Le ciblage, outil indispensable de protection collective
Il doit être renforcé pour notre protection
Le ciblage, ou profilage, est un outil indispensable de protection collective lorsqu’utilisé sur une base régulière par les corps policiers. Il faut l’encourager et voir à ce qu’il soit renforcé dans son application.
Comme l’expliquait un policier montréalais d’origine latino dans un reportage diffusé à Radio-Canada, les patrouilleurs ne visent pas une race, une ethnie, une religion ou une minorité quelconque en particulier. Ils se basent sur certains signes déclencheurs qui vont les alerter.
Par exemple, ils vont remarquer un tenue vestimentaire propre aux délinquants, une réaction d’évitement face aux policiers, une allure louche, des signes d’appartenance à un gang de rue, une attitude de défiance de 3 ou 4 individus rassemblés, des regards intimidant, bref, toute réaction que n’aurait pas un citoyen honnête qui n’a rien à se reprocher.
Dans les faits, les policiers en patrouille ne font qu’observer tout ce qui paraît suspect et inhabituel dans le comportement et les agissements d’individus potentiellement dangereux. C’est en se fiant à ce qu’ils voient ou à la réaction qu’ils provoquent qu’ils décideront s’il y a lieu d’intervenir.
Il est établi que certaines races et certaines ethnies présentent un plus haut taux statistique de criminalité. Le nier serait jouer à l’autruche. Dans les prisons, certaines races sont 5 fois plus représentées que dans la population.
Dans un tel climat d’insécurité, la population a besoin de sentir qu’on la protège en tout temps.
Les criminels actifs doivent se sentir talonnés et surveillés, sentir qu’on ne les lâche pas d’une semelle.
Côté prévention, c’est en procédant à des vérifications d’usage bien ciblées que de jeunes criminels en puissance seront dissuadés de se joindre aux organisations et gangs actifs et à rentrer dans le rang.
Il importe que les délinquants potentiels se sentent constamment sous surveillance, même si cela implique que quelques innocents soient interpellés à l’occasion. C’est regrettable pour ces derniers, mais il faut ce qu’il faut. Qu’ils comprennent que ce petit désagrément va dans l’intérêt public.
Ceux des noirs et des arabes qui se font interpeller davantage mais qui n’ont rien à se reprocher devraient à chaque fois se montrer reconnaissants envers les policiers de bien faire leur travail de protection de la population générale, en étant bien conscients que les noirs et les arabes comme eux sont plus portés aux crimes et aux délits de toutes sortes et que le profilage sert aussi à les protéger d’actes dont ils pourraient eux-mêmes être la victime. C’est en se prêtant volontiers à ces vérifications de routine qu’ils se sentiront utiles de contribuer à la lutte contre le crime. Qu’ils remercient plutôt les policiers à chaque occasion de bien faire leur travail.
On pourrait comparer la chose au fait de devoir se soumettre à la prise de température au front à l’aéroport. On n’a pas à se sentir visé, insulté ou accusé d’être porteur du coronavirus, on sait que c’est pour le bien commun. On est heureux que de tels mécanismes préventifs soient en vigueur et de pouvoir y participer.
Un autre exemple: c’est un fait bien connu que la police de la route est portée à garder un oeil sur les grosses voitures sport rouges conduites par un jeune. Les conducteurs de ces bolides ne commettent pas nécessairement tous des excès en dépassant les limites de vitesse, mais ils doivent s’attendre à être plus surveillés que d’autres. C’est correct comme ça.
Idée novatrice pour une plus grande sécurité:
Tous les malfaiteurs qui ont déjà été arrêtés par la police devraient être tenus de porter un bracelet magnétique qui permettrait de suivre leurs allées et venues pour vérifier s’ils ont des contacts avec d’autres délinquants comme eux pour fomenter d’autres crimes.
Informatiquement parlant, il est relativement facile et peu coûteux de mettre sur pied ce système de suivi préventif, car il suffit simplement de mettre les données recueillies en continu sur le site internet de la police et la surveillance sera faite par les milliers d’internautes bénévoles parmi la population qui prendront plaisir à suivre à la trace sur leur écran les criminels potentiels 24h sur 24 et à déclencher une alerte dès que nécessaire, pour déclencher une intervention policière.
Des villes comme Montréal, qui se cosmopolitisent à outrance par un afflux désordonné de ressortissants du tiers-monde sous-développé, là où règne une violence quotidienne banalisée, et qu’ils perpétuent une fois rendus ici, doivent être mieux protégées contre leur propension naturelle à la violence et aux actes criminels. Il serait illusoire de croire qu’ils changeront de modus operandi une fois établis ici, et qu’ils deviendront d’honnêtes plombiers, soudeurs ou électriciens.
Le profilage de certaines minorités visibles plus problématiques est une technique éprouvée d’une grande utilité qui permet d’agir plus rapidement, d’écarter rapidement ceux qui sont moins susceptibles de méfaits, d’être plus efficace, voire même de prévenir des actes criminels avant qu’ils ne soient perpétrés.
Notre protection collective mérite qu’on emploie tous les moyens appropriés pour assurer la sécurité des citoyens québécois, hommes, femmes et enfants. Et le profilage est une technique qui donne des résultats probants.
Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec