par Michel de Lorgeril.
A moins d’être dur d’oreille ou d’avoir la vue courte, il est indéniable que nous assistons à une recrudescence inattendue de la COVID-19.
Le seul paramètre (non quantifiable) que je retiendrais est l’affolement des services hospitaliers et de leurs personnels. Là on ne joue pas à « qui perd gagne », on est face à la réalité quotidienne.
A moins d’envisager qu’ils se soient tous concertés pour nous raconter des bobards, on doit admettre que c’est la panique !
Je ne retiendrais pas les chiffres officiels publiés [qui sont des estimations grossièrement approximatives] sinon pour admettre qu’ils sont parallèles à l’affolement des officiels de la santé publique.
Il se passe indéniablement quelque chose de nouveau, inattendu (et affolant) en ce mois d’octobre 2020 sur le front de la pandémie de la COVID-19.
Et pas seulement en France ; ce n’est pas un phénomène local !
L’important est de comprendre, et vite, le phénomène en cours ; et d’essayer de l’entraver !
Le problème n’est pas que le virus circule [ça n’a rien d’étonnant], c’est que son effet sur les populations, en termes d’hospitalisation et d’admission en réanimation, se soit tellement aggravé en si peu de temps.
Diverses hypothèses ont été proposées par quelques gentils amateurs : 1) le virus a changé ; 2) les températures régionales se sont abaissées ; 3) les citoyens ne respectent pas les mesures barrières, en partie en relation avec l’abaissement des températures…
Il est possible que chacun de ces paramètres (et sans doute d’autres) joue un rôle mais ils ne sont que mineurs car la recrudescence est générale, notamment en Europe, du nord au sud et d’ouest en est !
Il est douteux que face à de telles distances géographiques, telles différences climatiques et telles différences sociologiques, ces paramètres puissent expliquer la recrudescence générale observée : c’est la même chose en Écosse et au Sud de l’Espagne !
Il y a donc autre chose, et je crains que cette chose ne soit simplement pas dicible, voir intellectuellement acceptable !
Cette chose que nos académiciens et politiciens ne veulent et ne voudront pas voir, ne veulent et voudront pas dire ; et qui a été générale en Europe en ce triste mois d’Octobre, c’est le mouvement hystérique de vaccination antigrippale !
Rien qu’en France, des millions de doses ont été injectées en quelques jours [beaucoup de pharmacies sont en rupture de stock dès la fin Octobre] et les plus vaccinés sont précisément ceux qui sont le plus à risque de complications dues à la COVID-19.
Plus on est fragile face au COVI-19 et plus on risque d’être vacciné contre la grippe.
Je reproduis ci-dessous une des images de l’insultante propagande vaccinaliste propagée par les médias professionnels.
On notera, toute honte bue, qu’on en profite pour faire une ridicule propagande pour des médicaments anticholestérol dont l’intérêt médical et scientifique n’a jamais été démontré.
Il n’y a donc aucun doute : ce sont les mêmes qui veulent [comme je l’ai commenté dans un message précédent] mettre notre cholestérol à zéro et nous vacciner contre la grippe !
Propagande honteuse et désinformation systématique sont à l’œuvre partout de la même façon et aucun frein ne permet d’endiguer ces mouvements dévastateurs pour la santé des populations…
Au-delà de l’extraordinaire coïncidence entre la folle entreprise de vaccination antigrippale des plus fragiles d’entre nous et la recrudescence des complications de la COVID-19 (telles qu’enregistrées dans les hôpitaux), quel argument puis-je avancer pour légitimer mes inquiétudes ?
A posteriori [mais ce sera trop tard pour toutes les victimes d’aujourd’hui], de doctes académiciens viendront nous expliquer à l’aide de multiples chiffres, tableaux et autres modélisations qu’on pourrait peut-être expliquer ce rebond inattendu de la COVID-19 par la vaccination antigrippale ; mais que ce n’est pas sûr et que d’autres explications sont possibles et… blabla !
Ce sera trop tard !
Certes, les façons dont la vaccination antigrippale peut aggraver la pandémie de la COVID-19 sont multiples et on peut avancer plusieurs hypothèses biologiques [comme je l’ai expliqué dans le Livre 7 de la Collection Vaccins et Société] mais nous ne pouvons jamais être sûr (avec certitude) et comme les mécanismes d’aggravation peuvent varier d’un sujet à l’autre ou d’une région à l’autre, on pourra toujours « noyer le poisson ».
Sauf que…
Sauf que c’était prévisible et que seuls des académiciens et universitaires incompétents et incultes [je laisse de côté les politiciens et les fonctionnaires des Ministères] pouvaient ignorer ce risque évident de la vaccination antigrippale en temps de COVID-19.
C’était tellement possible a priori que c’était la conclusion de mon Livre 7 sur la vaccination antigrippale, conclusion écrite au printemps 2020, bien avant que d’autres s’inquiètent aussi des manœuvres commerciales et médiatiques pour faire germer dans la population une forte demande de vaccination antigrippale.
Est-il encore temps d’arrêter cette folie vaccinaliste ?
Qui, parmi les officiels paradant sur les plateaux TV, aura le courage de rappeler les fondements de l’éthique médicale la plus conventionnelle [D’abord ne pas nuire !] et la base de la médecine scientifique [Dans le doute on s’abstient !] car nous n’avons à ce jour aucune évidence que ces vaccins sont efficaces ou utiles et une forte présomption qu’ils sont dangereux.
Dans le doute (en termes d’efficacité) et le soupçon (pour la toxicité), que doit-on faire ?
Il faut appliquer la jurisprudence chloroquine si bien appliquée au Printemps 2020 : en cas de doute et de soupçon, on stoppe toute autorisation de prescription et d’administration !
source : https://michel.delorgeril.info
Source : Lire l'article complet par Réseau International
Source: Lire l'article complet de Réseau International