Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : phonlarnaiphoto/Adobe Stock
8 mai 2023 (LifeSiteNews) — Les individus — y compris les enfants — pris dans l’engouement transgenre actuel, dont le corps a été mutilé médicalement et chirurgicalement et dont la personnalité a été modifiée par « affirmation » sociale, ne sont rien d’autre que des tremplins pour lancer une forme d’existence encore plus macabre : le transhumanisme.
Autrefois considéré comme une idéologie marginale relevant davantage de la science-fiction que de la réalité, le « transhumanisme » est aujourd’hui mis en œuvre par les gouvernements, les multinationales, les banques mondiales, les cabinets d’avocats internationaux et, bien entendu, Silicon Valley.
Qu’est-ce que le transhumanisme ? Il s’agit d’un mouvement qui cherche à créer des êtres humains dotés de capacités accrues en fusionnant la personne humaine et la technologie.
Si certaines des premières incursions dans la science transhumaine ont pour objectif louable d’aider les personnes atteintes de troubles neurologiques tels que la paralysie, la démence et la maladie d’Alzheimer, ces efforts seront utilisés pour ouvrir la voie à une forme d’existence immortelle « sans limites » en fusionnant la conscience humaine et les ordinateurs, créant ainsi une espèce hybride d’individus qui existeront dans le cyberespace.
L’objectif ultime est de créer une espèce améliorée qui transcende l’humanité. En d’autres termes, il s’agit de créer une société améliorée, « posthumaine ».
« Les transhumanistes veulent appliquer la technologie pour surmonter les limites imposées par notre héritage biologique et génétique », explique Max More, un philosophe qui s’intéresse aux implications culturelles des technologies émergentes.
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