Narration et dépossession :
Les volets environnementaux, sanitaires et sécuritaires nous sont aujourd’hui présentés comme les problématiques fondamentales auxquelles nous allons devoir nous confronter dans les décennies à venir.
Ces problématiques sont des narrations spectaculaires, produits de la « société du spectacle » au sens de Debord, elles s’appuient parfois sur des mensonges éhontés, parfois sur des manipulations, parfois sur des exagérations, des déformations ou des interprétations erronées du réel, le tout, entrecoupé de vérités afin de brouiller les pistes et de complexifier toute velléité de discernement.
Le temps de la paix est terminé. Si beaucoup de français se sentent démoralisés, ils sont nombreux à ignorer les conséquences réelles de leurs maux. La vérité, une fois n’est pas coutume, c’est E.Macron qui nous l’a déclarée : « nous sommes en guerre ».
Aujourd’hui, beaucoup de nos concitoyens, en colère, subissent inconsciemment, cette pluie de narratifs qui s’abat sur eux, pensant à tort s’inscrire dans un futur, que seules les interactions fortuites de l’activité et du développement humain auraient rendu dystopique.
Pis encore, il y a ceux qui, dans un déni d’acceptation du réel, illusionnés par le spectacle psychotique dont ils font partie intégrante, taxent de complotisme ceux qui avancent que ce que nous vivons ne relève pas du hasard, de la malchance ou de simples incompétences.
Ces kapos, parfois acteurs, parfois victimes de la société du spectacle ne s’interrogent plus du caractère continuel, répété et omnipotents de ces narratifs, qui depuis une dizaine d’années sont littéralement venus rythmer notre vie au point de la commander. Leur caractère négatif, récurent et globalisant à l’échelle planétaire, ne les interroge même plus ; l’anxiété, l’angoisse ou la peur étant devenues des normes qu’ils ont communément intégrées.
Pour ces victimes, l’émotionnel prédomine et elles ne conceptualisent ni ne résonnent en termes rationnels. Combien se laissent subjuguer et obéissent, simplement sidérées par la soudaineté et l’imprévisibilité de l’actualité ? J’en veux pour preuve que si la rationalité avait été le précepte dominant pendant la crise covid, c’est le principe de précaution qui aurait prévalu sur cette vaccination de masse avec ces produits sous AMM conditionnelle : les risques liés à l’injection n’auraient dû être uniquement pris qu’avec une frange de la population qui présentait un péril imminent (c’est à dire une infime minorité).
Eu égard le nombre colossal de personnes vaccinées, risquer la vie à court, moyen ou long terme, de ces millions d’individus sur la base d’un simple rapport de confiance (les phases d’essais n’étant pas finies) envers des entreprises pourtant pluri délinquantes et maintes fois condamnées, était totalement irrationnel !
Mais il ne sert à rien de s’étendre la dessus, les faits montrent qu’une fois de plus, les « complotistes » avaient raison. Les effets secondaires sont nombreux (et nous sommes encore dans le court terme), le virus s‘est avéré bien moins létal que prévu* et le vaccin exagérément moins efficace qu’annoncé au départ. Ce n’est pas « conspiracy watch », dont l’idéologie globaliste transpire à travers l’anglicisme adopté en guise de nom, qui pourra désormais contester mes dires. Cet outil du spectacle, aujourd’hui suspecté d’être financé par les fonds Marianne de Marlène Schiappa a par ailleurs menti éhontément, et à maintes reprises, sur les sujets qu’il avait pour mission de « factchecker ». C’est aujourd’hui parfaitement démontrable.
