Par Adèle Cottereau (Droit de Naître) — Photo (rognée, couleurs modifiées) : cookie studio/Freepik
L’Assemblée générale des Nations Unies vient d’adopter une résolution longtemps attendue sur le coronavirus, après sept mois de négociations.
Cependant, elle fait toujours polémique, notamment à cause de certains termes plus qu’ambigus, qui démontrent clairement la volonté affichée des responsables onusiens de profiter de la pandémie [du confinement, en fait*] pour renforcer leur politique antifamille.
« Nous n’acceptons pas les références à la santé sexuelle et reproductive », ont déclaré fermement les Etats-Unis. « Il n’y a pas de droit international à l’avortement, ni d’obligation de la part des États de financer ou de faciliter l’avortement », a expliqué leur représentant.
Dans le camp opposé, la majorité des pays européens soutient le texte.
Le Royaume-Uni, par exemple, a osé qualifier la santé sexuelle et génésique de « vitale » en ce qui concerne la réponse des Nations Unies au coronavirus !
Source : Lire l'article complet par Campagne Québec-Vie
Source: Lire l'article complet de Campagne Québec-Vie