Il fallait agir vite et fort : le gouvernement Attal relève le défi puisqu’à peine deux semaines après la nomination de ses ministres, le voilà déjà dur à la tâche, relevant de nouveaux défis et se lançant dans une série de mesures qu’on n’espérait plus.
Et ce n’est rien moins que le nouveau premier ministre qui se lance ainsi dans les actions d’éclat les plus marquantes : comme il était précédemment l’irremplaçable ministre de l’Éducation nationale, il était finalement logique que ce soit par l’école républicaine qu’il commence ses premières actions décisives. C’est donc tout naturellement qu’il a lancé quelques nouvelles pistes fondamentales pour tous les élèves de France.
On se rappelle que, depuis quelques jours, sont déjà mis en place des cours d’empathie dans les écoles maternelles et élémentaires, cours qui viendront s’ajouter aux quelques nouveautés qu’introduisent tous les ministres chaque année qui passe et qui permettent aux élèves de progressivement sortir du carcan passéiste et conservateur de l’apprentissage de la lecture, de l’écriture et du calcul.
Petit-à-petit, l’école républicaine s’ouvre vers toute une gamme de leçons et d’apprentissages habilement conçus pour transformer efficacement les petits humains qui lui sont confiés en véritable pâte-à-modeler citoyenne, inclusive et républicaine dont des capacités trop développées en autonomie intellectuelle constitueraient, on en est maintenant certain, un handicap pour la société que nos braves dirigeants veulent nous construire.
C’est donc sans surprise que ces cours d’empathie s’ajoutent aux cours de civisme dont le premier ministre entend doubler les volumes horaires : pas de doute, l’élève français sortira blindé émotionnellement et civiquement ce qui lui permettra, on en est sûr, de faire efficacement barrage aux extrêmes et de briller par son inclusivité évidemment Gaïa-compatible.
Bien évidemment, le Premier ministre, sur sa lancée, ne pouvait s’arrêter là.
Devant les derniers résultats des enquêtes PISA, désastreux, tous les parents un minimum soucieux de l’avenir de leurs enfants sont maintenant conscients des efforts drastiques et et indispensables qu’il va falloir faire pour faire revenir la discipline au sein des établissements scolaires, et insuffler une véritable révolution éducationnelle pour revenir aux fondamentaux d’une maîtrise solide de la lecture, de l’écriture et du calcul de bases.
C’est sans doute pour cela qu’Attal a clairement exprimé son désir de modifier une nouvelle fois les programmes de la rentrée pour y insérer… du sexe, ou disons “des séances d’éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle” dans le but, nous dit-il, de faire comprendre l’intégrité corporelle aux enfants.
Vraiment, il faut un talent certain pour arriver ainsi à mettre en avant ce genre de projets (séances d’éducation à la vie affective et sexuelle, cours d’empathie, cours de civisme) alors que, de façon de plus en plus évidente, tous les diagnostics sur l’éducation en France convergent vers un nombre trop important de matières diverses et variées en surcroît des matières fondamentales, des bases mal maîtrisées, un absentéisme croissant du corps enseignant, des problèmes croissants de discipline à tous les niveaux et une fuite marquée des élèves vers le privé qui lutte pour conserver le niveau…
Cette véritable fuite en avant vers l’accessoire, la fanfreluche et le sociétal niais en lieu et place de réformes majeures dans le sens souhaité par tous (parents, enseignants et élèves) en dit long sur ce qui se passe dans la petite tête d’Attal.
Cependant, le Premier Ministre n’est pas seul dans ce genre d’exploits et il n’est pas non plus le seul à déployer des talents insoupçonnés pour taper consciencieusement à côté de la plaque. Certains de ses ministres sont déjà dans la course et n’ont pas hésité à lancer quelques pistes de réflexion sur de nouvelles absurdités, d’autant plus qu’ils savent que personne en face n’ira copieusement leur tarter le museau, pourtant seul réflexe salutaire lorsqu’on voit leurs propositions.
C’est ainsi le cas de Christophe Béchu, hypocrite socialoïde vibrant d’incompétence dont nous avions déjà pu mesurer la fourberie détendue du prout carboné, dans un précédent billet où nous découvrions que le ministre de la Transition écologique exhortait les citoyens à limiter leur empreinte carbone tout en multipliant de son côté les vols – aériens – (six en quatre mois, rien de moins) pour des déplacements en province pour lesquels il aurait dû employer le train pour une fraction du coût et de la facture carbone (ici équivalente aux émissions totales d’un Français moyen pendant près de trois ans).
Cette fois-ci, l’incohérent de la Transition et des Territoires s’exprimait sur l’une des radios d’État et, à la faveur d’une question d’un petits Gaïatollah qui l’interrogeait sur une modulation des impôts via l’empreinte carbone individuelle, répond adorer l’idée qu’on puisse ainsi réduire ou augmenter l’impôt des Français en fonction de leur empreinte carbone.
Cependant, derrière les frétillements d’aise difficilement réprimés du ministre, on comprend que pour arriver à la mise en place d’une telle modulation, il faudra pouvoir mesurer (et donc surveiller) très précisément chaque Français dans absolument tous les aspects de sa vie, de ses consommations, de ses occupations, tout le temps. C’est, par définition même, un projet totalitaire (dans le sens premier du terme) où l’État s’occuperait absolument de tous les aspects de la vie de tous, avec assez littéralement, un droit de vie ou de mort sur chaque citoyen, au bon vouloir des dirigeants (aux rangs desquels Béchu se verrait bien frétiller joyeusement).
Il faut, véritablement, un talent assez développé pour pousser ainsi une abomination de ce calibre et la trouver géniale, et ce alors que les tensions sociales n’ont probablement jamais été aussi fortes et que l’agenda écologiste délirant commence à devenir proprement insupportable pour un peuple déjà copieusement arrosé de taxes et d’impôts. Pour un peu, on se dirait que Béchu se paye la tête des Français.
Oui, qu’on évoque Attal et ses séances d’éducation sexuelle pour les gamins, les cours d’empathie pour apaiser des établissements de plus en plus violents, ou Chéru, sa facture carbone et ses idées totalitaires, décidément, nos ministres ont un talent fou. Celui de se foutre de notre gueule.
Source
Source : L’Echelle de Jacob
— PÉTITION —
À l’attention de monsieur Gabriel Attal, ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse
NON À L’IDÉOLOGIE DU GENRE
qui fait croire aux enfants…
qu’ils peuvent changer de sexe
d’un coup de baguette magique !
L’idéologie du genre
n’a pas sa place à l’école !
Monsieur le Ministre,
La circulaire MENE2128373C de Jean-Michel Blanquer sur la transidentité est factuellement un mensonge.
Vous devez retirer immédiatement la circulaire :
- La transidentité n’est pas un fait
- La transidentité est une idéologie militante transhumaniste
- La transidentité est une illusion dangereuse
L’être humain peut changer son apparence de genre… Mais il ne peut pas changer de sexe.
La médecine peut modifier l’apparence d’une personne… Mais pas le regard qu’elle porte sur elle-même.
Chez les enfants, le changement de genre est risqué.
En bloquant la puberté, il crée des dommages graves et irréversibles.
Par contre, il ne résout pas leur mal-être existentiel.
Les pays qui ont pratiqué ces expériences sur des enfants font marche arrière face aux vies brisées. La France va-t-elle assumer la responsabilité de créer des femmes à barbe stériles, volontairement mutilées ?
Il est désormais scientifiquement reconnu que la transition pédiatrique, c’est-à-dire le changement de genre chez les enfants, est une pratique expérimentale. Nos enfants ne sont pas des cobayes !
Cette circulaire impose l’idéologie militante et politique « d’affirmation du genre choisi » à tous les élèves et aux professeurs. Or cette idéologie n’a aucun fondement scientifique et s’avère dangereuse pour nos enfants. Elle n’a donc pas sa place à l’École :
- L’École n’a pas pour rôle de diffuser des idéologies et des croyances, mais de transmettre des savoirs.
- L’École n’a pas pour rôle de déconstruire les enfants et de mettre en péril leur avenir, mais de les aider à grandir.