Parenthèse fermée, si chaque narratif est une pierre d’achoppement qui amène son lot de nouvelles mesures, de taxations ou d’atteintes aux libertés fondamentales, il n’en reste pas moins qu’un objectif demeure commun à ces grandes machinations de la pensée globaliste : la redéfinition de la propriété, de son appropriation et du contrat social hérité des lumières.**
Dans un futur proche, la question de la propriété sera au cœur du débat constitutionnel. La propriété appartient au domaine vital selon J.Locke, qui introduit par la même occasion la question du travail comme rapport central à cette dernière, se faisant l’inspirateur du libéralisme économique d’A.Smith. Ce concept de la propriété, qui découle d’un droit d’appropriation par la valeur travail, a inspiré par la suite les philosophes des lumières, dopant ainsi les idéaux révolutionnaires de la bourgeoisie du XVIIIème siècle. La déclaration universelle des droits de l’homme, en son article 17, considère ce droit comme l’un des quatre « droit naturels » de l’homme. C’est de ce concept de la propriété, droit inviolable et sacré dont nul ne peut être privé, et de l’appropriation qui s’y rattache dont nous discutons aujourd’hui le funeste sort.
Derrière la façade des narratifs spectaculaires, se dissimule une toute autre vérité, réelle et effective cette fois-ci : nous sommes entrés dans une ère de dépossession dissimulée.
Du communisme rouge vers le « néo-communisme vert »
Marx disait : « l’histoire ne se répète pas, elle bégaye ». L’objectif du « néo-communisme » est aujourd’hui différent car il ne vise plus la réappropriation du capital par le peuple mais la spoliation intégrale de ce dernier ; les facteurs d’adhésion ont également changé, puisque l’intérêt qu’y percevra le peuple ne résidera plus dans sa valorisation mais dans sa survie environnementale (au sens propre du terme). Le sanitaire, l’écologie et la sécurité sont des composantes de notre environnement, elles interagissent toutes avec ce dernier, par conséquent, agir sur ces leviers c’est agir sur la stabilité de nos interactions dans ce qui compose notre environnement. Pandémies, réchauffement climatique, guerres, attentats et conflits sociaux viennent désormais fréquemment déstabiliser les équilibres économiques actuels et contribuent à l’instauration de ce nouveau paradigme.
Bien qu’à mille lieux du communisme tel que conceptualisé par Marx et Engels, le projet Davosien n’en copie pas moins certains aspects, à commencer par l’extinction de l’État qui est amené à devenir administration des choses. Ainsi l’État va petit à petit se transformer en une technostructure du crédit social et du verrouillage numérique.
Un État, qui dans ses fonctions régaliennes, va de plus en plus s’effacer au profit des multinationales, Davos ayant entre autres pour objectif le transfert inavoué des pouvoirs de gouvernance vers ces-mêmes multinationales. Transfert marqué par une porosité croissante entre le monde politique et celui des oligarques apatrides qui aura pour conséquence la désincarnation de la nation.
L’extinction de l’État qui, dans le communisme traditionnel avait pour corollaire la suppression des classes sociales aura ici pour corollaire l’apparition des castes. D’une certaine façon, le Great Reset ne peut conduire qu’à une disparition des classes et à l’émergence des castes.
J.Attali l’a très bien expliqué, l’organisation sociale du futur mondialisé sera composée d’une catégorie de quelques millions de travailleurs pris en étau entre une caste « d’hypernomades », apatrides de luxe qui disposeront de tous les moyens, et une caste « d’infranomades », nomades de misères, contraints de migrer régulièrement pour des raisons économiques.
Nous parlons de castes car chaque catégorie devient ici endogame. C’est parce que la catégorie centrale des travailleurs sera susceptible d’être dégradée vers les infranomades, qu’elle sera sempiternellement maintenue dans sa condition. Elle sera ainsi entretenue dans l’espoir illusoire de rejoindre les nomades de luxe et dans la terreur réelle de tomber dans l’infranomadisme.*** Cette paraphrase d’Attali, issue d’une intervention dans laquelle il mélange subtilement mensonges et vérités, doit être lue entre les lignes : la fin des classes, c’est la fin irrévocable de l’ascenseur social.
Il existe un lien direct entre ce projet de société et la grande remise en question à venir de la propriété (mais aussi de son mode d’appropriation). Plus que la modification d’un principe de droit, il s’agit là d’un bouleversement philosophique et anthropologique majeur. Et si les narratifs mis en place à ce jour ont vocation à instaurer le « néo-communisme » sus-cité, ils ont avant tout pour finalité la modification intégrale du rapport à l’appropriation de la propriété. Cela dans l’unique but de renforcer la caste des supranomades en entretenant et en développant leurs parasitisme vis à vis de la catégorie médiane.
Les narratifs spectaculaires nous dressent à ne plus posséder.
L’Europe est en train d’organiser la destruction de son économie dans le but de bâtir un nouveau système économique hybride car constitutif d’un globalisme embryonnaire autonome capable de fonctionner en interaction dans un monde multipolaire. Aussi peu importe les aléas des structures géopolitiques du monde, l’Europe entend s’ériger comme un marche pied constamment opérationnel, indispensable préalable à l’ascension d’une gouvernance mondiale, en cas d’hypothétique affaiblissement du multipolarisme ; car la dynamique géopolitique actuelle pose de plus en plus de difficultés aux factions mondialistes universalistes (dans lesquelles s’inscrit l’idéologie de Bruxelles). L’Europe aspire à devenir une partie du monde « échantillon » du globalisme idéologique universaliste et apatride que l’Open Society de G.Soros symbolise à merveille.
Le nouveau modèle économique que Davos tente de mettre en œuvre est hybride sous bien d’autres aspects. D’un point de vue sociologique, il met ainsi en exergue les individualismes dans le but de promouvoir une vision collectiviste de notre société.
Aussi instrumentalise-t-il toutes les minorités actives et les communautarismes pour faire l’apologie du vivre ensemble, de même qu’il va utiliser les peurs basiques, l’égoïsme, l’instinct de survie, et instaurer des distanciations sociales pour pouvoir, dans le même temps, revendiquer un très cohésif « tous protégés ».
Une déshumanisation des rapports… Mais dans l’intérêt collectif. Dans une logique similaire, ce système n’hésitera pas à vous rendre coupable, vous le petit particulier, du réchauffement climatique, et ajoutera des taxes ou des hausses de prix à vos diverses consommations au nom de la sauvegarde de l’espèce humaine.
Ce « néo-collectivisme » basé sur la fragmentation des individualismes nous conduit vers un lissage sociétal, qui, par la convergence de l’ensemble des narratifs qu’il propose, doit nous conduire vers cette nouvelle ère économico-technocratique qui mettra fin à la démocratie. Le « néo-collectivisme », plus qu’un préalable nécessaire au « néo-communisme » à venir, est à considérer avant toute chose comme l’essence même de notre désappropriation.
Voilà pourquoi les narratifs que nous subissons les uns après les autres sont de vastes entreprises de dressage à la désappropriation. Elles sont les chorégraphies macabres qui obligent les esprits pourtant tous différents à se mouvoir à l’unisson comme s’ils ritualisaient de leur dépossession organisée.
La propriété du corps, un droit naturel
Le bouleversement est historiquement grave et profond. Si le tout sécuritaire nous dresse petit à petit à accepter l’abandon de notre sphère intime, de notre vie privée, le tout sanitaire nous a également appris à abandonner les reste nos libertés fondamentales. Plus grave encore, il a implicitement modifié le rapport à la propriété du corps humain.
Ce dernier relevait jusqu’à présent d’un principe élémentaire du droit naturel, soutenu entre autres par Locke, et aujourd’hui communément admis, car entériné par la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen : l’homme est propriétaire de son corps et de son esprit.
Or, l’usage de la contrainte pour extorquer, chez un bon nombre d’individus initialement réfractaires, l’injection d’un produit sous AMM conditionnelle sans aucuns retours d’expériences, a instauré un nouveau champ des possibles : il est désormais envisageable que nous nous autorisions à nous refuser le droit de disposer de notre corps comme bon nous semble dès lors qu’il existe un impératif collectif supérieur.
