L’abcès est crevé. Le sujet est sur toutes les lèvres: la surimmigration est devenue le problème numéro 1 au Québec et au Canada. Tous les médias en parlent, même ceux qui étaient le plus pro-immigration massive, même au Canada anglais pour qui c’était tabou. La prise de conscience salutaire est en train de se faire à tous les niveaux.
Le gouvernement Legault vient de déclarer que le système avait atteint le point de rupture. Nous sommes déjà 470 millions de dollars dans le trou, gaspillés pour des étrangers profiteurs illégaux qui veulent se faire prendre en charge à vie par l’État. Gestion administrative des cas, hébergement, pillage des banques alimentaires, soins de santé, école gratuite. Ils se font tout payer et surchargent le système déjà lourdement affaibli.
Voyez ici tous les coûts dans le détail : https://www.tvanouvelles.ca/2024/01/18/immigration-nous-sommes-tout-pres-du-point-de-rupture-affirme-francois-legault
Examinons quelques aspects de la situation.
1- La crise du logement est due à la surimmigration
Dès janvier 2023, la crise du logement était déjà bien amorcée. Ce qu’on disait alors: L’APCHQ évalue qu’il manque 100 000 logements au Québec et les taux d’inoccupation publiés par la SCHL tendent à lui donner raison. Un taux d’environ 3% de logements libres est généralement accepté comme représentant un sain équilibre entre l’offre et la demande. Or, ce taux, qui était de 2,5% à l’échelle du Québec en 2021 a chuté à 1,7% l’an dernier. Dans plusieurs régions, il est sous la barre de 1% et atteint même 0% dans certaines villes comme Gaspé et Roberval où il n’y a aucun logement disponible.
Le taux d’inoccupation, en fait, a chuté sous le seuil d’équilibre partout. À Montréal, il se situait à 2%, à Québec à 1,5% et il était sous la barre du 1% dans les régions métropolitaines de Gatineau, Sherbrooke, Saguenay et Trois-Rivières.
Tous ces chiffres datent de plus d’un an. Les médias rapportent que la situation actuelle est bien pire encore.
2- La seule solution pratique: le renvoi du surplus d’immigrants
Prenons les catégories les plus populeuses qui entrent massivement au Québec.100 000 logements manquants qui seraient occupés par des immigrants africains, haïtiens et maghrébins (2 parents + de 3 à 10 enfants = moyenne de 5 occupants par logement). Cela donne 500 000 immigrants actuellement en trop au Québec qu’il faut renvoyer chez eux pour rééquilibrer l’accès au logement dont ont besoin les Québécois.
En effet, la seule solution pratique est de renvoyer chez eux le surplus d’immigrants qui engorgent le monde du logement au détriment des Québécois qui en font les frais.
On choisira en priorité les chômeurs, les criminels à dossiers judiciaires, ceux qui ont échoué l’examen de francisation, les migrants illégaux analphabètes et sans instruction. Ensuite, on partira de la liste des plus récents en remontant jusqu’à 500 000 en arrière. C’est la seule façon de rééquilibrer le taux établi de 3% de logements libres requis.
Autrement, si on s’entête obstinément à les garder tous, ce sont les Québécois qui suffoqueront la tête sous l’eau durant des années et des années à venir à cause d’eux. Ce qui serait tout à fait inacceptable.
3- Révision des cibles d’accueil d’immigrants nécessaire
La situation critique actuelle fait que le Québec ne pourra accueillir aucun immigrant de plus tant que le nombre de logement requis pour les installer ne sera pas atteint.
C’est pourquoi les quotas d’accueil des immigrants doivent être ramenés à zéro pour au moins les 5 prochaines années. Plus de 40, 50 ou 60 000 nouveaux arrivants par année au Québec. Zéro.
La capacité d’accueil ayant déjà été largement dépassée au point de provoquer une crise majeure, cela explique la nécessité de fermer les vannes de l’immigration et de retourner les surnuméraires chez eux.
4- Conséquences néfastes de la surimmigration provoquant la crise du logement
Ce sont les Québécois ordinaires qui paient le prix de la surimmigration débridée qui les empêche de se loger à prix raisonnable et qui entraîne comme conséquences négatives :
- Pénurie de logements
- Pénurie de logements abordables et convenables
- Escalade démesurée du prix des loyers
- Bulle immobilière
- Obligation de s’éloigner de son quartier et des services de proximité
- Augmentation des déplacements, de la distance logis/travail, etc.
- Augmentation du voisinage problématique
- Augmentation de l’insécurité dans chaque immeuble
- Exode forcé des Québécois francophones hors de la ville de Montréal fortement anglicisée et multiethnicisée où ils ne se sentent plus chez eux
- Accès restreint à la propriété
- Augmentation des sans-logis
Aux nouvelles, une responsable disait que la moitié des chambres du Chaînon sont accaparées par des étrangers en situation d’irrégularité. Ce n’est pas normal, c’est même mal. Ces endroits ne doivent servir qu’à nos propres démunis, pas aux miséreux du tiers-monde dont nous ne sommes pas responsables.
Et c’est sans parler des quartiers où les classes d’école deviennent surchargées, les hôpitaux qui débordent, le problème de l’étalement urbain dû à la surconstruction parfois sauvage due à des promoteurs louches, l’approvisionnement en eau potable des nouveaux quartiers, l’installation d’égouts, la construction des rues et des ponts pour accéder à ces secteurs, la pose des poteaux d’Hydro-Québec, la liste des travaux majeurs à effectuer est sans fin. Il y en a pour des dizaines d’années de chantiers avant qu’on puisse commencer à accueillir et loger de nouveaux immigrants.
Rien ne peut justifier une telle situation précarisant notre population en raison d’un surplus d’étrangers qui n’auraient pas dus être admis ici en premier lieu, faute de place pour les établir. Il y a eu un manque de planification flagrant à tous les niveaux de gouvernement. Il faut corriger le tir.
5- Chute de la construction de 32% au Québec en 2023
La construction au Québec a chuté de 32% en 2023. Ce n’est pas demain que les 100 000 logis nécessaires seront sur pied.
La situation n’est guère plus réjouissante pour la grande région de Montréal, où l’on a enregistré 15 200 mises en chantier en 2023, une baisse de 37% ou de 8 900 chantiers par rapport à 2022.
Pire encore : On observe par ailleurs une plus forte chute des mises en chantier en banlieue de Montréal (-45%), et -40% pour la ville de Québec
On ne peut faire apparaître comme par magie des quartiers, des villes entières en un claquement de doigts. À ce rythme, cela prendra 5 ans, 10 ans, 15 ans, avant que le Québec ait bâti ces 100 000 logements et puisse recommencer à accueillir des immigrants sélectionnés au compte-goutte répondant à des critères stricts.
– Il faudra s’assurer de mécanismes de protection pour faire en sorte que les maisons et logements neufs soient offerts en priorité aux Québécois et non aux immigrants étrangers.
– On pourrait exiger des immigrants étrangers une surtaxe de 20% sur le prix du loyer qu’ils paieront, et qui servirait à financer directement les logements sociaux réservés exclusivement aux Québécois démunis.
Le gouvernement doit mettre ses culottes et procéder sans tarder au renvoi des 500 000 derniers immigrants reçus, pour rétablir un semblant d’ordre social et offrir une marge de manoeuvre raisonnable aux citoyens respectant la règle du point d’équilibre qui se situe au taux de 3% de logements libres.
Conséquemment, l’immigration déferlante sera stoppée tant qu’il n’y aura pas suffisamment de logements bâtis pour les loger.
6- 700 000 logements manquent actuellement au Canada
M. Stéfane Marion, économiste en chef de la Financière Banque Nationale, met en lumière le déséquilibre, au Canada, entre la croissance démographique et la disponibilité des logements. Il affirme que 700 000 logements manquent actuellement. Il dit qu’il faut agir rapidement.
À écouter ici (9 minutes): La Banque nationale
7- Impossibilité de construire le nombre requis de logements avant des années
Baisse importante des mises en chantier au pays : Entrevue avec M. Paul Cardinal. Il confirme sans détour l’impossibilité concrète de construire le nombre requis de logements avant bien des années. C’est irréaliste et de mauvaise foi de croire que c’est possible, ou de promettre quoi que ce soit.
À écouter ici (7 minutes): Baisse des mises en chantier
Pour qu’un marché immobilier soit sain, les experts considèrent qu’un taux d’inoccupation de 3 % est idéal. Ayant maintenant descendu à 1 %, Montréal affiche une pénurie relative qui pénalise les locataires.
8- Justin Trudeau et Pierre Poilièvre admettent le même jour que la crise du logement est due à la surimmigration
Même les élus les plus immigrationnistes ne peuvent plus nier le marasme actuel provoqué par la surimmigration.
Les 2 chefs de parti canadiens ont tous 2 émis de sérieuses réserves face à l’immigration déstabilisatrice.
Le revirement subit de Justin Trudeau est inouï, lui qui rêve de faire monter la population du Canada à 100 millions d’étrangers dans le temps de le dire. Il a déclaré qu’il fallait exercer un meilleur contrôle sur les entrées.
Pour sa part, Pierre Poilièvre a précisé sa position sur le seuil d’immigration au Canada. Trudeau n’a pas le choix de reculer sur l’immigration
Justin Trudeau estime qu’il faut «remettre sous contrôle» l’immigration
Pierre Poilievre a précisé sa position sur le seuil d’immigration au Canada
Tous les pays occidentaux en ont assez de cette immigration échevelée qui nous désincarne et nous appauvrit.
La seule solution à la crise du logement criante qui pénalise tous les Québécois est de renvoyer le surplus d’immigrants qui nuisent actuellement à l’équilibre du marché.
9- Conclusions
- La pénurie du logement et la crise sociale conséquente sont attribuables à la surimmigration. On n’a pas tenu compte des limites de la capacité d’accueil. Nous avons atteint le point de rupture.
- L’immigration doit être totalement stoppée au Québec tant qu’il manquera de logements.
- Le surplus d’immigrants qui est la cause de la pénurie actuelle doit être renvoyé chez eux dans l’année.
Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec