Les tests PCR du Covid sont administrés à l’aide d’un écouvillon de 15 cm de long qui passe par le nez et va jusqu’au fond de la gorge. Pourquoi ? Le coton-tige touche la plaque sensible du cribriforme et accède directement au cerveau. Ces tests comportent-ils un dessein subreptice ?
Les tests PCR du Covid qui sont en cours de déploiement dans le monde entier, conformément au plan 1-3-30 de la Fondation Rockefeller, sont le principal objectif de cette phase actuelle de l’opération Coronavirus. Plus le nombre de personnes testées est élevé, plus le nombre de cas positifs enregistrés est important, ce qui alimente le discours officiel de peur et la maintient en vie pour justifier une nouvelle tyrannie. Cependant, il se peut qu’autre chose soit également à l’œuvre. Nous devons nous demander si ces tests PCR du Covid ne seraient pas en fait une ruse pour accéder secrètement à notre organisme interne, en particulier à notre cerveau. Les écouvillons nasaux utilisés — appelés naso-pharyngés ou oro-pharyngés — sont incroyablement longs puisqu’ils mesurent environ 15 cm, ce qui signifie qu’ils atteignent l’arrière de notre gorge. Existe-t-il une raison médicale pour laquelle ces écouvillons doivent être de cette longueur ? J’ai couvert dans d’autres articles à quel point les tests PCR sont imparfaits et inadaptés. Ces tests pourraient-ils être utilisés pour infecter subrepticement des personnes avec un agent pathogène quelconque, administrer le vaccin qu’ils prétendent être encore en développement, ou même implanter des personnes avec des nanotechnologies telles que les puces électroniques ?
Tests Covid : S’agit-il d’accéder à la plaque Cribriform ou de la cibler ?
En anatomie humaine, la plaque cribriforme est un os médian important qui fait partie à la fois du crâne et du nez et qui transmet les nerfs olfactifs qui véhiculent le sens de l’odorat. Il s’agit d’une partie du corps très délicate et fragile.
Note du traducteur : la plaque cribriforme est étroite et profondément rainurée ; elle soutient le bulbe olfactif et est perforée par des foramines pour le passage des nerfs olfactifs. Les foramines situées au milieu de la rainure sont petites et transmettent les nerfs à la voûte des fosses nasales ; celles des parties médiane et latérale de la rainure sont plus grandes – les premières transmettent les nerfs à la partie supérieure de la cloison nasale, les secondes à la conque nasale supérieure. Une plaque cribriforme fracturée peut entraîner un dysfonctionnement olfactif, un hématome septal, une rhinorrhée du liquide céphalo-rachidien (LCR) et éventuellement une infection pouvant conduire à une méningite. La rhinorrhée du LCR (liquide clair qui s’écoule du nez) est très grave et considérée comme une urgence médicale. Source
Pourquoi diable les tests Covid contiennent-ils un tampon — un bâtonnet rembourré — qui peut titiller cet os délicat ? Serait-ce parce que la plaque cribriforme permet d’accéder au cerveau ? Jim Stone y a récemment fait allusion dans un article intitulé « Le test Coronavirus n’est pas crédible et est probablement destiné à un accès clandestin au cerveau », reproduit sur ce site [en anglais – NdT] :
Ils affirment que le virus détruit le système nerveux d’un grand nombre de personnes, laissant des problèmes neurologiques et des lésions cérébrales durables. Mais j’aimerais demander : le virus fait-il vraiment cela, ou est-ce que ce sont les tests ? Il existe probablement différents types de tests, mais dans de nombreux cas, il se pourrait bien que ces tests PCR du Covid-19 puissent causer les lésions cérébrales. C’est facile à expliquer :
Beaucoup de ces tests — tous ceux qui utilisent l’« écouvillon » incroyablement long — prennent leurs échantillons sur la plaque cribriforme, un os d’un millimètre d’épaisseur situé au sommet de la cavité nasale et perforé de nombreux trous qui vont directement dans la cavité cérébrale. Ces trous sont le passage de vos nerfs olfactifs, et ils sont nombreux — l’os est semblable à un grossier tamis. Si vous vouliez saboter quelqu’un en lui implantant un virus cérébral dissimulé, une nanotechnologie, ou en lui implantant une puce, ce serait l’endroit idéal pour le faire car un médecin serait peut-être capable de retirer une puce mais un individu lambda ne pourrait certainement pas le faire sans perforer cet os très fin — qui n’est même pas vraiment un os, il s’agit pour moitié d’un nerf — et toute personne qui tenterait de procéder elle-même à une extraction finirait probablement par se tuer. Tous les produits chimiques, virus, nanotechnologies ou autres qu’ils voudraient y placer auront un accès immédiat au cerveau, quant à l’extraire, vous pouvez oublier car une fois qu’il est introduit, il y est pour de bon. Il serait littéralement placé directement contre le cerveau, et y accéderait directement.
Les gens se plaignent que les tests sont atrocement douloureux et que la douleur dure des jours. Pour quelle raison les tests devraient-ils toucher la partie du corps humain la plus accessible au cerveau ? S’agit-il vraiment de tester ? Les tests ADN se font avec un simple prélèvement buccal, et il est ridicule de penser qu’un test de dépistage de virus — alors qu’on est censé pouvoir le propager par la toux — ne serait pas identique. Il y a quelque chose qui cloche avec ces tests. Ils doivent ÊTRE bidons — ou du moins ceux qui prélèvent littéralement un échantillon proche du cerveau. Il n’est pas étonnant que la douleur persiste pendant des jours et que ce soit [puisse être – NdT] la raison pour laquelle les gens perdent définitivement l’odorat, c’est probablement parce que les nerfs olfactifs sont touchés par ce prélèvement.
Je parie que vous ne saviez pas à quel point ce test est vraiment désagréable. Évitez-le à tout prix.
J’avais vu un article sur ce sujet il y a quelques jours, et je l’avais alors écarté… Je ne pouvais pas imaginer que ces monstres pourraient utiliser leurs méthodes barbares de « test PCR » comme moyen d’ENDOMMAGER nos cerveaux… L’éthique mise à part, je ne pouvais pas imaginer que ces créatures immondes s’abaisseraient à un niveau aussi horrible… Mais encore une fois, nous avons affaire ici à des monstres sans conscience humaine, n’est-ce pas ?
Note du traducteur : Voici comment se positionne l’écouvillon en question lors du test PCR du Covid :
Voici expliquée la procédure pour effectuer ce test, selon l’UC Davis Medical Center à Sacramento :
Le test Covid-19 consiste à insérer un écouvillon de 15 cm de long (comme un long coton-tige) dans la cavité entre le nez et la bouche — écouvillon naso-pharyngé — pendant 15 secondes et à le faire tourner plusieurs fois. La même manœuvre est ensuite répété dans l’autre narine [avec le même écouvillon – NdT] pour s’assurer qu’une quantité suffisante de matériel est recueillie. L’écouvillon est ensuite inséré dans un récipient et envoyé à un laboratoire pour y être testé.
Nous verrons plus loin des techniques d’usage qui sont différentes de celles mentionnées ci-dessus.
Voici une autre citation du même site — mais celle-ci n’est pas de Jim Stone :
… ils ont effectué les « tests » en introduisant un tampon de 15 cm de long dans CHAQUE narine jusqu’à ce qu’il atteigne l’arrière des voies nasales. Ensuite, les testeurs ont fait tourner les tampons pendant environ 10-15 secondes dans chaque narine… Ils ont ensuite retiré les écouvillons et les ont insérés dans les tubes à essai pour les envoyer aux laboratoires pour « analyse »… Honnêtement, j’ai dû à ce moment-là m’arrêter et réfléchir… POURQUOI diable auraient-ils besoin d’insérer un si long écouvillon jusqu’à l’arrière des voies nasales ? Et ensuite, tordre les tampons sur ce palais [ou voile – NdT] à l’arrière des voies nasales contre des tissus mous me semble également très barbare ! Ce mouvement à lui seul causerait-il des dommages à ce palais et pourrait-il créer un scénario bien PIRE que celui qu’est supposé provoquer ce « virus » ?
Et tous les gens à qui j’ai parlé m’ont raconté la même histoire, à savoir qu’ils avaient par la suite des « maux de tête » et, dans certains cas, une sensation de nausée et de fortes douleurs aux sinus… Encore une fois, cela semble assez barbare, et pour moi, il y aurait des moyens beaucoup plus simples d’obtenir des échantillons de tissus plutôt que d’endommager éventuellement l’arrière de nos cavités nasales !
Il y a quelque chose de très suspect dans ces tests Covid. Nous devons au moins nous rappeler que des lots de tests Covid se sont avérés contaminés, parfois par le coronavirus lui-même — par exemple aux États-Unis et au Royaume-Uni — bien que les fact checkers affirment que le « virus » ne pourrait dans ce cas-là pas se propager ou infecter des personnes, et qu’ils ne contribueraient qu’à rendre les résultats des tests inefficaces [ben voyons – NdT]. Étant donné l’objectif des acteurs du Nouvel Ordre Mondial pour une population entièrement micro-pucée, j’aurais tendance à ne pas mettre en doute leurs intentions conspiratrices consistant à utiliser une méthode aussi horrible et subreptice d’implantation de personnes à leur insu et sous le couvert de les aider.
Pointer un pistolet laser sur la tête pour prendre la température affaiblit-il la glande pinéale ?
En ce qui concerne les interventions médicales invasives, avant même d’en arriver aux vaccins et aux nano-puces, ou même aux tests naso-pharyngés, qu’en est-il des pistolets laser à température ? Vous pourriez avoir la malchance de vivre dans une région où les entreprises effectuent désormais des examens thermiques en pointant un pistolet sur votre front. Au-delà des conséquences médicales, il s’agit d’un conditionnement flagrant et révoltant permettant d’habituer les personnes à se voir pointer un pistolet sur la tête. Si nous acceptons cette nouvelle norme où des dispositifs ressemblant à des armes à feu sont couramment pointés sur nos têtes, vous devriez penser aux conséquences psychologiques que représente ce consentement. Pensez au mal indicible fait aux enfants si nous leur permettons de s’habituer à cela. L’intéressante vidéo ci-dessous explique comment le rayon infrarouge du pistolet peut endommager la glande pinéale, elle-même porte d’entrée vers les champs énergétiques supérieurs et la conscience. L’homme dans la vidéo cite une infirmière australienne [des problèmes techniques empêchent de partager la vidéo de Bitchute, dont vous retrouverez le lien en sources à la fin de l’article – NdT] :
Je suis vraiment inquiète… Sommes-nous à ce point anesthésiés pour penser qu’il est normal de se voir pointer un pistolet laser sur la tête, sans même penser que diriger un rayon infrarouge vers la glande pinéale pourrait entraîner des problèmes de santé potentiels ?
Je suis allé dans un centre commercial et les gens faisaient la queue pour faire prendre leur température par un employé qui n’était manifestement pas un médecin et qui n’avait pas été correctement formé sur la façon d’effectuer convenablement cette procédure. Beaucoup ont été choqués lorsque mon tour est venu et j’ai pris le pistolet dirigée vers mon front et je l’ai redirigée vers mon poignet. J’ai parlé doucement mais fermement et j’ai dit à cet employé qu’un thermomètre infrarouge ne devait jamais être pointé sur le front de quelqu’un, surtout pas sur les bébés et les jeunes enfants. En outre, il faut savoir comment lire correctement la température de quelqu’un, c’est-à-dire que placer un thermomètre sur le poignet ou le pli du coude est beaucoup plus précis et beaucoup moins nocif. J’ai été très troublé de voir des enfants s’habituer à voir un objet en forme de fusil pointé sur leur front et sans aucune réaction négative des adultes, comme si cela était normal et acceptable.
En tant que professionnel médical, je refuse de viser directement la glande pinéale qui est située au centre du front, avec un rayon infrarouge. Cependant, la plupart des gens acceptent de passer par là plusieurs fois par jour ! Nos glandes pinéales doivent être protégées car c’est crucial pour notre santé actuelle et future.
Un thermomètre infrarouge standard absorbe les infrarouges mais ne les émet pas, donc de ce point de vue, ils sont sans danger. Le problème de la sécurité vient des thermomètres laser, qui émettent un faisceau de lumière pour mettre en évidence la zone de l’objet évalué afin d’en assurer la précision. Ce faisceau est classé comme un laser de classe II qui émet une lumière visible inférieure à un milliwatt et peut être vendu comme « pointeur » utilisé pour attirer l’attention sur des informations sur des tableaux intelligents ou des tableaux blancs lors de conférences. Bien qu’ils soient généralement considérés comme sûrs, ils peuvent endommager la rétine si vous fixez le faisceau. Les lasers produisent un faisceau de lumière intense qui peut provoquer des radiations laser sous forme de dommages thermiques aux tissus. Les dangers et le risque de blessure graves augmentent à mesure que l’on se rapproche du laser.
Dernières réflexions
Le but de cet article en particulier est de sensibiliser et de poser des questions. Cet article n’a pas les réponses à la question de savoir ce que contiennent réellement ces tests Covid et s’ils sont conçus selon un dessein subreptice. Il faut espérer que ces questions initiales inciteront les gens à poursuivre leurs recherches ou, à tout le moins, les encourageront à être très sceptiques quant à la possibilité de passer ces tests sans hésitation. Il doit être clair à présent que rien de l’opération Coronavirus n’est bénin, pas même les tests. Chaque aspect de ce programme doit être soigneusement examiné. Se soumettre au test lui-même est un acquiescement tacite au fait que le test fonctionne et qu’il est nécessaire pour la santé et la sécurité publiques — deux éléments qui sont manifestement faux.
Sources :
À propos de l’auteur : Makia Freeman est la rédactrice en chef du site de médias alternatifs/information indépendante The Freedom Articles et chercheuse principale à ToolsForFreedom.com. Makia est sur Steemit et FB.
Note du traducteur : À la page 3 de ce document (il s’agit d’une Fiche de compétence et de formation-habilitation aux frottis rhyno-pharyngé et nasal profond pour la recherche de SRAS-CoV-2 (Covid-19), il semble exister au moins deux longueurs différentes d’écouvillon : 8 cm et 15 cm. Il est également précisé la chose suivante dans la procédure à suivre pour un prélèvement nasal profond :
- Insérer l’écouvillon en douceur sur environ 3 à 4 cm en gardant le collet de cassure de l’écouvillon à l’intérieur du vestibule nasal. Connaître les zones d’appui (cloison nasale, plancher nasal), connaître les risques spécifiques (cassure écouvillon dans la fosse nasale). Connaître les contre-indications (enfant < 15 ans).
- Effectuer un mouvement de rotation de l’écouvillon dès son introduction pendant une durée de 3 secondes. Procéder systématiquement au prélèvement de la 2nde fosse nasale.
Plus haut dans l’article de Makia Freeman, il nous est dit que la rotation de l’écouvillon dure de 10 à 15 secondes… L’écart est tout de même très large !
Notons aussi que selon le même document, toujours page 3, l’écouvillon de 15 cm est à utiliser dans le cadre d’un prélèvement — ou frottis — rhyno-pharyngée, pas dans celui d’un prélèvement nasal profond qui doit privilégier la longueur de 8 cm.
En fait, il est difficile de se faire une idée précise de ce qu’est un prélèvement naso-pharyngé en général, quelles étaient les procédures avant le Covid et savoir si ce dernier implique une procédure différente qui aurait changée pour des raisons obscures est difficile à déterminer. Comme le dit l’auteur, cet article a le mérite de poser des questions, qui sont légitimes compte tenu de tous les possibles dans ce monde dirigé par des psychopathes qui s’accrochent désespérément à leur pouvoir..
Toutefois, un brevet d’invention a été déposé en 2016 à propos d’une technique pour administrer des médicaments au cerveau et/ou au corps (et pour l’hygiène et l’hydratation nasale) via la plaque Cribriforme. Plus ici en anglais. Voici ce que l’on peut lire :
L’invention concerne des procédés et des compositions pour administrer un médicament et d’autres substances au cerveau et au corps par l’intermédiaire de la plaque cribriforme à l’aide de compositions moussantes.
Dans cette étude sur des traitements contre le Covid-19 publiée en 2020, il est précisé :
La plaque cribriforme est un os anatomiquement poreux, qui est situé au sommet de la cavité nasale. Ainsi, des médicaments peuvent être administrés sous forme vaporisée à la surface inférieure du lobe frontal, avant de s’étendre au reste du système nerveux central pour y réaliser une concentration efficace. La voie proposée est préférable car elle permet (a) de contourner la sélectivité de la barrière hémato-encéphalique qui limite la perméabilité des médicaments au tissu cérébral, (b) de délivrer les médicaments directement au système nerveux central, (c) d’exercer les effets des médicaments à une dose plus faible sans drainage veineux, et (d) d’éviter les effets secondaires indésirables dus à l’administration systémique ; (e) les médicaments peuvent être administrés sous forme vaporisée pour atteindre la plaque poreuse cribriforme.
