par Gérard Delépine
Le Gardasil ne diminue pas la fréquence des cancers du col de l’utérus, ni de l’anus.
Infection n’est pas cancer
Faits avérés concernant cette vaccination
Depuis plusieurs semaines, les lobbys des entreprises pharmaceutiques ont mobilisé les médias, notre ministre de la Santé et notre président pour faire la promotion de la vaccination anti-HPV (papillomavirus). Après avoir déploré qu’« un tiers des jeunes filles » et moins de 10% des garçons se font vacciner », il s’est déclaré « ouvert à une vaccination obligatoire », et vient de déclarer des contre-vérités flagrantes dans un collège de Charente. Comment ses conseillers peuvent-ils le tromper à ce point et lui cacher les résultats inquiétants de cette vaccination dans le monde réel ?
Pourtant la Commission de la transparence dans son avis du 13 septembre 2017 avait alerté :
« Les données disponibles ne permettent pas de répondre aux interrogations concernant… l’efficacité en termes de prévention des cancers ».
La consultation des registres des cancers des pays pionniers de cette vaccination anti-HPV montre que nulle part la vaccination n’a fait régresser les cancers invasifs et que, parfois, paradoxalement, la vaccination anti-HPV est suivie d’une augmentation du risque de cancer invasif du col de l’utérus !
Le lien de causalité exclusive entre infection à HPV et cancer n’est pas démontré
Un ami gendarme m’a rappelé que « sur les lieux d’un crime, on trouve aussi les témoins ».
Avant la mise sur le marché de ce vaccin, tous les articles recherchant les causes du cancer du col utérin démontraient que ce dernier est statistiquement lié à de très nombreux facteurs,, eux-mêmes liés entre eux dont : l’activité sexuelle précoce, importante et variée (source de microtraumatismes répétés et d’inflammations chroniques qui constituent des causes classiques de cancérisation), le tabagisme, l’usage prolongé des contraceptifs oraux, le nombre élevé d’enfants (plus de cinq), le Sida et les autres déficits immunitaires et les infections génitales dont l’herpès, la chlamydia et une vingtaine de souches de HPV, les dépressions. Depuis la mise sur le marché des vaccins anti-HPV, les articles détaillant les facteurs favorisants des cancers se focalisent uniquement sur ces derniers virus et prétendent qu’ils en seraient les seuls responsables.
De plus un certain nombre de cancéreuses se révèlent d’ailleurs HPV négatives,, ce qui contredit le discours habituel repris par l’agence officielle Santé publique France faisant de cette infection une condition indispensable au cancer.
Le papillomavirus qui ne donne aucun signe clinique est habituellement commensal comme le staphylocoque blanc sur la peau, le colibacille dans l’intestin ou le bacille de Doderlein dans le vagin. Plus de 150 souches de papillomavirus peuvent infecter l’homme. La contamination se fait par simple contact cutané (plus de 50% des vierges sont ou ont été infectées) ou lors d’un acte sexuel. Près de 80% des personnes sexuellement actives seront infectées sans le savoir un jour ou l’autre, souvent à plusieurs reprises, et se débarrasseront naturellement du HPV dans 90% des cas en quelques mois, sans séquelles avec acquisition d’une immunité solide contre la souche concernée.
Une réinfection est possible avec une autre des 150 souches existantes. La multiplicité des partenaires et des contacts sexuels fréquents favorise la persistance d’une infection à HPV. Une vingtaine de souches connues peuvent précéder un cancer. Il existe, certes, une corrélation statistique entre persistance d’infection à HPV et cancer, mais aucune preuve de causalité directe n’a jamais été établie. L’absence de lien de causalité exclusive démontré entre infection à HPV et cancer rend très hypothétique l’efficacité des vaccins anti-HPV contre les cancers associés au virus, qu’il s’agisse du cancer du col de l’utérus, du cancer anal ou ORL et explique certainement l’échec de la prévention contre le cancer dans les pays adeptes de cette vaccination d’autant que le faux sentiment de sécurité créé par la propagande Gardasil peut inciter certaines jeunes filles à commencer plus tôt leurs expériences sexuelles et d’autres à négliger le dépistage cytologique.
En Australie, la vaccination n’a pas fait reculer l’incidence des cancers invasifs
L’Australie a été le premier pays à instaurer la vaccination scolaire des filles dès 2006. Des journalistes ignorants (ou corrompus ?) proclament régulièrement que le pays va « éradiquer le cancer du col grâce à la vaccination »,, mais les chiffres officiels montrent que depuis la généralisation de la vaccination, l’incidence standardisée des cancers invasifs ne diminue plus alors qu’elle avait diminué de plus de 50% entre 1987 et 2006, grâce aux dépistages par frottis cytologiques.
La capture d’écran qui suit illustre cette vérité officielle que chacun peut vérifier à l’adresse Internet qui y figure. On peut regretter que ce graphique publié en décembre 2022 par l’agence sanitaire australienne (AIHW) ne donne des chiffres observés que jusqu’en 2019 (les services statistiques officiels australiens ne sont pas très réactifs), mais les prévisions officielles des années suivantes ne font que confirmer la tendance avec une incidence 2022 estimée à 7,1/100 000 contre moins de 6/100000 en France peu vaccinée).
De plus, le nombre annuel de nouveaux cancers invasifs, loin de diminuer, augmente :
Les articles qui claironnent la victoire de la vaccination sur le cancer du col en Australie ne reposent donc sur aucun fait réel, mais seulement sur la croyance que la diminution des infections à HPV entraînera une diminution des cancers invasifs, à l’aide de simulations aux hypothèses incertaines, alors que les faits constatés dans le monde réel démontrent le contraire. Prétendre comme tant de journalistes que l’Australie serait en train d’éradiquer le cancer du col grâce à la vaccination n’est donc qu’un énorme mensonge auquel le président a cru et qu’il a répété !
En Grande-Bretagne non plus, la vaccination n’a pas fait régresser les cancers invasifs
La Grande-Bretagne a été le second pays à généraliser la vaccination des jeunes filles à l’école. En 2008, la Grande-Bretagne a mis en place une campagne de vaccination systématique contre les papillomavirus humains dès 2008 pour les jeunes filles de 12-13 ans et en rattrapage entre 2008 et 2010 pour les 14-18 ans. Entre 2008-2009 et 2011-2012, la couverture annuelle (pour une dose du vaccin) en Angleterre se situait entre 85,9% et 90,6%.
Un article mensonger récent mélangeant allègrement vrais cancers invasifs et dysplasies bénignes, largement diffusé par les médias, proclame fièrement : « Vaccin anti-HPV : quasi-élimination du cancer du col utérin en Angleterre ». Mais, curieusement, l’agence officielle Cancer research UK (CRUK) publie sur son site la dernière incidence standardisée de cancer invasif à 9,6/100 000 (soit supérieure de 50% au taux français actuel).
Depuis les campagnes de vaccination, l’évolution globale d’incidence des cancers invasifs au Royaume-Uni se caractérise par l’absence de diminution, ainsi que le constate Cancer Research UK :
« Au cours de la dernière décennie, au Royaume-Uni (entre 2006-2008 et 2016-2018 les taux d’incidence du cancer de l’utérus chez les femmes sont restés stables »
De 1993 à 2006, grâce au dépistage cytologique, l’incidence standardisée avait régressé de 13/100 000 à 9/100 000, mais depuis le début de la vaccination, elle est passée de 9/100 000 en 2006-2008 à 10/100 000 en 2016-2018, dernière période publiée.
Et cette estimation globale dissimule l’augmentation d’incidence dans les groupes les plus vaccinés. L’analyse par groupes d’âge objective en effet une diminution franche d’incidence chez les femmes âgées, non vaccinées.
À l’opposé, le groupe des 20-24 ans, le plus vacciné, souffre d’une augmentation d’incidence de 19% des cancers invasifs passée de 16/100 000 en 2007 à 19/100 000 en 2016-2018, dernière période publiée en mars 2023.
En Grande-Bretagne aussi la vaccination est donc très loin d’amorcer l’éradication du cancer que promettent les avocats du vaccin avec une augmentation d’incidence dans le groupe le plus vacciné !
En Suède, l’incidence des cancers invasifs a franchement augmenté depuis la vaccination
En Suède, grâce au dépistage cytologique une diminution de 66% de l’incidence standardisée des cancers invasifs avait été observée entre 1965 et 2007 (de 24/100 000 à 8/100 000).
La généralisation de la vaccination à l’école en 2010 a été suivie, au contraire, d’une augmentation de l’incidence des cancers invasifs de 7/100 000 en 2006-2009 à 11.5/100 000 en 2014-2015 (p <0.03) et même 13/100 000 en 2021, augmentation que reconnaissent les avocats de cette vaccination qui tentent seulement de nier le lien de causalité avec la vaccination,. L’analyse en break point (recherche du point de rupture) faite par l’agence sanitaire suédoise date l’apparition de cette augmentation en 2011, un an après la généralisation de la vaccination et plaide pour sa responsabilité.
En Norvège, l’incidence des cancers invasifs a augmenté depuis la vaccination
La vaccination HPV a été commencée en automne 2009 pour les Norvégiennes. Contrairement aux articles écrits par des auteurs trop liés aux labos, qui claironnent les bénéfices supposés de la vaccination anti HPV, la consultation du registre norvégien du cancer montre que l’incidence de ce cancer a augmenté depuis la vaccination passant de 12,1/100 000 en 2007-2011 à 13,5 en 2017.
2021 (2 fois plus élevée qu’en France !)
Résultats globaux des vaccinations anti-HPV dans le monde : efficacité sur le virus, inefficacité sur la prévention du cancer
Globalement, dans tous les pays qui l’ont instauré, la vaccination anti-HPV s’est révélée efficace sur les souches de virus visées, les verrues et les dysplasies cytologiques, mais s’est jusqu’ici révélée inefficace (avec 16 ans de recul) sur la fréquence des cancers invasifs.
En 2016, nous avions fait part de nos inquiétudes au président de l’Institut national du cancer (INCa) par courrier privé, et le député Gérard Bapt avait interrogé oralement la ministre de la Santé de l’époque, ne s’attirant comme réponse qu’un « il est trop tôt pour juger ». Et pourtant ce vaccin existait déjà depuis 10 ans à l’époque. De nombreux cris d’alarme avaient été émis depuis de longues années sans effet, par exemple par le Dr de Chazournes.
Six ans plus tard, la situation est toujours aussi préoccupante, alors que la publicité mensongère s’intensifie en France et s’accompagne de déclarations gouvernementales ahurissantes, sans jamais évoquer les problèmes que soulève cette vaccination (inefficacité contre le cancer et effets secondaires possibles).
En France, faible taux de vaccination et faible incidence du cancer invasif du col utérin
En France, la prudence envers cette vaccination explique un taux de vaccination relativement bas par rapport aux pays voisins, qui va de pair avec une incidence standardisée de cancers moindre que chez les champions de la vaccination, tendance qui s’est amorcée dès la généralisation de la vaccination selon les données de l’agence internationale de recherche sur le cancer illustrée par le graphique suivant :
En France, en 2018, l’incidence standardisée monde était de 6,1/100 000 et est depuis passée en dessous de 6/100 000 (seuil définissant les maladies rares, selon l’OMS) alors qu’elle atteint des taux supérieurs dans tous les pays apôtres de la vaccination : 7,1 en Australie, 9 en Grande-Bretagne, 13 en Suède et 13,5 en Norvège.
Pourquoi le président fustige-t-il le faible taux de vaccinées en France au lieu de regretter les taux de cancers invasifs élevés dans les pays adeptes des vaccinations scolaires ? Ses conseillers sont-ils incompétents ou trop liés aux laboratoires pharmaceutiques ? L’ont-ils informé sur les dégâts éventuels de cette injection ? Pourquoi le trompent-ils ?
Des accidents post vaccination graves ont été constatés dans de nombreux pays
En France, le calvaire de Marie-Océane, a mis en évidence les risques neurologiques de ces vaccins liés possiblement à l’aluminium utilisé comme adjuvant et à une prédisposition génétique. Le lien de causalité a été reconnu par les experts et une indemnisation accordée par les juges, retoquée en appel. L’affaire est en cassation.
Les complications post Gardasil ont été rapportées dans de nombreux autres pays (Danemark, Bolivie, Japon, Irlande) où elles ont motivé des manifestations de parents que personne ne peut pourtant qualifier d’antivax, puisqu’ils ont fait vacciner leurs enfants en étant persuadés de bien faire et qu’ils le regrettent après la survenue des complications et des procès aux USA.,,
En août 2022, une commission judiciaire américaine a rendu une ordonnance validant plus de 31 actions en justice intentées contre Merck pour des complications graves survenues après injection de son vaccin Gardasil, et les premières audiences devraient se tenir en avril 2023.
Les poursuites montrent que le géant pharmaceutique a accéléré le processus d’approbation de Gardasil par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis et a mené des essais cliniques trompeurs pour masquer les effets secondaires graves et pour exagérer l’efficacité du vaccin.
L’argument de Merck selon lequel la tenue des procès augmenterait l’hésitation à se faire vacciner et provoquerait un afflux de plaintes « infondées » pour complications dues aux vaccins, n’a pas convaincu la commission.
« La consolidation de tous les cas de blessures liées au Gardasil aux États-Unis dans une seule salle d’audience signifie que chaque enfant et chaque adulte victime du vaccin Gardasil peuvent maintenant plaider leur cause devant un seul juge fédéral ».
Ne vaccinons surtout pas les garçons par le Gardasil !
Le risque de cancer anal possiblement lié aux HPV a été le prétexte de la proposition du CDC américain (qui reçoit des royalties sur les ventes de vaccin) et de la Haute Autorité de santé française (dont beaucoup d’experts ont des liens d’intérêt avec l’industrie pharmaceutique) de vacciner les garçons. Mais ce cancer, exceptionnel (800 cas/an en France), ne menace qu’un groupe très restreint de la population mâle : les homosexuels adeptes de rapports anaux passifs avec de multiples partenaires (74% des cas), et séropositifs au sida (77% des cas), et les personnes souffrant de déficit immunitaires, ce qui ne justifie donc pas une vaccination généralisée des garçons d’autant plus que là aussi l’efficacité contre le cancer anal n’est pas du tout démontrée.
Il existe certes une corrélation statistique entre la présence de HPV et le cancer anal, mais une fois de plus le lien causal n’est pas démontré contrairement au fait d’être homosexuel passif et porteur du virus du sida. Lorsqu’on n’est pas homosexuel passif ni malade du Sida, le risque de cancer anal est infime, même si on est porteur de HPV.
De plus, les exemples de l’Australie, de la Grande-Bretagne et des USA suggèrent l’inefficacité des vaccins anti-HPV contre le cancer anal, car depuis 15 ans, malgré le très fort taux de vaccination chez les filles, leur risque de cancer anal a augmenté 3 à 4 fois plus vite que celle des garçons très peu vaccinés.
Aux USA, la vaccination par Gardasil a été popularisée dès 2008, mais depuis l’incidence des cancers anaux a augmenté plus que dans les précédentes décennies comme le précise le Surveillance and End Results Program (SEER) du National Cancer Institute :
« Les taux ajustés selon l’âge pour les nouveaux cas de cancer anal ont augmenté en moyenne de 2,2% chaque année de 2010 à 2019. Les taux de mortalité ajustés en fonction de l’âge ont augmenté en moyenne de 3,9% par an entre 2011 et 2020. »
En Grande-Bretagne, Cancer Research UK précise ainsi :
« Au cours de la dernière décennie, les taux d’incidence du cancer anal chez les femmes ont augmenté de plus de la moitié (53%) et les taux chez les hommes ont augmenté d’environ un septième (13%). »
On peut donc craindre que ce vaccin anti-HPV favorise paradoxalement l’éclosion d’un cancer anal comme il favorise l’apparition plus précoce et fréquente d’un cancer du col utérin !
