Les Russes savent déjà ce que ce NOM (un orientalo-bolchevisme) signifie.
Il y a une autre raison. Au début, Poutine se moquait du confinement.
Peut-être la peur d’une menace (virus très dangereux, gaz invisibles, explosion tchercnobylienne ou d’usine ? ) L’ennemi a fait des tests préalables en 2019, ici en France, là-bas en Russie.
Il urge de l’empêcher de nuire, cet ennemi acharné. Se faire virusser, gazer, exploser ses usines, tuer ses vieux avant de faire tuer ses jeunes, aucun pays n’en a besoin. La menace perpétuelle, le pistolet sur la tempe, la corruption même pas rampante : éclatante, ras le bol.
Il est temps de changer mondialement de mode de gouvernement mondial. Revenir à une bonne foi entre États, à des rapports polis, désirer le bien des populations gouvernées par leurs gouvernements respectifs ; limiter la casse au choc des intérêts contradictoires, tenir sa parole.
Le complot partout, la gouvernance de vampiriques qui en sont venus à interdire le soleil, la forêt et la mer comme médicaments et sources de vie, à clamer qu’ils veulent « réduire la population mondiale », assez.
Inversons le lockdown : Bill Gates derrière les gates de la prison. Et les peuples de la Terre, libérés et chacun maître de son propre territoire.
Il y a un espoir, heureusement.
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