Il s’agit donc d’entrer dans le Système nerveux central en contournant la barrière hémato-encéphalique.
Une étude publié en ligne fin 2017 encourage l’usage d’une combinaison nanotechnologique pour surmonter les contraintes, notamment celle d’atteindre la zone cible plus rapidement :
De nombreuses thérapies utilisées pour le traitement des troubles cérébraux ne sont pas efficaces et ne sont pas délivrées au cerveau en raison de la structure complexe et de ses barrières. Ces dernières années, de nombreuses approches avancées ont vu le jour pour l’administration de médicaments au cerveau. L’administration intra-nasale de médicaments est l’une des approches non invasives qui a gagné en intérêt en raison de leurs transports direct contournant la barrière hémato-encéphalique par les voies olfactives et trigéminales. Bien que par ces voies les médicaments aient un accès direct au cerveau, les principales limites de cette approche sont l’absorption limitée des médicaments et la perméabilité nasale. Pour surmonter les problèmes liés au ciblage du cerveau par l’administration de médicaments par voie nasale, il convient d’encourager le développement de nouveaux modes d’administration des médicaments en les combinant avec les nanotechnologies.
L’absorption de médicaments dans le cerveau à partir des fosses nasales se produit également par la circulation sanguine. Dans le même Pdf, on trouve page 5 une liste de sprays nasals commercialisés et disponibles sur le marché, qui sont à même d’atteindre le Système nerveux central ; certains sont à visée migraineuse et l’un d’entre eux vise à traiter la « puberté précoce », il s’agit du Syneral développé par les Laboratoires Roche.
Dans Neurology Reviews, un article (issu d’une conférence) publié en 2016 aborde les différentes pathologies (Parkinson, Alzheimer…) qui faisaient alors l’objet d’études pré-cliniques pour un traitement par l’administration intra-nasale de médicaments qui contourne la barrière hémato-encéphalique.
Dans cet autre article publié début 2017 et intitulé « Contournement de la barrière hémato-encéphalique : L’acheminement des médicaments de la muqueuse olfactive vers le Système nerveux central » (en anglais), voici la conclusion :
Nous concluons que la muqueuse olfactive, l’épithélium olfactif, les nerfs olfactifs, les espaces épithéliaux et interaxonaux subpénétrales, le bulbe olfactif, le bulbe olfactif entourant le LCR, le tractus olfactif et suprachiasmatique ainsi que les citernes suprachiasmatiques et les citernes interpédonculaires, l’espace de Virchow-Robin, et la voie de transport et de dégagement glymphatique, sont les principales routes nécessaires au transport direct d’agents thérapeutiques, de micro-organismes, de virus et d’amibes vers le Système nerveux central, en contournant la barrière hémato-encéphalique. […] L’administration intra-nasale par la muqueuse olfactive d’agents thérapeutiques pour le traitement des maladies neurodégénératives et de nombreuses maladies du Système nerveux central permet de surmonter les limitations dues à la barrière hémato-encéphalique et fournit une méthode efficace de délivrance directe pour un groupe sélectif d’agents thérapeutiques pour traiter les régions du cerveau qui sont pathologiquement affectées par les maladies d’Alzheimer et de Parkinson ainsi que d’autres maladies du Système nerveux central.
Les études mentionnées ci-dessus datent de 2016-2017. Nous sommes en 2020… À chacun de se faire sa propre opinion à partir de données très partielles, à ce stade. Pour le moment, ces tests ne sont pas obligatoires. Pourraient-ils le devenir ?
Voir aussi cet article sur les tests Covid : Fraude et imposture — Les tests Covid ou l’outil de contrôle indispensable « pour sauver le monde » transformé en Virusocratie :
« Le test PCR pour le Covid est aussi valable qu’un test de la Scientologie qui détecte votre personnalité et vous dit ensuite que vous devez lui donner tout votre argent. »
~ David Crowe, dans des propos rapportés auprès de Celia Farber
Source de l’article initialement publié en anglais le 29 juillet 2020 : The Freedom Article
Traduction : Sott.net
Source: Lire l'article complet de Signes des Temps (SOTT)