Les féministes hystériques se déchaînent contre Depardieu

On vous le jure : on a cru un instant, quand on a vu la version courte de 54 secondes, qu’il s’agissait d’un sketch avec deux perruches féministes et un pauvre blanc-bec harcelé à la manière de Franjo !

Le sketch de Franjo est ici.

En réalité, il s’agit d’un vrai débat avec deux femmes qui ne sont pas comédiennes, mais qu’on ne peut pas non plus prendre au sérieux, tant elles démolissent leur crédibilité avec des rires débiles et des attitudes déplacées. C’est peut-être mieux comme ça : le féminisme mondialiste, tant qu’il sera porté par des perruches de ce calibre, ne pourra pas vaincre la nature. Parce qu’il s’agit bien d’un combat culture contre nature.

Nous, on a rien contre le féminisme, tant qu’il ne nous chie pas dans les bottes. Si on commence à nous chercher, et à insister, on donne le coup de sabot. Les hommes sont comme de gentils taureaux, placides, calmes en apparence : on encaisse, on encaisse, mais quand ça va trop loin, que les emmerdeuses féministes croient avoir gagné, elles se font avoiner.

D’ailleurs, pas besoin de les avoiner, ce qui mène tout droit en prison depuis les lois Schiappa, vous savez, l’escroc au fonds Marianne : elles s’avoinent toutes seules.

Dans le débat opposant Brélet d’(a)Valeurs actuelles aux deux allumées, il est question de l’impunité dont Depardieu a joui pendant des décennies, alors qu’il courait après toutes les vaches – ou presque – du troupeau. C’est que, pendant sa période de gloire et de pouvoir, il était intouchable, et celles qui le harcèlent aujourd’hui – et là on parle de celles qui ont véritablement été harcelées – peuvent maintenant se lâcher tranquillement : le vieux bouc émissaire est à terre. Il ne tourne plus guère, il a perdu son pouvoir.

Il y a même la mère Robin, la spécialiste autoproclamée de la violences des hommes et qui ne vit pas avec, qui y va de son coup de pompe, elle qui n’a jamais intéressé le moindre réalisateur cinéma…Quant à la pauvre Lamy, cette vedette télé d’access JT…

On vit une drôle d’époque, où des femmes se vengent de leur manque de talent ou de pouvoir en s’attaquant à des cibles faciles. Ici, un sanglier blessé à mort, certes, qui en a donné, des coups de corne !

On en connaît un autre, qui a pendant des années harcelé des femmes façon DSK, qui tient en France les cordons de la bourse, et qui n’a toujours pas été dénoncé. Pourtant, lui, c’est un porc de chez porc. Où sont les féministes ?

On fera les comptes un jour, de ces porcs intouchables mais aussi des féministes à l’immonde lâcheté.

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Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation