Au départ j’étais plutôt en faveur de ces bassines, puis en creusant le sujet je me suis rendu compte que cela s’inscrivait dans le cadre d’une énième escroquerie oligarchique lié à l’imposture du changement climatique. En effet afin de remplir ces bassines il faudra pomper à la fin de l’hiver le prétendu « excès » d’eau des aquifères. Les pro-bassines nous disent sans plaisanter que si cet « excès » d’eau n’est pas pompé et stocké il sera gaspillé en se déversant dans la mer…Or justement ce sont les aquifères qui permettent d’alimenter en eau les ruisseaux, rivières et fleuves durant les périodes sèches ! Cet eau ne coule pas par l’opération du Saint Esprit ! Donc si l’on pompe l’eau des aquifères pour éviter son « gaspillage », ce sont les cours d’eau qui seront privés de cet eau qui s’assécheront en période de sécheresse ! Les poissons, les animaux sauvages…et les pêcheurs apprécieront ! Et c’est sur ce point qu’apparaît le lien des bassines avec l’imposture du réchauffement/changement climatique ! En effet en autorisant ces bassines ils sont entrain de créer ce que l’on appelle une « prophétie auto-réalisatrice » ! Ils nous disent que l’agriculture manque d’eau à cause du réchauffement climatique, d’où la nécessité des bassines…ensuite ces bassines en asséchant les aquifères mécaniquement provoqueront l’assèchement des cours d’eau ! Effet kiss cool des mégas bassines ! Les autorités attribueront cela au « changement climatique » ! C’est magique ! Et les gens, crédules, cons comme des balais et ignorants, quand ils verront le ruisseau de leur enfance complètement à sec au mois d’août, croiront la propagande qui leur dit que c’est à cause du changement climatique ! « Regardez bonnes gens ! On vous l’avait dit ! Le climat est malade ! La preuve, tout ces cours d’eau jadis pérenne qui aujourd’hui sont à sec ! Vite, il faut construire de nouvelles méga bassines ! »
Certains rétorqueront que de toute manière l’eau récupéré retournera au sol puisque servira à irriguer les plantes, de ce fait ce qui ne sera pas consommer par les cultures retournera dans les aquifères, ce qui est partiellement vrai. Car d’une part une partie de l’eau d’irrigation s’évapore (les cuves ne sont pas couvertes et sujette au rayonnement solaire), d’autre part là où cette eau sera utilisée et qu’elle s’infiltrera c’est en dehors des zones là où les aquifères en auraient besoin…
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