Le néo-collectivisme, plus que d’être le fossoyeur de la propriété, devient également celui du doit naturel. Le poids supérieur qu’occupe désormais ce qui nous est imposé par le droit subjectif humain sur ce qui nous est dû par nature est le fruit d’un dressage, puisqu’il repose sur un principe de commandement par le choix. Un choix en réalité illusoire puisqu’il se concrétise par une soumission ou une sanction (échange d’une vie sociale et d’un droit à exercer sa profession contre la vaccination). Et c’est bien en travestissant cette extorsion en choix que certains hommes d’États se dédouanent actuellement de leurs responsabilités face aux effets délétères du vaccin sur les victimes.
La réappropriation de l’identité de genre, conditionnement à la prééminence du droit positif
Le néo-collectivisme est un concept qui fonctionne sur les bases d’une mécanique psychotique qui déconnecte l’individu des repères qui l’ancrent dans la réalité. De facto, la réalité biologique de nos corps, qui se manifeste par la différenciation des sexes, se trouve remise en question. L’idéologie transgenre, pur produit du néo-collectivisme et transcendance d’un un idéal égalitariste absolu, est un conditionnement psychique qui transforme notre rapport à l’appropriation de l’identité.
Si hier je m’appropriais la propriété de mon identité de genre parce qu’elle découlait d’une règle universelle, absolue, issue de la nature et conforme à une réalité biologique, demain je m’appropierai la propriété de cette identité parce qu’elle découle d’un choix illusoire, subjectif, donc caractérisé et légitimé de façon intégralement immatérielle (le recours à la chirurgie et aux postiches sera nécessaire pour matérialiser ce choix et donc le concrétiser dans le réel).
Derrière ce changement fondamental du rapport à l’appropriation de la propriété de l’identité de genre, transparaît en filigrane une « psyop » visant à instaurer un bouleversement anthropologique majeur de notre perception du droit. On peut facilement imaginer que nous serons enclins à transposer notre rapport subjectif à l’appropriation de l’identité à celle de notre rapport à l’appropriation de la propriété au sens large du terme, ce qui, une fois de plus, aurait pour effet de sonner le glas du droit naturel à la propriété.
Le « néo-communisme Davosien », tel que je le qualifie, ne laissera demain le champ libre qu’au seul droit positif. En d’autre termes, plus rien ne sera absolu ni irrévocable et tout deviendra le fruit d’une interprétation humaine et subjective.
La désappropriation de notre corps et le bouleversement du mode d’appropriation de notre identité de genre doivent, par la même occasion, conduire à l’ouverture de nouveaux marchés toujours plus lucratifs.
Le « néo-communisme vert » ou la dépossession par l’écologie
Il en sera de même dans le domaine environnemental, dont le narratif doit nous conduire à la dépossession des ressources naturelles disponibles et à l’accélération du transfert de nos richesses vers les grandes entreprises multinationales. Ainsi deviendra-t-il de plus en plus compliqué et réglementé de posséder son propre potager, d’arroser ses plantations ou d’élever soi-même ses poules (ce qui est un non sens écologique). L’eau, est objet de spéculations financières en devenir. Demain sera-ce l’air ?
Le réchauffement climatique est également moteur du « néo-communisme vert ». Il est aussi une façon de reconsidérer l’habitat et le rapport à la propriété foncière. Dans un futur proche, l’accès à la propriété sera restreint, et la colocation une nouvelle norme instituée. L’Espagne travaille ainsi à une généralisation de l’habitation collective d’ici 2050. La France lui emboîte le pas, aussi Emmanuelle Wargon, qualifiait-elle en 2021 les maisons individuelles de «non-sens écologique, économique et social».
La notion de propriété subit, de surcroît, la concurrence parallèle de la location. Les principes de location et de location longue durée tendent ainsi à s’instituer, notamment par le biais de l’industrie automobile (location des voitures électriques et de leurs batteries). Dépossédé de tout, le travailleur de la catégorie intermédiaire ne sera bientôt assimilé qu’à une ressource sous saignée constante, ponctionné de sa naissance à sa mort.
Plus qu’une dépossession générale, un transfert de richesses planifié de longue date
Ce destin funeste n’est cependant pas celui des « supranomades » qui sont les réels bénéficiaires, en même temps que les chefs d’orchestre, de cette grande entreprise de spoliation. Voici ce que nous dit l’INSEE : de 1980 à aujourd’hui, 10% de la valeur ajoutée sont passés du travail au capital en France. La part revenant aux salariés a chuté de 75% à 65%, dix points de pourcentages qui représentent 250 milliards d’euros. Quand en 1980 un salarié travaillait en moyenne 9 jours pour financer les dividendes de ses actionnaires, il en travaille aujourd’hui 45 de plus.**** Le coronavirus a fait bondir la fortune des leaders de la tech, par exemple, celle d’Elon Musk s’est accrue de 285% durant cette période. Aujourd’hui nous vivons dans un pays qui cumule près de 3000 milliards de dette publique. Cette politique de la dette impulsée par la loi Giscard-Pompidou-Rothschild du 3 janvier 1973 et entretenue par le traité de Lisbonne, a vocation à asservir la nation en la privant purement et simplement de sa souveraineté.
Les responsables politiques qui s’opposent aux narratifs sanitaires ou environnementaux, ainsi qu’au wokisme, ne sont pas nombreux et ne s’inscrivent que très rarement dans l’idéologie globaliste. Ils adoptent souvent un profil plus nationaliste en lien avec des rapports géopolitiques multipolaires, finalement plus pourvoyeurs de diversités culturelles et d’échanges que le lissage collectiviste auquel aspire aboutir le mondialisme et son marche pied que représente l’union Européenne. L’enjeu réel consiste à choisir entre vivre dans un monde multipolaire équilibré par la pluralité des idéologies politiques qui le composent (avec les risques de tensions constantes qui en découlent), et un monde globaliste, pourvu d’une gouvernance unique, dépositaire d’un monopole idéologique, en réalité faussement enclin à la sauvegarde de la démocratie. Les factions globalistes qui se disputent chacune à leur manière leur hégémonie sur le globe sont nombreuses. Aujourd’hui nous sommes confrontés à un choc complexe des globalismes duquel il nous reste encore la possibilité de nous extraire.
Pour ce faire, nous devons nous combattre pour conserver une identité forte des spécificités culturelles qui nous permettront de nous autodéterminer. Il faut que la France redevienne cet État providence d’exception qu’elle a su être autrefois, et qui lui conférait ce statut si exclusif de part le monde. Si nous ne voulons pas devenir esclaves des grandes puissances technocratiques et de la finance internationale, la seule issue envisageable sera la réappropriation de notre souveraineté nationale. Le peuple doit reprendre ce qui lui appartient de droit ! Nos droits fondamentaux sont encore gravés dans le marbre de notre constitution alors agissons avant qu’il ne soit trop tard !
ADJ (e.r.) François Dubois
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NOTES DU TEXTE :
** Dans Du contrat social, Rousseau établit qu’une bonne organisation sociale repose sur un pacte garantissant l’égalité et la liberté entre les citoyens. Ce pacte est contracté entre tous les participants, c’est-à-dire l’ensemble exhaustif des citoyens.
*** https://www.youtube.com/watch?v=cklHX5gvF6A
**** https://linsoumission.fr/2023/04/24/casse-travail-capital-250-milliards/
Note de la rédaction de Profession-Gendarme :
Mentionnons que notre ami François Dubois est également l’auteur du livre « Alice au pays de Lucifer » que vous trouverez sur ce lien à la FNAC
François Dubois a également donné une ITW au 4.4.2 sous le titre «François Dubois : « Macron est animé par un idéal messianique en lien avec la gouvernance mondiale… »»
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