent que ces bulles purement spéculatives ne peuvent qu’éclater tant la discordance entre la réalité et le virtuel est devenue intenable. La seule inconnue est le moment où elles se dégonflent. Et le processus est toujours le même: plus le temps passe et une bulle gonfle, plus son éclatement et son krach sont brutaux, comme en 2008 avec la crise des ‘subprimes’. Et à la sortie, c’est bien au niveau de la réalité que l’addition du virtuel se paie.
A chaque fois qu’un déséquilibre trop important entre la réalité et le virtuel apparaît, une crise éclate – et cela tant au niveau privé que collectif. Dès lors, la bonne gouvernance d’un Etat par des responsables compétents mais surtout intègres devra toujours veiller à garder cet équilibre entre les réalités du terrain et la virtualité des projets. Le souci Covid-19 que nous traversons actuellement démontre à quel point nos autorités politiques et leurs relais ont failli à préserver cet équilibre, trop avides d’en tirer parti. Et connaissant leur penchant à fuir leurs responsabilités pour trouver un bouc-émissaire, il ne doit en aucun cas servir de prétexte à leur incurie scandaleuse.
La ‘vraie’ crise n’est pas celle que l’on nous vend! Elle n’est pas tant sanitaire qu’économico-financière: nous avons construit notre aisance sur des dettes abyssales – la dette mondiale se monte à plus de 250.000 milliards de $US – merci de bien relire ce chiffre calmement pour tenter de réaliser ce qu’il représente – mais nos autorités les dissimulent derrière n’importe quel épiphénomène (dans le cas présent la Covid-19) en espérant retourner toute situation à leur avantage et en tirer comme à chaque fois, un maximum de profit. C’est ‘le système’ qui est assurément malade, et ne pas le reconnaître pour s’y atteler ne fait que grossir le problème qui éclatera tôt ou tard. Et quand les conséquences de cette ‘vraie’ crise finiront par surgir, elles feront des victimes bien plus nombreuses que les décès de patients majoritairement âgés et souvent déjà malades, par l’actuel coronavirus.
Ce n’est donc pas notre médecine qui a failli, et qui a révélé au contraire, combien de femmes et d’hommes y sont dévoués sans compter malgré leur manque criant de moyens, jusqu’au risque de leur propre vie parfois. Ce sont nos appareils d’Etat qui ont failli et à travers eux, tous ceux qui s’y poussent en quête d’avantages et de notoriété flattant leur égo jamais rassasié! Et puisque leur arrogance et leur impunité leur fait souvent dire ‘qu’ils assument leurs choix’, l’heure a peut-être sonné pour les prendre au mot, et qu’ils soient traduits en justice, cette dernière devant aussi retrouver son indépendance sérieusement malmenée depuis quelques temps. Et qu’ils paient l’ardoise de leurs calculs inqualifiables qu’ils tentent de camoufler aujourd’hui derrière le port de masques risquant de causer plus de tort que de bien à ceux qui pensent se protéger, quand ils affaiblissent sérieusement leur immunité naturelle.
En réalité, et certains citoyens commencent à le percevoir, cette ‘crise sanitaire’ sert un autre objectif: maintenir la société sous contrôle et entretenir la sidération au sein des populations pour faire passer des lois et des mesures liberticides – comme celle votée il y a quelques heures par les députés français pour reculer d’un an l’âge de la retraite pourtant refusée par les mouvements sociaux – jusqu’au moment où les vaccins seront prêts, afin de les imposer comme «remède miracle» permettant d’abandonner alors les ‘gestes-barrières’ derrière lesquels la plupart se seront fait piéger, pensant selon ce que les journaleux répètent comme des mantras, se protéger d’un virus guère plus méchant qu’un autre.
Et ce sera un jackpot inespéré pour les ‘Bigpharma’ qui doivent sourire de voir leur stratagème fonctionner jusqu’à présent pour persuader les plus apeurés de vivre masqués et de courir se faire tester, avant d’inoculer leur potion magique à des milliards d’individus. Sans oublier que comme tout virus, celui-ci mutera et que donc les vaccins ne couvriront les vaccinés que le temps d’une saison. Bonjour l’addiction! L’UE déclare qu’elle a déjà réservé 1,1 milliards de vaccins à trois laboratoires qui les annoncent.
Admettons que ce vaccin soit proposé à un prix modique de 10,-€… multiplié par 1,1 milliards, cela fait 10,1 milliards d’euros pour ceux-là. Et ceci, rien que pour une première commande de l’UE…
Alors, pourquoi chez nous, prend-on des mesures toujours plus absurdes qui risquent d’être plus néfastes qu’utiles tant en termes de santé publique que sur le plan économique, pour un virus qui ne tue presque plus?! Je laisse à chacun le soin de tirer ses conclusions. Pour ma part, en tant que simple observateur des événements dans le monde, j’ai compris et intégré que les puissants sont capables du pire pour arriver à leurs fins. J’en tire donc comme conclusion que derrière les masques – superbe symbole des malfaiteurs qui nous cachent la vérité – ce n’est pas le virus que les autorités combattent, c’est le vaccin qu’ils promeuvent, profitant au passage d’asseoir un peu plus un pouvoir autoritaire qui transforme petit à petit nos ‘démocraties’ en ‘démocratures’. Passer outre le Conseil des Ministres pour un Conseil de Défense en témoigne et devrait alerter tous les citoyens qui ont gardé un minimum de raison.
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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