Les arguments avancés par la Haute Autorité de Santé pour généraliser ce vaccin chez les garçons sont d’ailleurs révélateurs de l’absence de bénéfice médical démontré pour les garçons et de la volonté de faciliter le passage à l’homosexualité.
Initialement les recommandations visaient seulement les homosexuels mâles et les immunodéprimés :
« La vaccination par GARDASIL 9® (9HPV) est recommandée chez les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH) jusqu’à l’âge de 26 ans et chez les adolescents immunodéprimés ».
Mais le 16 décembre 2019, à la suite d’une saisine de la direction générale de la santé et de la ministre chargée de la Santé, la Haute Autorité de santé (HAS) a élargi ses recommandations à l’ensemble des mâles « pour ne pas stigmatiserdes adolescents ou des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes à un âge où la préférence sexuelle n’est pas connue ou pas affirmée. »
La HAS recommande un vaccin potentiellement dangereux et totalement inutile chez les hétérosexuels pour calmer les angoisses de potentiels homosexuels mâles passifs ou garçons indécis !
En l’état actuel de la science, la prévention pratique du cancer anal repose sur l’utilisation systématique du préservatif (pour éviter la contamination par le virus du sida), la limitation de la fréquence des rapports anaux passifs et peut-être le traitement des lésions précancéreuses par radiofréquence. La vaccination anti HPV, qui confère un faux sentiment de sécurité, risque de favoriser la survenue de la maladie, comme on l’a constaté lors des essais de vaccins contre le Sida.
Un vaccin jugé peu efficace et trop cher par 400 praticiens
Rappelons que la vaccination anti-HPV ne permet pas de se dispenser du dépistage et peut-être justifierait même une fréquence accrue, comme le suggèrent les Suédois. La vaccination ne diminue donc pas le coût de la prévention du cancer, mais l’augmente.
Le coût financier de la généralisation de cette vaccination serait exorbitant, car, avec près de 500 euros le coût de chaque vaccination complète (trois doses plus quatre consultations), il faudrait dépenser environ 400 millions d’euros chaque année sans même pouvoir espérer le moindre résultat avant 15 ans ! En prenant les hypothèses d’efficacité les plus invraisemblables (100% d’efficacité sur 100% des cancers concernés) le coût/efficacité financière atteindrait 200 000 euros par année de vie gagnée ajustée sur la qualité de vie (QALY), alors que la Grande-Bretagne fixe le seuil d’acceptabilité à 30 000 euros par qaly. Un bénéfice très incertain (et potentiellement négatif) pour un coût colossal, totalement disproportionné de plus en cette période de déficit budgétaire.
Comme le souligne Bijan Esfandiari, avocat spécialisé dans les litiges en matière de responsabilité du fait des produits pharmaceutiques et associé principal chez Wisner Baum à Los Angeles :
« le moyen le plus efficace et sans effets secondaires pour prévenir le cancer du col de l’utérus est le test de Papanicolaou.
Des études montrent que les jeunes femmes qui ont reçu du Gardasil ont un faux sentiment de sécurité et renoncent aux frottis vaginaux de routine. Les données ont également montré que, dans les pays où l’utilisation du Gardasil est élevée, les taux de cancer augmentent chez les jeunes femmes, pour un cancer qui apparaît généralement lorsque les femmes atteignent la cinquantaine et la soixantaine. Il y a quelque chose qui ne va pas ici et nos enfants ne devraient pas être soumis à une obligation de l’État qui les transforme en cobayes et les expose à un risque accru de contracter la maladie même si on leur dit que ce vaccin la prévient. »
On peut conseiller à Monsieur le Président de ne plus croire des conseillers incompétents ou corrompus qui le décrédibilisent, et de vérifier personnellement les données officielles des pays qui ont généralisé le Gardasil. Il constatera qu’il ne faut pas promouvoir cette vaccination efficace sur l’infection et les verrues, mais inefficace contre les cancers, hors de prix et dont les dangers conduisent actuellement à de nombreux procès aux USA.
Dans l’état actuel de la science, il ne faut vacciner ni filles ni garçons avec le Gardasil !
source : Nicole Delépine
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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