par Jacques Henry
Le but recherché par les malthusiens tels Bill Gates, David Rockefeller, George Soros ou encore Klaus Schwab (lien en fin de billet et https://hls.ted.com/project_masters) avec le coronavirus, la «fenêtre d’opportunité» pour changer le monde, est de réduire la population mondiale.
«Tout d’abord, il y a la population. Le monde compte aujourd’hui 6,8 milliards d’habitants. Nous nous dirigeons vers une population d’environ neuf milliards d’habitants. Maintenant, si nous faisons un très bon travail sur les nouveaux vaccins, les soins de santé, les services de santé reproductive, nous pourrions réduire ce chiffre de 10 ou 15 pour cent. Mais là, nous constatons une augmentation d’environ 1,3». (Bill Gates, mai 2009) et aussi Dennis Meadows du Club de Rome : https://youtu.be/4aVw5I7EJAo
Dès l’apparition du virus alors que pourtant les médecins chinois avaient identifié dès le début des années 2020 l’efficacité de l’hydroxychloroquine et de l’Ivermectine pour traiter le SRAS, ces deux derniers médicaments furent interdits ! Par qui et pour quelle raison ? Pas de réponse. Ce nouveau virus, manipulé dans un laboratoire (lequel et où ?) avec introduction artificielle d’une séquence de nucléotides codant pour un site de clivage par l’enzyme appelé furine a catalysé la mise en place à l’échelle mondiale d’un pseudo-vaccin dont le principe scientifique est nouveau et n’a jamais été couronné de succès au cours des récentes années puisque cette modification de l’ARN de ce virus devait introduire un gain de fonction infectieuse. La nouvelle approche technologique vaccinale repose sur l’introduction dans l’organisme d’un ARN messager modifié pour ne pas être dégradé trop rapidement et combiné à des lipides synthétiques pour faciliter sa dissémination dans tout l’organisme dans le but d’assurer son efficacité thérapeutique.
Dans le cas du coronavirus et dans le but d’éventuellement assurer une protection immunitaire des patients ayant subi une injection de cet ARN le problème qu’ont toujours redouté les biologistes prudents et honnêtes est la totale absence de contrôle de ce que l’on appelle la stoechiométrie de ce geste de vaccination. Brièvement, lorsqu’on utilise un vaccin classique comme par exemple le virus désactivé de la rougeole, la dose injectée est constituée d’un nombre connu de particules virales, nombre invariable selon le protocole de production du produit. Dans le cas de l’ARN messager la situation est différente : l’ARN code pour la production par les cellules du patient de la substance supposée remplir les propriétés d’un antigène catalysant la réponse immunitaire contre la maladie considérée comme dans le cas du SARS-CoV-2. Mais la capacité de chaque individu à produire cette substance, dans le cas présent la sous-unité 1 de la protéine de la spicule du virus, est totalement incontrôlable. Certains patients ne développeront jamais d’anticorps alors que d’autres patients en mourront.
Les tenants de cette nouvelle approche technologique de vaccination défendent celle-ci en se retranchant derrière le caractère aléatoire de la réponse de chaque individu et en insistant sur le fait qu’il s’agit d’un progrès technologique permettant de mettre au point un nouveau vaccin en un temps record. Le cœur du problème n’est pas la supposée toxicité de la protéine «spike», de la spicule du virus, mais l’induction d’un désordre immunitaire pourtant connu depuis le début de l’épidémie coronavirale : une chute de la réponse immunitaire que les spécialistes appellent lymphocytopénie, symptôme non pas provoqué par la «vaxxination» mais par le virus lui-même. Cette protéine produite par le patient lui-même en l’absence du virus qui a subi une injection de l’ARN messager se lie au récepteur naturel du virus sur la membrane cellulaire, l’ACE (angiotensin-converting-enzyme) qui intervient dans le processus de coagulation sanguine. De plus cette même protéine induit une perturbation de la réponse immunitaire en rendant les lymphocytes T incapables de mémoriser sa présence. L’un des critères de suivi de l’effet de cette liaison protéine spike-ACE est l’augmentation du taux de D-dimère dans le sang et pour l’autre effet la perturbation de la formule lymphocytaire est un bon reflet du caractère toxique de cette protéine. Cette technique de «vaxxination» avec ARN messager reproduit donc les deux pires effets du coronavirus : perturbation du processus de coagulation sanguine et désordre immunitaire : l’idéal pour tuer !
Comme les gouvernements des divers pays occidentaux ont installé une véritable censure sur le signalement des effets indésirables de cette technique d’approche vaccinale à l’aide d’ARN messager – moins de 1% des cas indésirables sont réellement analysés et pris en considération, en particulier les décès – alors un calcul raisonnable permet d’évaluer le nombre de morts provoqué par cette «vaxxination» à plus de dix millions (peut-être vingt millions), pour l’instant, car le drame évolue toujours et il est de plus en plus question de procéder à de nouvelles campagnes de «vaxxination» supposées protéger contre le dernier mutant en date du virus. Les criminels occidentaux malthusiens veulent continuer leur campagne de dépeuplement de la planète, qu’ils s’arment de patience car cette «vaxxination», en réalité une arme biologique, continuera à tuer dans les années à venir. En effet la protéine «spike» va se fixer préférentiellement dans les gonades (ovaires et testicules) et provoque de surcroit divers problèmes lors des grossesses conduisant à des avortements spontanés ou des morts-nés. La perturbation du système immunitaire provoque l’apparition de «turbo-cancers» (lien ci-dessous) en particulier chez des sujets jeunes, du jamais vu auparavant sauf chez les personnes immuno-déprimées (SIDA/AIDS ou à la suite d’une greffe d’organe), et combiné à la baisse de fertilité déjà observée le but malthusien est (ou sera) atteint pour la plus grande satisfaction de cette minorité élitiste de criminels qui veulent diriger le monde avec la complicité même pas dissimulée de l’OMS !
Pour conclure cet article je dirai que si on m’accuse de «complotisme» je répondrai simplement qu’au contraire je dénonce un complot contre l’humanité organisé par les élites qui veulent dominer le monde mais qui ont exclu une dérive nucléaire du conflit ukrainien car il y a aussi pour elle des limites : transformer la plus grande partie du monde en zone interdite invivable type Tchernobyl sera préjudiciable pour leur confort alors le développement de nouvelles armes biologiques comme ces «vaxxins» d’un type nouveau pourra toujours satisfaire leur grand dessein de domination du monde entier. La technique de «vaxxination» avec un ARN messager ayant été admise, imposée par la loi et donc de facto validée au mépris de toute règle d’éthique élémentaire, une nouvelle maladie issue d’un laboratoire ayant reçu l’agrément de l’élite mondialiste malthusienne, sera immédiatement traitée avec la même approche : dissémination du nouveau virus, déclaration de pandémie par l’OMS, obligation vaccinale avec un ARN, etc.. Mais il ne faudra pas s’y méprendre, la réussite de l’opération sera à la mesure des efforts déployés dès à présent, ne vous bercez par d’illusions : peut-être cent à deux-cent millions de morts … pourquoi pas un ou deux milliards.
Autres liens : The HighWire
Et aussi cet article de Michel Chossudovsky qui relate le dessein malthusien du «Good Club» : Global Research
source : Jacques Henry
Source : Reseau International
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