Les artistes et politiciens signataires de la pétition en soutien à la politique de Netanyahou sont-ils satisfaits de ce dénouement ?
Ce génocide interroge t-il leur définition de la terreur et leur permet-il d’envisager l’extension du vocable terroriste aux perpétrateurs institutionnels de mort ?
Ces artistes et politiciens estiment-ils que réparation a été faite ou faut-il continuer encore un peu, pour s’assurer d’annihiler jusqu’au dernier Palestinien ?
Les camions d’aide humanitaire en provenance d’Egypte seront-ils enfin autorisés à livrer des vivres à Gaza ou doit-on conforter Netanyahou dans son droit de mort absolu sur autrui ?
Le seuil d’abomination a t-il été atteint pour envisager d’autoriser les manifestations en faveur de la Palestine, ou est-ce que donner une voix digne aux populations démunies et terrorisées, constitue une apologie de la terreur ?
Excusez la candeur de ces questions, mais c’est tout ce qui me vient en tant qu’animal humain français.
Une prière pour la Palestine.
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