Les trahisons, dont Alain Soral a été la cible, sont de très bonnes choses.
Ces trahisons, en réalité ne sont que la révélation du caractère retors, tordu, misérable et mesquin de ces spécimens, qui ont , dans un premier temps réussis leur infiltration, puis dans un deuxième temps, ont été confondus, démasqués (« The thing »de john Carpenter). Ce schéma révèle un principe naturel : l’inaptitude d’agents contaminés de s’intégrer à un corps sain. Par un processus de darwinisme social, c’est à dire : la survie des éléments les plus capables et purs en procédant à l’élimination des éléments les plus corrompus, que ce soit de leur plein gré ou en étant chassés, expulsés. Cette séléction évince l’élément étrange et étranger et permet d’avoir un système immunitaire efficace, il protège des infections provoqués par les germes destructeurs . Une leçon n’est jamais mieux apprise que dans la douleur, cette leçon restera gravé dans l’esprit comme une cicatrice sur la peau . Les gens qui suivent E&R ont des yeux pour voir, des oreilles pour entendre et un cerveau pour analyser, ils ont vus, entendus et ils ont réfléchis, ils ont gravé cette information capitale dans leur tête, cette leçon primitive devant un danger mortel : ne plus faire confiance à ces êtres qui portent la trahison et la soumission dans leur gènes. Ceux qui m’auront compris avec le plus d’acuité, sauront ce que je veux dire exactement. Dans un combat mortel, pour la survie de sa nation, Il n’y a pas de place pour l’humanisme et la sympathique tolérance de complaisance. Je vais vous avouer un truc, vos ennemis n’en ont rien à foutre !
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation