Par Bob Unruh (WND News Center), repris par LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : hin255/Adobe Stock
Un expert en droit qui a témoigné à plusieurs reprises devant le Congrès sur divers litiges juridiques affirme que le Royaume-Uni va maintenant jusqu’à l’extrême, transformant en abus le fait de ne PAS abuser d’un enfant.
Jonathan Turley, de l’Université George Washington, a écrit un article sur ce que le gouvernement britannique exige des parents lorsque leurs enfants disent qu’ils sont transgenres.
Selon lui, une interprétation mise de l’avant par la police britannique prévoit que « les parents qui refusent d’utiliser les pronoms alternatifs pour leurs enfants ou qui refusent de payer pour leur transition pourraient faire l’objet de poursuites pénales ».
Ces « traitements » de transition incluraient l’administration de produits chimiques pour stériliser un enfant à vie et même des mutilations corporelles chirurgicales.
« Alors que le débat fait rage aux États-Unis sur la notification et l’autorité parentale dans les cas impliquant des enfants transgenres, le Royaume-Uni est plongé dans une controverse au sujet d’une loi qui non seulement limiterait l’autorité parentale dans de tels cas, mais exigerait également des parents qu’ils paient pour cette transition », a-t-il expliqué.
« Selon le code britannique du Crown Prosecution Service (CPS), les comportements abusifs incluent désormais le fait de “retenir de l’argent pour la transition [et] de refuser d’utiliser le nom ou le pronom qu’ils préfèrent”. Ainsi, un parent ayant des objections familiales ou religieuses à la transition d’un enfant serait tenu par la loi de financer les opérations ou les traitements ».
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