Les conséquences du confinement occultées par les médias de masse
Le confinement qui nous est imposé, prétendument pour combattre le covid-19, a de tragiques répercussions dans les pays moins bien nantis, si l’on se fie à une étude publiée dans The Lancet, environ 10 000 enfants meurent de malnutrition par mois, maintenant, en conséquence des mesures « sanitaires » qui paralysent des pays entiers. Selon LifeSiteNews :
Plus de 10 000 enfants meurent maintenant chaque mois à cause des perturbations économiques que les restrictions contre le Covid-19 ont imposées en Amérique latine, en Asie du Sud et dans les communautés d’Afrique subsaharienne.
Dans ces régions, les familles sont confrontées à un avenir sombre sans suffisamment de nourriture, selon une étude publiée dans The Lancet.
« La crise sociale et économique mondiale sans précédent, déclenchée par la pandémie COVID-19, pose de graves risques pour le niveau nutritionnel et la survie des jeunes enfants dans les pays à faible et moyen revenu », rapporte la revue médicale. « L’augmentation prévue de la malnutrition des enfants, l’émaciation, est particulièrement préoccupante, en raison de la forte baisse des revenus des ménages, des changements dans la disponibilité et l’accessibilité financière des aliments nutritifs, et des interruptions des services de santé, de nutrition et de protection sociale ».
« Cela fait sept mois que les premiers cas de Covid-19 ont été signalés et il est de plus en plus évident que les répercussions de la pandémie causent plus de tort aux enfants que la maladie elle-même », déclare la directrice générale de l’UNICEF, Henrietta Fore, dans un communiqué de presse.
Vous remarquerez que ni l’étude ni la directrice générale de l’UNICEF n’attribuent directement ce chiffre monstrueux de décès au confinement, mais aux « répercussions de la pandémie », alors qu’il est évidemment causé par le confinement et la panique, engendrée par les médias et les gouvernements, qui asphyxient la société.
Mme Fore continue :
« Le taux de pauvreté des ménages et d’insécurité alimentaire ont augmenté. Les services de nutrition essentiels et les chaînes d’approvisionnement ont été perturbés. Les prix des denrées alimentaires sont montés en flèche. En conséquence, la qualité de l’alimentation des enfants a baissé et les taux de malnutrition vont augmenter », ajoute Mme Fore.
« Les parents des enfants sont sans travail », explique Annelise Mirabal, qui travaille auprès des enfants mal nourris à Maracaibo, au Venezuela, dans un rapport de l’AP. « Comment vont-ils nourrir leurs enfants ? »
L’UNICEF appelle aux dons :
L’UNICEF a lancé un appel à l’action, disant que « les agences humanitaires ont immédiatement besoin de 2,4 milliards de dollars pour assurer la nutrition des mères et des enfants dans les pays les plus vulnérables d’ici la fin de l’année ».
C’est bien beau d’essayer de remédier aux conséquences du confinement, mais il faudrait surtout l’arrêter immédiatement, sans cela, c’est comme entretenir la cause du problème tout en voulant y remédier, c’est essayer d’éteindre un feu tout en l’alimentant. 10 000 enfants meurent chaque mois à cause d’actes stupides des gouvernements et des médias, si cela ne vous suffit pas, je ne sais pas ce qu’il vous faut.
Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec