Campagne de dons – Juin 2020
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Entre dette perpétuelle et repentance éternelle : détruisons la Banque Centrale Européenne ! (1/2)
*
par Marc-Gabriel Draghi.
Désigner le véritable ennemi
Ainsi, l’ennemi qui veut faire se prosterner chaque individu blanc, devant tous les opprimés de la terre (minorités raciales) est en réalité celui la même, qui a pris le contrôle de l’Occident et de la France, depuis la défaite de Waterloo en 1815.
Il s’agit du Capitalisme financier apatride de matrice vétérotestamentaire.
Et sa puissance est désormais colossale, à une époque où l’ensemble de la dette mondiale a dépassé les 250 000 milliards de dollars et tend encore à exploser dans les prochains mois.
Ces ploutocrates souhaitent désormais porter l’estocade finale sur les peuples européens.
Trop libres, riches et pas encore totalement acculturés, ils semblent bien que ces derniers (en vérité l’Europe latine : berceau de la civilisation européenne) soient en danger de mort.
L’immigration de masse, la tyrannie des minorités (militantisme LGBTQI+, indigénat, etc.), l’acculturation progressive, mais lourde de nos nations sont des phénomènes qui conduisent à une mort inévitable.
Le Capitalisme en fervent soutien de tous ces mouvements n’aura bientôt plus qu’à regarder notre civilisation s’effondrer.
Mais plus que des spectateurs attentifs, par leurs comportements, les Google, Amazon, Facebook, Netflix sont même des organismes actifs en faveur du mouvement Black Lives Matter, et donc de l’importation du chaos racial et sociétal dans nos sociétés.
À l’image des grandes banques internationales comme Goldman Sachs, JP Morgan, etc. qui participent à leur manière, par leurs financements, au chaos sociétal.
Les GAFAM prennent modèle sur les politiques de ces grandes firmes bancaires et leur soutien explicite du combat des droits des minorités sexuels, les fameux LGBTQI+.
Mais l’ensemble de ces phénomènes ne peuvent être accomplis et mis en œuvre que grâce à la lâcheté et la corruptibilité de nos politiques, qui eux même sont pris au piège de la domination de cette élite par la Dette.
C’est parce que l’establishment financier dispose de la puissance de l’argent qu’il impose ces programmes de destruction.
C’est l’arme psychologique de la dette qui amène à la promotion des médiocres et des lâches au détriment du bien commun et de l’intérêt général. Depuis des années, toutes nos élites politiques, économiques et intellectuelles sont vérolées et dressées contre les intérêts des peuples.
Néanmoins, il est vrai que depuis plusieurs années, l’establishment transnational a redéfini d’une étrange manière le système politique dans lequel les nations européennes évoluent.
Ainsi, Daniel Cohn-Bendit, symbole de cette caste d’intouchables, n’avait pas hésité à lancer cette phrase légendaire lors d’une de ces tribunes très médiatiques au Parlement européen : « la démocratie n’est pas le pouvoir de la majorité, mais le respect des minorités ».
Cette déclaration résume parfaitement ce que sont devenues les démocraties libérales européennes.
À cela, il faut ajouter une autre de ces déclarations pour comprendre le fond de sa pensée et celle de l’hyperclasse. Celui-ci commentait en 2016, le résultat du référendum en Grande-Bretagne sur la sortie du pays de l’Union européenne. Et l’usage du référendum avait donc mis notre « Dany le Rouge » très en colère.
Si bien, que l’ancien eurodéputé écologiste avait fustigé le recours à la consultation populaire, en déclarant :
Ainsi, l’Oligarchie transnationale ne veut plus entendre parler le peuple. Mais en plus, elle souhaite depuis maintenant quelques décennies, sacraliser la volonté des minorités pour dissoudre politiquement les nations.
D’ailleurs si on lit entre les lignes, on peut interpréter la chose de la manière suivante : nos systèmes politiques occidentaux visent en réalité à satisfaire la volonté des minorités, pour ne pas dire « la minorité ».
En vérité, nos élites depuis la fin des années soixante, nous ont imposé le modèle anglo-saxon multiculturel, qui est en réalité un retour au tribalisme (matriarcat), très éloigné du modèle paternaliste (patriarcal) des sociétés européennes avec leur culture gréco-romaine universaliste.
Et ce retour au tribalisme fait le jeu d’un certain type de minorité, habituée à « régner » dans ce genre de société très divisée. Et en réalité, c’est cette oligarchie financière tribale possédant une matrice vétérotestamentaire (cf. Occident et Islam Tome I de Youssef Hindi) qui cherche à imposer aux derniers peuples enracinés (les Européens), la destruction de leurs identités et de leurs cultures.
L’instauration d’une repentance éternelle couplée à la dette, vient de cette même minorité agissante, qui souhaite détruire la civilisation européenne ou paradoxalement elle prospère depuis deux siècles.
On a cité Daniel Cohn-Bendit, mais l’on pourrait également rajouter les déclarations du nouveau premier président de la Cour des comptes : Pierre Moscovici, ou encore celles d’un Jacques Attali, qui témoignent eux aussi, des mêmes prises de positions sur certains sujets.
Ainsi, l’ex-ministre de l’Économie de François Hollande, sur le recours au référendum sur l’Union européenne avait suivi l’avis de son ami, le Grünen trotskyste : « Je le dis aussi à ceux qui seraient tentés par un référendum en France, qu’un référendum, ça blesse, ça brûle, ça divise, et ça ne débouche pas sur des solutions ».
Voilà pourquoi la revendication principale des Gilets jaunes (à savoir le référendum d’initiative citoyenne) est inadmissible pour l’hyperclasse et méritait que l’on crève des yeux et coupe les mains de ces gueux…
Moscovici, il n’y a pas si longtemps, lorsqu’il était un médiocre commissaire européen chargé de l’économie avait également pris la peine de déclarer : « Je ne crois pas aux racines chrétiennes de l’Europe ».
Dans la même veine, notre « prophète nomade » Jacques Attali donnait, lui, des conseils aux nations pour l’avenir, en conservant le sens profond du message délivré par cette caste nomade : « Tout pays doit se penser comme un hôtel ».
Ainsi, on le constate, la destruction de notre identité et de notre culture est pensée à un niveau politique supérieur.
Les tweets du journaliste anglo-israélien Mister Lévy, examinés plus haut, ne sont qu’une illustration, mais ils donnent une parfaite description politique du futur de l’occident.
Nos sociétés sont entrées dans l’ère des manipulations des minorités, des revendications tribales farfelues, des émeutes urbaines (autorisées) et surtout de la destruction du patrimoine culturel (Notre Dame, églises, statues) au motif d’une culpabilisation éternelle de l’homme blanc occidental.
Et vous l’imaginez bien, dans ce nouveau climat de « culpabilité », on parlera forcément un jour de « réparation ». C’est-à-dire d’argent, de paiement pour toute cette souffrance supposée…
Et on s’en doute, ce ne sont pas le comité « Justice pour Adama Traoré », la famille de George Floyd ou encore la LDNA, qui profiteront à l’avenir du business de la pleurniche indigéniste.
Non ! Les grands gagnants du chaos, comme souvent, seront davantage à rechercher du côté de financiers philanthropes de la City, de Wall Street œuvrant pour un monde nouveau.
Le profil du grand gagnant adoptera très probablement davantage les traits d’un George Soros, plutôt que ceux d’un Sylvain Afoua. Et la masse éventuelle qui verra cet argent sera davantage à chercher du côté de New York, Londres ou Tel-Aviv plutôt qu’à Kinshasa et Bamako.
D’ailleurs, dans cet article, nous ne traiterons pas non plus de la récupération parallèle de la colère identitaire des natifs européens, par ceux qui qualifient Saint Louis de « roi Juif », mais qui dans l’obscurité des prières du soir, veulent eux aussi, déboulonner les statues du saint roi…
Sur ce sujet annexe, il est préférable de renvoyer aux travaux d’un Youssef Hindi, qui expliquent parfaitement ces phénomènes d’oppositions contrôlées.
Ce qui nous intéresse dans cet article c’est bien ce grand jeu qui lie repentance et dettes éternelles. Car même si la chose peut paraître irréelle pour le profane, le symbolisme de cette idéologie mortifère se retrouve dans le sein d’une des plus grandes institutions politiques qui organisent la domination de l’Europe continentale.
En effet, la Banque centrale européenne en est le meilleur exemple.
La BCE : institution monétaire et mémorial juif
Oui, vous êtes déjà en train de vous demander quel est le rapport entre la Banque centrale européenne et la repentance éternelle ?
Comment une institution monétaire et politique peut-elle avoir un lien avec ce chaos mémoriel dans lequel nous sommes plongés depuis quelques semaines ?
Et bien vous allez être surpris, mais le bâtiment de la banque centrale européenne abrite depuis quelques années à la fois une banque centrale (institution monétaire) et à la fois un mémorial de la repentance éternelle.
Le nouveau bâtiment de l’institution garante de l’Euro, qui organise les politiques économiques de coercition sur les nations européennes, a été édifié volontairement sur un « lieu de mémoire juif ».
Comme chacun le sait, le gratte-ciel de la BCE se trouve dans la ville allemande de Francfort au bord du fleuve Main. Ville qui en elle-même est hautement symbolique pour ceux qui s’intéressent à l’histoire du Capitalisme financier. Cette cité étant la cité d’origine de la dynastie bancaire des Rothschild.
Ainsi, le nouveau building inauguré sous l’ère Draghi en 2014, a remplacé les locaux de l’ancienne Eurotower. Précisions que le projet a été étalé sur 12 ans et la phase de construction a duré quatre années de 2010 à 2014.
C’est lors de l’inauguration officielle le 18 mars 2015, que l’ancien président de la BCE, Mario Draghi avait déclaré avec sa verve habituelle que : « Le nouveau siège de la BCE est un bâtiment moderne pour une banque centrale moderne. »
Dans le même temps et à proximité de l’édifice, une manifestation contre l’austérité avait été organisée le même jour. Tout un symbole !
La première partie du bâtiment du siège de la BCE, est la plus connue du grand public. Cette tour désignée comme la « Sky Tower » est néanmoins construite derrière un bâtiment plus ancien, qui sert d’entrée principale et d’espace d’accueil au siège de la Banque centrale européenne.
Ce n’est donc pas la tour, d’une hauteur de 185 m, composée de béton, de verre et d’acier qui va nous intéresser ici. C’est la partie la plus ancienne du bâtiment qui a été, elle aussi, réaménagé pour l’occasion, et qui suscite notre intérêt dans cet article.
En effet, la partie basse composant l’entrée de l’édifice complet est la plus intéressante. Ce bâtiment désigné en allemand comme Grossmarkthalle était à l’origine la principale halle aux fruits de la ville de Francfort.
C’est là, ou l’on va constater ce lien explicite entre la dette et la repentance éternelle. Ce bâtiment qui pourrait s’apparenter à une simple ancienne construction réaménagée pour l’occasion a néanmoins la particularité d’avoir servi de « camp » de transit aux Juifs de la ville et de la région, pendant la seconde guerre mondiale entre les années 1941 et 1945.
Sur le même principe que le Vel D’hiv en France, les autorités allemandes de l’époque, se sont servies de cet ancien marché aux surfaces importantes pour y faire transiter environ 10 000 Juifs, avant leur déportation en train, vers les camps de concentration.
Les sous-sols et la cave de l’aile Est de la Grossmarkthalle avec les graffitis des prisonniers en détresse, ont été conservés et transformés en un mémorial, ou il est possible de faire des visites guidées organisées par le Musée juif de Francfort (Jüdisches Museum).
Rien de scandaleux, diront certains, hommage important à des victimes innocentes diront d’autres… Mais n’en déplaise au politiquement correct, qu’est-ce vient faire ce lieu de mémoire au milieu de cette institution ? Ce choix d’édifier l’un des bâtiments les plus importants de l’Union européenne sur ce site est tout de même étrange. Est-ce un hasard ?
Historiquement, c’est en décembre 2001 que le président de la Banque centrale européenne, Willem F. Duisenberg, le vice-président du Conseil central des Juifs d’Allemagne et le président de la communauté juive de Francfort, M. Salomon Korn, ont convenu que le futur bâtiment de l’institution monétaire européenne devait être édifié sur ce lieu à haute portée symbolique. Drôle de volonté commune…
Puis, c’est au cours de l’année 2004, que M. Salomon Korn, Jean-Claude Trichet, le président de la BCE de l’époque, et Mme Petra Roth, maire de Francfort, ont décidé d’aller plus loin et de faire de ce mémorial un lieu qui ne devait pas seulement rappeler des événements historiques, mais qu’il devait aussi informer, comme l’exige le devoir de mémoire.
Mais alors pourquoi et comment se fait-il qu’un bâtiment comme la Banque centrale européenne (une des institutions politiques les plus importantes de l’Europe) soit construit sur ce bâtiment de mémoire. Quel est l’objectif ? Les motivations ? La symbolique ?
La dette de l’humanité envers le peuple juif
En réalité, derrière cette symbolique victimaire, il y a un projet global qui est celui de la culpabilisation des Européens et de leurs vieilles nations. Cette idéologie transparait encore une fois dans les propos de l’hyperclasse.
L’establishment euro-mondialiste en édifiant leur lieu de pouvoir sur des sites ayant connu la persécution nazie sur les juifs, veut rappeler aux peuples européens qu’ils sont, par essence, des bourreaux et que leur destin politique est lié à ce crime éternel de l’Allemagne nazie sur les juifs européens.
Bien sûr, nos élites eurolâtres ne vous parleront jamais du financement, des compromissions, des aides politiques et diplomatiques de l’establishment anglo-saxon (Wall Street/City) dans la structuration de l’Allemagne nazie.
Le projet que veut nous vendre l’hyperclasse est conditionné par la domination économique, politique, historique et psychologique de l’Europe. Notre continent, et en particulier la France, doit se soumettre intégralement à cette volonté oligarchique.
Il est donc significatif d’avoir choisi ce bâtiment comme base architecturale de l’institution qui organise l’asservissement par la dette des nations européennes et d’en faire un mémorial de la repentance. Dette et culpabilité éternelles se rejoignent donc concrètement dans ce lieu.
Mais ce mouvement profond d’endettement et de culpabilisation mémorielle n’est pas apparu en 2014, avec l’inauguration du nouveau siège de la BCE. Non, c’est un mouvement plus ancien.
Ainsi, depuis les années soixante-dix on a vu émerger et prospérer ce mouvement de culpabilisation des Européens et de l’homme blanc en général. Cette résurgence du statut de victimes pour des populations qui ne sont pourtant pas victime de racisme systémique (en Europe), s’est accélérée ces dernières années.
Et cela même alors que l’Europe politique encourage l’immigration de masse et promeut le métissage généralisé, sur fond de culpabilisation culturelle.
Cet asservissement moral et cette montée du racialisme victimaire trouve son origine dans l’instauration du culte de la Shoah.
Les différentes communautés d’halogènes ne font que singer ce que l’élite communautaire et économique pratique agressivement, depuis plusieurs décennies au sein des peuples occidentaux.
Comme le disait un humoriste franco-camerounais très apprécié, il s’agit là simplement de « faire un petit billet ». Surtout que les élites communautaires trotskystes ont entretenu le sentiment d’ancien colonisé des masses immigrées pour la plupart africaines. Ce complexe composé de mendicité et d’humiliation les maintient pour la plupart, dans une position psychologique d’infériorité.
Le monde d’après, après avoir organisé ce chaos ethnique et économique, n’a qu’un objectif : asservir les nations par la dette et la repentance perpétuelle.
Cette volonté oligarchique trouve une parfaite définition avec les propos de l’ancien président de la République Nicolas Sarkozy, tenus à l’université de Nethanya en 2013 :
« Il y a un monde avant et un monde après la Shoah. Il y a une dette de l’humanité envers le peuple juif ».
Voilà ce que l’establishment veut entendre de la part des nations, et en particulier des Européens (responsables de tous les crimes selon nos élites), mais surtout du crime des crimes, dont la responsabilité est transmissible, par le sang de génération en génération.
Cette conception tribale du monde doit être importée dans cette Europe historiquement universaliste. La Tribu et l’individu doivent maintenant remplacer définitivement la Nation et le bien commun.
L’écrivain économiste et conseiller Jacques Attali réaffirme lui aussi cet argument de dette éternelle dans plusieurs de ces livres et conférences, notamment dans son ouvrage : « Les juifs, le monde et l’argent », où il rejoint parfaitement les déclarations faites par Nicolas Sarkozy.
Le livre d’Attali se résume en quelques mots, simplement en citant l’une de ses interventions télévisées pour présenter son ouvrage. Dans une émission de télévision de France 2 nommée Judaïca (émission religieuse du dimanche matin), Jacques Attali explique en effet que la dette est selon lui la cause première et l’origine prétendue de l’antisémitisme.
Le rabbin présentateur de l’émission, Josy Eisenberg, confirme les propos contenus dans le livre de son invité, en expliquant : « Le monde a une dette envers le peuple juif, or on n’aime pas avoir un créancier. Bien que ce créancier ne réclame rien. » Ce à quoi Jacques Attali répond : « C’est clair. »
Voilà donc l’esprit qui inspire désormais l’idéologie moderne de nos élites et voilà pourquoi l’édifice de notre Banque centrale européenne a pour base un lieu représentant la souffrance juive.
Pour Bernard-Henri Lévy comme pour de nombreux rabbins également, les peuples d’Occident (symbolisés par Édom : Esaü dans le Bible) doivent payer leur part à Israël.
BHL, de son surnom, théorise dans un texte écrit sur son blog (La règle du jeu) la soumission finale de l’Occident (Édom pour les juifs), grâce à cette dette (éternelle ?) qu’il doit à Jacob (Israël).
Car pour le philosophe talmudique, c’est bien par les juifs, que l’Occident a eu le bonheur de découvrir ce nouveau Dieu : l’argent !
Un intellectuel comme Paul Ricœur (mentor de Macron) abonde également dans ce sens en évoquant les notions de dette des nations chrétienne envers Israël dans ses écrits :
« Ils signifient d’abord et avant tout le paiement par l’Europe d’une dette historique à l’égard du peuple juif. »
Mais il existe une multitude de discours de ce genre relayés dans les médias, dans les journaux et sur internet.
La culpabilisation pour nous faire payer l’addition
Notre élite politique a désormais deux obsessions principales : premièrement la culpabilisation des peuples européens et deuxièmement, le paiement de la dette.
Et bien sûr dans la logique de concurrence victimaire, la Shoah reste toujours le « crime des crimes », bien avant l’esclavage ou encore la colonisation.
Les deux derniers servant davantage à agiter la rue, plutôt qu’à exercer un quelconque pouvoir de domination.
Il suffit de voir nos politiques aller se prosterner devant l’autel de cette « nouvelle religion » pour comprendre que la repentance éternelle s’adresse prioritairement à une cause politique.
Car s’il est vrai qu’il y a eu des persécutions ethniques et des drames humains pendant la Seconde Guerre mondiale, leur instrumentalisation politique par une certaine élite communautaire depuis des années, dépasse la simple volonté de recherche de vérités historiques.
Il y a concrètement une élite communautaire qui instrumentalise cette souffrance passée pour accroître et consolider sa domination politique.
Ce même establishment travaille à la fois pour un État étranger, pour la haute finance, mais aussi à la culpabilisation de tout un peuple. Le cas de l’ancien président du Crif : Roger Cuckierman, étant l’un des exemples les plus significatifs de ce système.
Bien sûr, dans cet article nous ne parlerons pas des liens entre les nazis et le projet national juif. Car Israël ne pourrait plus jouer sa carte du génocide des juifs pour nous imposer sa volonté politique.
L’écrivain Pierre Hillard vient d’ailleurs de publier un livre traitant de ce sujet dans sa série d’ouvrages, consacrée au Mondialisme.
Mais pour comprendre cette stratégie de la domination basée sur ce lien entre dette et repentance, il nous faut écouter à nouveau ce que « Jacques a dit ».
En effet, comme l’a parfaitement résumé Attali dans une de ses interventions publiques restée célèbre, l’Euro et le traité de Maastricht ont eu pour mission de générer des crises successives pour entraîner une mutation perpétuelle des nations européennes prises au piège dans ce paradigme de marasme économique continuel.
L’Europe depuis la crise financière de 2008, est en état de crise permanente. Mais déjà l’on a pu constater un changement dans la structuration de l’Eurocratie. L’Europe malgré les apparences, s’est de plus en plus fédéralisée dans cette période de gestion des crises, et les nations se font de plus en plus petites.
La Troïka par exemple, composée du Fonds monétaire international (FMI), de la Banque centrale européenne (BCE), de la Commission européenne (et de l’Eurogroupe, qui réunit les ministres des Finances des pays de la zone euro), est un exemple qui nous permet de constater un basculement explicite dans la gestion des instruments de domination.
Les grandes nations continentales n’ont déjà plus leur mot à dire. Hormis l’Allemagne qui hypocritement, impose sa décision sans en donner l’impression, plus aucune nation ne se démarque fondamentalement par rapport aux autres pays. L’Allemagne est devenue le seul élément moteur de l’ordolibéralisme et de l’euro-globaliste. La France de Sarkozy, Hollande, Macron ne servant que de faire valoir à la puissance germano-atlantiste.
Cette situation est flagrante depuis la crise de l’Euro et l’année 2015, ou on le constate c’est bien la Troïka et les institutions qui la composent qui dictent sans se cacher, aux autorités grecques ce qu’elles doivent faire sur le plan économique et social.
Et la mise en esclavage de la Grèce, est l’avenir immédiat (post Coronavirus) qui concerne l’ensemble des pays de l’Europe du Sud parmi lesquelles se trouvent les 2ème et 3ème économies européennes : la France et l’Italie.
C’est donc sur ce fond de marasme économique et de dette colossale que l’hyperclasse renforce sa domination psychologique, puis politique sur nos nations.
Mais cette domination ne peut être mise en œuvre que dans le cadre du carcan financier de la monnaie unique : l’Euro.
Ainsi, plus nous serons « pauvres » culturellement et économiquement, plus nous serons sous la domination de cette petite caste apatride et cupide.
Et pour nous Français, cette situation de domination étrangère a véritablement commencé à se dévoiler lorsque nous avons adopté la monnaie unique et les normes d’austérité qui allaient avec.
Bien sûr, la culpabilisation du peuple de France a, elle, émergé bien avant, dans les années 80. Mais son éclosion est à mettre parallèle avec l’accélération des processus d’intégration européenne (Acte Unique Européen 1986, Traité de Maastricht 1992, Traité d’Amsterdam 1997).
Plus l’Union européenne s’est renforcée, plus les peuples européens ont été culpabilisés sur leur histoire, et d’ailleurs plus la dette publique s’est accrue.
La fin du XXème siècle aurait dû être le début d’une période où les recherches historiques pouvaient avancés (le temps estompant la douleur) et bien ça a été tout le contraire.
Nos politiques à mesure que la désindustrialisation, les délocalisations, le chômage et la dette augmentaient, ont pris le partie de « sacraliser la mémoire » notamment avec la loi Gayssot du 13 juillet 1990, ou encore le 16 juillet 1995, avec les discours du Vel d’Hiv.
En vérité, comme on l’a constaté avec les déclarations attalienne, ce phénomène de culpabilité-dette n’est pas une coïncidence : bien au contraire !
Mais le véritable problème reste quand même celui de la dette. La sacralisation de la mémoire n’étant que secondaire s’il n’est pas adossé à cette domination par la dette.
Et malheureusement quoiqu’en disent les spécialistes qui constatent les absurdités structurelles de l’Euro et de l’UE, leur mort prochaine n’est pas d’actualité.
La BCE : Bastille du XXIème siècle
Car comme on l’a indiqué, Jacques Attali explique dans sa conférence sur la création de l’Euro et plus globalement sur les Traités européens, que ces carcans politiques sont là pour transformer nos sociétés en allant de crise en crise, jusqu’à la convulsion mortelle de nos nations.
Il est clair que logiquement, l’Euro de son côté, aurait déjà dû mourir en 2008, même un économiste diabolique, mais compétent comme Milton Friedman l’avait prédit.
Mais force est de constater que douze années après le drame des Subprimes, la monnaie unique européenne existe bel et bien toujours.
Les dissidents politiques, les voix du peuple, parlent depuis douze années de révolution, de changement politico-économique, mais tant que la monnaie unique, instrument de domination oligarchique est toujours présente, les peuples continentaux auront beau se débattre, le boulet au bout de leurs chaînes, les entraînera toujours vers le fond.
Pourtant l’Euro n’en finit pas de détruire les richesses des pays latins, mais hormis les Gilets jaunes en France et le peuple grec avant son asservissement définitif, nous n’avons constaté aucun mouvement véritable de révolte de la part de l’Europe du Sud.
Le Brexit des Britanniques (avec la City en son sein) ne peut être identifié comme un mouvement de libération populaire. Les Anglais en plus de n’avoir jamais adopté l’Euro, restent un peuple en position de soumission totale face à l’oligarchie cosmopolite qui les gouverne.
Pourtant nous devons impérativement réagir avant qu’il ne soit trop tard. Car avec la crise du Coronavirus, l’Eurocratie par l’intermédiaire de la Troïka, va nous imposer brutalement les chaînes de l’austérité.
Cette crise sanitaire, loin d’ébranler, les vieilles institutions les a renforcés. Certes leur légitimité est négative comme les taux d’intérêt de la banque centrale, mais plus le temps passe, plus nous nous enfonçons dans un marasme économique sans même pouvoir utiliser l’outil (monétaire) qui nous éviterait de nous noyer et nous permettrait de surnager, face à cette grande vague destructrice (phase de désindustrialisation finale, délocalisations, chômage de masse…).
Il nous faut désormais passer à la phase II de la rébellion et casser les chaînes de l’asservissement financier, avant que le pouvoir politique nous impose une guerre civile raciale latente, qui empêchera tout mouvement de révolte vers le haut.
Il nous faut donc nous attaquer à l’ennemi qui a le véritable pouvoir, c’est-à-dire le pouvoir monétaire.
Actuellement c’est l’article 123 du TFUE (Traité de Lisbonne), reprenant lui-même l’article 104 du Traité de Maastricht et l’article 25 de la loi du 3 janvier 1973, qui confère à la BCE (cœur de l’UE) la puissance financière donc politique dans cette ère où les marchés financiers sont « tout puissants ».
Ce fameux article qui interdit à la Banque (centrale) de faire crédit directement à l’État. Il nous faut donc l’abolir, car il nous contraint à emprunter de l’argent, fabriqué ex nihilo (à partir de rien) auprès des marchés financiers (banques privées).
Il faut détruire ce principe de mise en esclavage monétaire des nations par une mesure de retour à la souveraineté monétaire.
L’Euro et l’Union européenne ont amené à la désintégration lente de notre pays. Face à cet abandon du pouvoir politique face aux intérêts d’argent, il est temps pour nous de reprendre notre liberté, et de sortir de nos chaînes européennes.
Nous devons tout d’abord, sortir de la tutelle de Francfort (BCE) puis Bruxelles (Commission).
Mais comment le faire quand le pouvoir censé représenter les Français s’appelle Emmanuel Macron ancien associé-gérant chez Rothschild ?
Il nous faut tout simplement aller là où le pouvoir est. C’est-à-dire à Francfort !
Car avant de parler de reprise en main politique, il nous faut gagner la bataille de l’image et poser la vraie question.
En 1789, le 14 juillet, l’histoire officielle nous a inculqué ce mythe de la prise de la prison royale de la Bastille (symbole supposé de l’arbitraire royale).
Ainsi, la minorité qui a fait la Révolution française avait, elle, compris le poids des symboles. À nous français à l’époque de l’internet et des réseaux sociaux, de faire de même, en s’en prenant à ce symbole de la cupidité oligarchique. Nous aurons derrière nous, l’ensemble des peuples latins.
D’ailleurs, cela sera rendu possible grâce à Schengen (symbole de l’UE) et aux principes de libre circulation. Nous pourrions enfin exporter des produits français vers l’Allemagne…
Les Gilets jaunes doivent donc prendre la Banque centrale européenne de Francfort !
Pour information, la ville fondée par les Carolingiens se trouve à moins de 6 h de voiture de Paris (570 km environ) en passant soit par l’Alsace ou par le Luxembourg…
La prise doit se faire d’abord, pour le symbole, mais aussi pour rappeler à toute cette technocratie européenne qu’elle a la responsabilité financière des peuples européens entre ses mains.
Nous devons leur faire comprendre que la soumission et la compromission avec les marchés financiers sont terminées !
Ainsi, nous pourrons enfin déclarer la fin de l’austérité promue par l’Union européenne et de la toute-puissance des marchés financiers sur le territoire national.
Cette forteresse qui organise l’esclavage pour dette, de millions d’Européens doit tomber.
La Déclaration de Francfort
Il y a plus de deux siècles à Francfort, le 1er décembre 1813 quelques semaines après la défaite de Napoléon à la bataille de Leipzig, la coalition des puissances alliées contre la France Napoléonienne avait fait une déclaration commune dans cette ville.
Les Alliés (sous la coupe de la puissance financière britannique) y affirmèrent leur volonté de combattre au nom de la paix, Napoléon, mais plus la France.
Ainsi, déjà « l’Europe » anglo-saxonne avait décidé d’anéantir la puissance française avec comme prétexte le bien-être de l’Europe.
Ensuite, nous connaissons tous l’histoire, Napoléon battu, la France passera sous la domination totale des puissances étrangères (qu’elles soient financières ou nationales).
D’ailleurs, c’est tout proche d’une autre « capitale de l’Europe » que l’Empereur des Français va soulever le glaive de la gloire une dernière fois. En effet, c’est à environ à 20 km au sud de Bruxelles que la France va voir son destin lui échapper.
Brooks Adams, historien critique du capitalisme et petit-fils du deuxième président des États-Unis, dira à propos de cette bataille :
« Après Waterloo, aucune puissance n’a pu contrebalancer celle des usuriers. »
Et si l’histoire, deux siècles après, se répétait à l’envers ? Et si les Gilets jaunes, cette foule de grognards bigarrés était l’essence même du peuple français ?
Ce peuple à la recherche de sa gloire passée qui refuse de se soumettre au projet mondialiste ? Et si ce peuple sans général, sans empereur, sans roi, parvenait à chasser la horde des usuriers transnationaux qui essayent de l’esclavagiser ?
À la vue de la révolte populaire de fin 2018, début 2019 le pouvoir Macronien (qui n’est qu’une façade oligarchique, au mieux un mauvais service communication) a réellement vacillé.
Le temps est peut-être venu de faire trembler le vrai pouvoir. Celui qui a notre destin et notre liberté entre ses mains !
Rassurez-vous, il ne nous suffira que de quelques dizaines, centaines de révoltés motivés, pour gagner cette bataille de l’image et montrer à ceux qui nous dirigent que le concret finit toujours par revenir et triompher.
Il est donc temps de mettre fin à la tranquillité des usuriers.
Au final ce mouvement actuel de stratégie de la tension raciale manipulée, vise à dissoudre la révolte conduite par les Gilets jaunes. Il va nous falloir réagir vite et fort pour ne pas basculer dans la division et l’inaction.
Et pour ceux qui auraient tendance à se faire duper facilement : n’oubliez pas que le véritable esclavage se fait par la dette. Et ça l’Oligarchie, en voulant faire toujours plus payer aux peuples européens les crimes des générations passées, le sait…
Enfin pour conclure cet article, il nous suffit de prononcer le nom de la puissance occulte qui se trouve derrière (sponsorise) la militante Assa Traore (relai malgré elle du mouvement BlackLiveMatter) : Rothschild…
Note : Pour aller plus loin, il ne faudra pas oublier de s’occuper également de l’OTAN
source : https://www.geopolitique-profonde.com
Source: Lire l'article complet de Réseau International