C’est la question que nous posons aux autorités sionistes et gouvernementales (par ordre d’importance) après avoir vu ce sketch des Guignols de l’info datant de 2014 et diffusé à l’époque sur une chaîne payante que plus personne ne regarde.
Cela fait 30 ans que la chaîne cryptée socialo-sioniste (lancée en 1984, l’année de SOS Racisme, et pas par hasard) fait de l’antilepénisme primaire, mais là, les médiocres auteurs ont décidé d’inclure Dieudonné dans leur haine globale. C’est mauvais comme du Charlie, ça ne prend plus, les commentaires en sont la preuve.
Certes, la chose date de 2014, mais elle vient d’être mise en ligne sur la chaîne Youtube des Guignols, ce qui lui donne une actualité très certaine et fournit l’opportunité d’une piqûre de rappel de l’esprit Canal – le socialo-sionisme pour les branchés. On devrait d’ailleurs ajouter ce rappel aux 11 vaccins de la Buzyn, en attendant le Bill Gates annuel qui va shooter sept milliards de nos prochains pour en faire des malades jusqu’à la mort.
Rétroactivement, donc, chère madame Avia, est-il possible de condamner la haine qui ruisselle de ce sketch antifrançais, anti-Dieudonné, antinational ?
On précise rétroactivement, mais la question se pose vraiment puisque la mise en ligne date du 15 mai 2020 ! Pour être encore plus précis, il s’agit encore de justice-fiction puisque la loi Avia n’a pas été promulguée et qu’il existe une saisine du Conseil constitutionnel en cours.
Ceci étant précisé, rappelons qu’en ce début 2014, la France est sous attaque : non pas terroriste, mais humoristique. En janvier, l’humoriste Dieudonné, le meilleur que la France ait connu, a été interdit de spectacle du côté de Nantes par le Premier ministre en personne et surtout le lobby sioniste, qui se cachera derrière le Conseil d’État, le tout sous prétexte de « risques graves de trouble à l’ordre public », alors que ce sont justement les autorités du pouvoir visible et du pouvoir profond qui créeront ce trouble de toutes pièces.
Voici ce qu’en dit le site de la Revue générale du droit :
« Nonobstant la clarté de la jurisprudence administrative en matière d’interdiction de spectacles en général, et la répétition des déconvenues des présidents de conseil généraux et maires ayant tenté d’interdire les spectacles de Dieudonné en particulier, le ministre de l’Intérieur, par une circulaire du 6 janvier 2014, tentait donc de définir le cadre juridique de possibles interdictions du dernier spectacle de Dieudonné intitulé“ Le Mur” (Ministre de l’Intérieur, Circulaire du 6 janvier 2014, NOR:INTK1400238C).
Après avoir rappelé le contexte de la représentation du spectacle “Le Mur” et les propos jugés racistes et antisémites qu’il véhicule de manière réitérée, le ministre de l’Intérieur place son analyse sous les auspices de deux jurisprudences fort connues.
En premier lieu, évoquant le célèbre arrêt Benjamin (Conseil d’État, Section, 19 mai 1933, Benjamin, requêtes numéros 17413 et 17520, rec. p.541), le ministre de l’Intérieur rappelle qu’une manifestation peut être interdite lorsque d’une part il existe des risques graves de troubles à l’ordre public, et d’autre part il est impossible de prévenir ces troubles par des mesures de police moins attentatoires à la liberté.
Conscient cependant que le seul risque d’atteinte à l’ordre public dans sa définition traditionnelle (tranquillité, salubrité, sécurité) ne suffit pas, le Ministre tente une synthèse assez originale, en intégrant les considérations de protection de la dignité humaine.
Pour le Ministre, et c’est le second point de son raisonnement, un spectacle peut être interdit à titre tout-à-fait exceptionnel lorsque trois conditions sont réunies : 1. l’interdiction s’inscrit dans la suite de spectacles ayant donné lieu à des infractions pénales ; 2. ces infractions ne sont pas des “dérapages” (sic) isolés, mais sont délibérées ; 3. les propos sont susceptibles de porter atteinte au respect dû à la dignité de la personne humaine.
Sur le dernier point, il est fait référence à la célèbre jurisprudence Morsang-sur-Orge (Conseil d’Etat, Assemblée, 27 octobre 1995, Commune de Morsang-sur-Orge, requête numéro 136727, publié au recueil). »
Les juifs sont-ils des nains ?
Pour info, la jurisprudence de Morsang-sur-Orge, c’est l’affaire du lancer de nains ! Le parallèle jurisprudentiel est osé, mais fécond.
On le voit, le droit a été écartelé de tous côtés par l’exécutif pour essayer de condamner l’humoriste au silence, jusqu’au grotesque et jusqu’à la torsion du droit… au bénéfice du droit du plus fort.
Sautons de janvier 2014 à mai 2020, revenons dans le présent. Aujourd’hui, les choses ne se sont pas améliorées d’un point de vue liberté d’expression : Dieudonné se fait réquisitionner son bus (bientôt il se fera réquisitionner en personne), le lobby, regardé de traviole par un nombre grandissant de Français, est surhystérique et réclame de la prison tous azimuts, c’est-à-dire pour tous ceux qui ne pensent pas sioniste, tout ça pendant que le pouvoir réussissait à juguler la contestation sociale avec une grippe saisonnière et des chiffres de mortalité trafiqués.
Bref, la France est entrée dans une autre dimension. On sent qu’on approche d’un dénouement, mais on ne sait pas encore trop lequel…
Où va notre argent, merde…
Pour ce qui concerne le sketch anti-Marine et anti-Dieudonné, nous avons en réalité peu d’espoir qu’il soit interdit par la mordeuse de tacot et ses marionnettistes, qui se planquent, aux USA comme ici, derrière les minorités opprimées pour effectuer leur sale besogne liberticide.
On aurait dû écrire la cannibale ou la mangeuse de taxi mais ça aurait pu être mal perçu et Rudy-la-censure, le plouc du CRIF qui vit sur le dos de la Bête (immonde, rappelons-le), aurait sauté sur l’occasion pour pondre un article indispensable sur la méchanceté des goyim et la gentillesse des sionistes.
Finalement, pour que l’humour, le vrai, vive, il faut le pratiquer, quoi qu’il en coûte. N’est-ce pas, la Zynbu et la Zébu ?
Notre avis : au lieu d’enfoncer Dieudonné sur ordre de Manuel CRIF, les faux humoristes et lâches auteurs de Canal+ auraient dû se prosterner devant lui, pour son courage et son talent. On va récupérer leurs noms et leur poser la question directement, ce sera plus démocratique. Et ils auront ici leur droit de réponse. Mais qu’ils ne tremblent pas, nous ne leur ferons aucun mal.
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation