Il emprunte aux économistes la nécessité des rapports éternels … il emprunte aux socialistes l’illusion de ne voir dans la misère que la misère( maintenant on parlerait de gauchistes )
et cela vaut pour tous les divisés des avis(*) représentant toutes les praxis (**) formant une série d’ensembles, qui ne peuvent exister qu’aux dépends de ceux auxquels ils (ces avis) s’imposent
ainsi l’élu ne voit dans ses électeurs administrés de la veille que des futurs administrables du lendemain
que des administrés restent administrables, cela représente ce que sont les rapports éternels
n’y voir que des anciens administrés en attente d’être encore administrables, cela représente ce qu’est l’activité morale de transformation du sujet agissant ( le praxis ) , ici l’élu
une seule chose importe a son sens, ils ne le seront maintenant plus que par moi et non plus par l’autre, avec les mêmes méthodes
en 2500 mots je ne peux développer d’avantage, mais aussi vrais qu’il n’y aurait pas d’électeurs il n’y aurait pas d’élus, il n’y aurait pas de pauvreté, il n’y aurait pas de gauchistes, et le gauchiste lui, il veut (bien) vivre, … pour ne pas devenir pauvre
le gauchiste n’ira pas dans une approche radicale pour supprimer ce qui fait le lit de son action, il ne verra que l’écume de la vague, et donnera a tous ceux susceptibles de l’entendre ou de l’écouter les plus belles paroles qui seront possibles de lui consacrer
de la misère pour mes bons mots, et mes bons mots contre la misère, vaste programme
brave proudhon, sans rancunes
(*) les avis, aussi appelés opinions, c’est comme les trous du Q, à chacun le sien
(**) l’activité morale de transformation du sujet agissant, et généralement on va plus facilement vers le bas que vers le haut
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