Pour ces raisons, je vous demande de retirer immédiatement cette circulaire du 29 septembre 2021 (numéro MENE2128373C).
Vous devez faire cesser la diffusion dans l’École de la République, de l’idéologie militante et politique qui affirme que le genre n’est qu’un ressenti, auquel le corps et le sexe doivent se conformer par la médecine et la chirurgie.
Cette idéologie est en contradiction avec les savoirs enseignés en biologie de la reproduction et va à l’encontre de l’intérêt supérieur de l’enfant.
Respectueusement,
Exposé
des motifs
Une théorie militante déterminée à convertir
un maximum de jeunes
L’idéologie « transaffirmative du genre » croit :
1.
que le sexe de naissance est une assignation arbitraire de la nature, sans réalité biologique.
2.
que le genre, féminin ou masculin, est une assignation de la société.
L’idéologie transaffirmative revendique le droit de chaque personne, et ce, quel que soit son âge, d’autodéterminer elle-même son sexe et son genre, sur la base de son ressenti.
Ce qu’un enfant chamboulé pendant la puberté peut ressentir n’aurait même pas à être questionné sous peine d’être poursuivi en justice.
L’idéologie transaffirmative n’a aucun fondement scientifique.
Le corps d’un humain se développe différemment sous l’influence des hormones sécrétées selon son sexe biologique.
Une idéologie dangereuse
pour nos enfants
Depuis une vingtaine d’années, l’idéologie politique transaffirmative a ciblé en priorité les jeunes. Les militants poussent à une transition rapide de changement de genre, avec des conséquences graves et définitives.
L’idéologie transaffirmative, sous couvert de lutter contre la transphobie et l’homophobie, refuse tout recours à un psychologue… et même le principe de poser un diagnostic pour s’assurer que le choix de l’enfant est éclairé.
Très active sur les réseaux sociaux, « l’euphorie transgenre » se propage à grande vitesse. Elle a déjà fait des ravages dans de nombreux pays « précurseurs » tels que la Suède, la Norvège, les Pays-Bas, l’Angleterre, les États-Unis…
Tous ces pays font désormais marche arrière, face à une flambée du nombre de cas chez les jeunes filles… qui annonce déjà un scandale sanitaire !
Les médecins reconnaissent ne pas maîtriser les effets combinés des traitements de bloqueurs de puberté et des hormones transsexuelles, ni leurs conséquences à long terme sur les enfants devenus adultes.
La France est-elle sourde et aveugle
aux malheurs du monde ?
Les études scientifiques démontrent les risques de la transition, en particulier chez les plus jeunes. Pourquoi appuyer sur l’accélérateur maintenant et foncer droit dans le mur ? Ne sacrifions pas nos enfants !
L’idéologie d’affirmation du genre fait croire aux jeunes qu’ils seront plus heureux s’ils changent de sexe.
En réalité, une majorité des enfants engagés sur le chemin de la transition de genre souffrent d’un mal-être plus profond. Ils croient avoir trouvé la solution, mais se mentent à eux-mêmes, comme on cache la poussière sous le tapis.
Sauf que le vrai problème n’est pas réglé et que les conséquences physiologiques et psychologiques de la transition sont désastreuses. Et irréversibles.
Gavés de médicaments et d’hormones toute leur vie, leur corps mutilé, ils deviendront des adultes sous traitement, amputés de leur fertilité, incapables de connaître une sexualité normale.
NON, l’idéologie transaffirmative ne sert pas l’intérêt supérieur de l’enfant !
OUI, vous devez retirer cette circulaire immédiatement !
Démêlez
Le VRAI du FAUX
Pour distinguer ce qui relève de l’idéologie et ce qui appartient aux savoirs, consultez les ressources produites par SOS Éducation en lien avec des experts :
[CONFÉRENCE] Pourquoi la circulaire transgenres de Jean-Michel Blanquer représente un danger : principes généraux, aspects médicaux et éthiques, approche juridique.
Source : SOS Education
Lire également : Ils vont vraiment tuer SOS Éducation !
Objet : URGENT – programme « Éducation à la sexualité »
Source: Lire l'article complet de Profession Gendarme