Les essais cliniques d’éventuels vaccins contre le COVID-19, développés par plusieurs groupes pharmaceutiques à travers le monde, sont en train de tourner au cauchemar, et dans deux occurrences rendues publiques, à l’horreur.
En septembre 2019, des essais cliniques d’un vaccin développé par AstraZeneca sur des volontaires ont été interrompus lorsque l’un d’eux commença à développer une maladie inconnue et totalement inexpliquée.
Des sources médicales ayant préféré l’anonymat affirment sans preuve que des volontaires sur lesquels ont été testés de nouveaux vaccins expérimentaux ont développé des pathologies dégénératives fulgurantes ayant surpris la plupart des chercheurs impliqués dans les travaux scientifiques visant à développer un vaccin anti-COVID-19.
Le groupe pharmaceutique US Johnson and Johnson a également été contraint de suspendre un vaste programme d’essais cliniques impliquant 60 000 volontaires issus de plusieurs pays, principalement d’Amérique du Sud et l’Afrique du Sud, après qu’un volontaire ait développé les symptômes d’une pathologie inconnue et jamais observés auparavant.
La maladie nouvelle a été jugée particulièrement grave pour que l’ensemble de l’opération, financée à hauteur de 1.45 milliard de dollars US dans le cadre du programme gouvernemental américain « Warp Speed » soit mise à l’arrêt.
La recherche d’un vaccin anti-COVID-19 en Russie, l’un des rares pays à avoir annoncé l’aboutissement de cet objectif, aurait coûté la vie à des dizaines de volontaires sans que l’on sache réellement si le vaccin est efficace ou pas. Nos sources les plus crédibles affirment pour leur part qu’aucun pays ne dispose de vaccin efficace et mettent en doute la nature du traitement impliquant le CAS-9 laquelle est une protéine bactérienne aux propriétés anti-virales et l’endonuckéase d’ADN guidée par ARN (une sorte d’enzyme cisceau de brins d’ADN). Les mêmes sources mettent en garde contre les effets indésirables de tout traitement expérimental hâtif basé sur l’ingénierie du génome humain. (Information mise à jour le 13 octobre 2020 à 1555Z)
Ces recherches frénétiques nous rapprochent d’un scénario approchant « L’île du docteur Moreau », un roman de science-fiction écrit par H.G. Wells en 1896 et interpellent sur des questions de déontologie et de bioéthique.
Une obligation de se faire vacciner par des moyens coercitifs nous renseignera mieux sur l’objectif final de l’opération COVID-19. Cette option est âprement défendue par des lobbies mais aussi par un grand nombre de gouvernements. Cette perspective à elle seule est assez effrayante en elle même. S’agit-il d’une atteinte à l’intégrité fondamentale de l’humain ou d’un énième développement de l’espèce?
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