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Le Dr Olivier Soulier, qui était médecin, homéopathe et chercheur passionné, nous a soudainement quittés il y a quelques jours. Nexus l’avait interviewé l’année dernière et partage aujourd’hui plus d’une heure d’entretien avec lui.
Une médecine qui se déshumanise
Le Dr Olivier Soulier nous parle de l’évolution inquiétante de la médecine :
«Au XIXe et au XXe, le médecin était la personne centrale. Il y avait un lien médecin-patient qui était la base des choses. Le médecin avait comme objectif l’intérêt unique du patient et le patient faisait confiance au médecin. C’était ce duo qui fonctionnait. On a bien vu à quel point cette relation a été massivement attaquée. Les médecins ont été éliminés c’est pas pour rien qu’on a créé des centres de médecins à prescrire […] Aujourd’hui le médecin disparaît derrière des potentiels prescripteurs informatiques ! L’humain disparaît derrière le business. C’est quelque chose que l’on voit se généraliser dans notre société aujourd’hui».
Un médecin qui allait au bout de ses convictions
Le 15 septembre 2021, Olivier Soulier a préféré la suspension plutôt que jouer le «jeu» imposé du gouvernement et son obligation vaccinale pour le personnel soignant :
«[…] je n’ai pas accepté les injections expérimentales donc j’ai arrêté d’exercer en tant que médecin. J’ai participé à la création du syndicat liberté-santé pour défendre tous ces soignants. On revient dans des techniques de mode terroriste en quelque sorte». Fidèle à l’homéopathie qu’il exerçait, il était persuadé de ses bienfaits : «La médecine homéopathique pourrait couvrir 80% du champs médical».
Des visions de la médecine différentes
«Il y a 2 visions du monde qui s’opposent dans cette histoire et je le raconte un peu en opposant Pasteur et Claude Bernard. Une première vision qui est celle de Pasteur et qui consiste à dire : «Le monde extérieur est dangereux, ce sont les microbes qui sont responsables de ce que nous vivons de nos pathologies». Cela sous-entend que l’humain pourrait être parfait et que le monde extérieur serait dangereux. Donc une vision que l’on va qualifier de paranoïaque. «Paranoïaque» égale «la peur», égale ce que l’on voit aujourd’hui. «Le microbe est responsable de la maladie, il faut attaquer les méchants microbes avec des vaccins, avec des antibiotiques». Voilà, ça c’est une première vision. L’autre vision qui est celle de Claude Bernard est de dire : «Ce qui compte ce n’est pas l’agression extérieure mais le terrain du sujet»».
«On a donc ces deux visions fondamentales. Une vision de type paranoïaque qui fonctionne sur la peur et une vision beaucoup plus humaniste qui est «renforçons le terrai». On a vu que sur le site de l’OMS, le chapitre sur l’immunité naturelle avait disparu comme si d’un seul coup cela avait disparu ! Ça existe depuis quelques centaines de milliers d’années mais d’un seul coup quand on vend des injections, ça n’existe plus ! Donc les humains sont incapables de se débrouiller sans être injectés, sans être aidés en permanence, ce qui est complètement faux !»
Note de Joseph : le meilleur moyen de se débarrasser de Big Pharma est une reconnaissance suffisamment large, notamment dans le milieu médical, de la fausseté de la théorie virale et en particulier du fait que jusqu’à présent aucun virus pathogène n’a été réellement isolé, purifié et caractérisé chimiquement. Cette théorie aurait dû être abandonnée il y a 70 ans. Au contraire, elle s’est transformée en religion.
Voir le dossier Vaccins et virus,
Comment Rockefeller a créé Big Pharma
et Comment la Médecine Naturelle a été détruite en 1910
source : Nouveau Monde
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