Nouvelles mesures anti-Covid, nouveau pied de nez aux libertés individuelles

Nouvelles mesures anti-Covid, nouveau pied de nez aux libertés individuelles

  1. Campagne de dons – Septembre-Octobre 2020

    Chers amis lecteurs, comme vous avez dû le constater, le site RI enregistre depuis un certain temps une nette augmentation de son audience, ce qui prouve que les propagandistes de la pensée unique formatée ont échoué à atteindre leurs buts d’étouffer les voix discordantes comme la nôtre. Pour tenir compte de l’augmentation du nombre de nos lecteurs, nous envisageons de procéder à une migration du site vers un serveur plus conséquent, ce qui nous permettra de résoudre beaucoup des problèmes de connexions que certains d’entre vous nous signalent régulièrement. Chers amis lecteurs, grâce à vos dons, nous avons prévu de procéder à la migration du site dès la deuxième moitié d’Octobre et, également, apporter quelques améliorations importantes sur le site. Nous comptons sur vous.

    2 301,00 € donated

Face à cette interminable crise du Covid, le gouvernement et sa gestion calamiteuse n’obtiennent pour seul résultat que le marasme économique, l’inflation législative, et la restriction toujours plus forte des libertés des citoyens.

Par Sabine Lula.

Alors que les mesures de confinement imposées de mars à mai ont achevé un pays déjà à genoux, nos chers élus redoublent actuellement d’ingéniosité pour prendre les pires décisions possibles afin de faire face à une hypothétique seconde vague de l’épidémie, générée artificiellement par le fait qu’enfin, des tests sont effectués en masse.

Alors qu’à l’arrivée des premiers cas en France, il suffisait de coller des affiches dans les aéroports pour faire face à la maladie selon le ministère de la santé, la tendance est aujourd’hui au catastrophisme : une simple découverte de quelques cas positifs suffit à légitimer une attitude non seulement des plus alarmistes, mais surtout très liberticide.

Nouvelles mesures de l’État : entre arbitraire et absurde

On dit souvent que le ridicule ne tue pas, mais cela n’empêche pas que les personnes ridicules peuvent tuer si jamais elles ont l’opportunité de se trouver au pouvoir. Elles pouvaient déjà, et ce bien avant l’épidémie, dicter à leurs concitoyens quoi faire, quoi dire, et quoi penser. Et ce n’est certainement pas une pandémie qui allait les pousser à renoncer à une partie de leurs pouvoirs.

On observe d’ailleurs un certain autoritarisme des pouvoirs publics : n’oublions pas la volonté d’Emmanuel Macron de déployer l’armée sous l’opération Résilience dans les zones les plus touchées au mois de mars, ce alors que ladite armée ne savait même pas quelles seraient ses missions.

N’ayant visiblement pas appris de leurs erreurs printanières, les pouvoirs publics mettent en place des nouvelles classifications départementales plus contraignantes sous diverses nuances de rouge, l’ultime assaut contre des entreprises qui ne méritent pas cela.

C’est le cas à Marseille, dans un département classé aujourd’hui en « zone écarlate », et donc sujette aux mesures les plus restrictives : fermeture obligatoire des restaurants et des bars, verbalisation systématique en cas de port incorrect du masque, interdiction des rassemblements et des soirées étudiantes… Mais le tout sans renforts policiers pour contrôler la mise en place de ces mesures.

La mesure de renforcement policier étant déjà fortement antilibérale, on peut déjà réaliser à quel point ces mesures que l’État cherche à faire appliquer risquent de bafouer une nouvelle fois les droits naturels des citoyens, alors qu’il est supposé les défendre. C’est par cet argument qu’il s’est octroyé sa légitimité et a pu se développer.

Mais on peut également souligner l’absurdité de tenter de mettre en place des mesures sans en avoir aucun moyen : on ne peut pas en prévoir les résultats, les conséquences ou encore les coûts. Mais comme l’important n’est plus de régler les problèmes mais tout simplement d’agir, les pouvoirs publics sont persuadés d’avoir rempli leur mission, sans aucune considération pour ceux qui pâtissent de ces mesures toujours plus désastreuses.

L’espoir d’un rejet de ces mesures abusives par la population ?

Le gouvernement ne cache même plus sa volonté de faire plier les honnêtes citoyens par la coercition. Olivier Véran a notamment déclaré : « On peut forcer les gens à prendre soin des autres malgré eux. » Déclaration lourde de sens de la part d’un État toujours plus invasif et contraignant.

On remarque cependant que depuis une semaine, certains appellent à la désobéissance civique : dans les grandes métropoles, certains entrepreneurs affirment vouloir ouvrir leurs établissements quelles que soient les directives que le gouvernement chercherait à leur imposer.

De nombreux citoyens commencent à réaliser en effet que les pouvoirs publics ne sont ni légitimes, ni efficaces dans la lutte contre le coronavirus, et que s’ils continuent à se plier aveuglément à ses directives, ils risquent de devoir mettre la clé sous la porte.

On ne peut qu’encourager cette démarche de rejeter les directives arbitraires d’un État incompétent, et pousser un maximum de monde à dire Non à cette mascarade qui nous coûte tant depuis mars. Car les seules solutions proposées – les taxes, l’inflation législative, et le renforcement des répressions par la force – rendent chaque jour le pays un peu plus malade.

Il faut cesser d’attendre quoi que ce soit de l’État, car il est en lui-même un virus. Il ne peut donc pas en ressortir quoi que ce soit de positif s’il fusionne avec un autre virus : faisons donc en sorte de n’être contaminé ni par l’un, ni par l’autre.

source:https://www.contrepoints.org/2020/09/30/381187-nouvelles-mesures-anti-covid-nouveau-pied-de-nez-aux-libertes-individuelles

Source: Lire l'article complet de Réseau International

About the Author: Réseau International

Site de réflexion et de ré-information.Aujourd’hui nous assistons, à travers le monde, à une émancipation des masses vis à vis de l’information produite par les médias dits “mainstream”, et surtout vis à vis de la communication officielle, l’une et l’autre se confondant le plus souvent. Bien sûr, c’est Internet qui a permis cette émancipation. Mais pas seulement. S’il n’y avait pas eu un certain 11 Septembre, s’il n’y avait pas eu toutes ces guerres qui ont découlé de cet évènement, les choses auraient pu être bien différentes. Quelques jours après le 11 Septembre 2001, Marc-Edouard Nabe avait écrit un livre intitulé : “Une lueur d’espoir”. J’avais aimé ce titre. Il s’agissait bien d’une lueur, comme l’aube d’un jour nouveau. La lumière, progressivement, inexorablement se répandait sur la terre. Peu à peu, l’humanité sort des ténèbres. Nous n’en sommes encore qu’au début, mais cette dynamique semble irréversible. Le monde ne remerciera jamais assez Monsieur Thierry Meyssan pour avoir été à l’origine de la prise de conscience mondiale de la manipulation de l’information sur cet évènement que fut le 11 Septembre. Bien sûr, si ce n’était lui, quelqu’un d’autre l’aurait fait tôt ou tard. Mais l’Histoire est ainsi faite : la rencontre d’un homme et d’un évènement.Cette aube qui point, c’est la naissance de la vérité, en lutte contre le mensonge. Lumière contre ténèbres. J’ai espoir que la vérité triomphera car il n’existe d’ombre que par absence de lumière. L’échange d’informations à travers les blogs et forums permettra d’y parvenir. C’est la raison d’être de ce blog. Je souhaitais apporter ma modeste contribution à cette grande aventure, à travers mes réflexions, mon vécu et les divers échanges personnels que j’ai eu ici ou là. Il se veut sans prétentions, et n’a comme orientation que la recherche de la vérité, si elle existe.Chercher la vérité c’est, bien sûr, lutter contre le mensonge où qu’il se niche, mais c’est surtout une recherche éperdue de Justice.

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Recommended For You