Revue de presse de la semaine du 13 mars

Revue de presse de la semaine du 13 mars

Réinfo Covid Québec a décidé de publier chaque semaine une revue de presse de la COVID-19. Elle rapporte différentes nouvelles peu ou pas traitées par les médias et permet donc de se forger une opinion différente de la crise sanitaire et démocratique que nous vivons.

Voici le programme :

  • Origines de la COVID-19
  • Affaire Fauci
  • Les Lockdown Files résumés
  • Les livres à se procurer
  • L’ADN plasmidique
  • Des composants dangereux dans les injections
  • Changement de discours?
  • L’analyse des documents de Pfizer le prouve : Les « théoriciens du complot » avaient raison
  • COVID : une étude suédoise montre un taux de mortalité de 1/100 000
  • Montana, USA : un projet de loi pour interdire les dons de sang des vaccinés contre le COVID-19
  • Hause de 20 000% des congés maladie après vaccination en Allemagne
  • La protection des « vaccins bivalents » chute au bout de 2 mois

 

Audition sur les origines du COVID : Déclaration préliminaire de Robert Redfield, ancien directeur du CDC

« Sur la base de mon analyse initiale des données, j’en suis venu à croire, et je le crois encore aujourd’hui, que le COVID-19 était plus probablement le résultat d’une fuite accidentelle en laboratoire que le résultat d’un débordement naturel.

« Je suis d’avis que nous devrions demander un moratoire sur la recherche sur le gain de fonction jusqu’à ce que nous ayons un débat plus »

Voir aussi CNN Health, 8 mars 2023 et L’ancien directeur des CDC témoigne à l’audience de la Chambre sur les origines de la COVID-19 | vidéo complète sur YouTube

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Anthony Fauci a caché la vérité sur le COVID, jusqu’à aujourd’hui (Fox News, 8 mars 2023)

Le Dr Anthony Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et maladies infectieuses (NIAID), un centre de recherche du département américain de la Santé, a fait des pieds et des mains pour changer le discours sur les origines du COVID. Aujourd’hui, il a été démasqué par un témoignage lors d’une audition à la Chambre des représentants.

Le Dr Anthony Fauci avait toutes les raisons de dissimuler la vérité.

Des documents montrent qu’il a joué un rôle essentiel dans l’acheminement, par l’intermédiaire d’un tiers, d’environ 600 000 dollars d’argent public au laboratoire de Wuhan, en Chine, où le virus mortel COVID pourrait bien s’être répandu. Ces fonds étaient destinés à de dangereuses recherches sur le gain de fonction, qui peuvent transformer un virus en une « superbactérie » mortelle.

Mercredi, le Dr Robert Redfield, virologue expérimenté qui a été directeur des Centers for Disease Control and Prevention, a déclaré lors d’une audition au Capitole qu’ »il n’est pas scientifiquement plausible » que le virus soit né chez les animaux ou les chauves-souris et qu’il se soit ensuite propagé à l’homme.  

Fauci le savait parce que M. Redfield et quatre autres experts compétents le lui avaient dit. Mais Fauci – immunologiste et non virologue – craignait que sa complicité présumée dans l’ingénierie du virus ne soit révélée. Il était déterminé à étouffer les preuves de la fuite du laboratoire et, à la place, à colporter la théorie de l’origine naturelle auprès du public. Il « voulait un récit unique », a déclaré M. Redfield. Ce récit « inexact » semble être une tentative de se disculper dans la catastrophe la plus meurtrière de l’histoire provoquée par l’homme. C’EST LE PLUS GRAND SCANDALE DE L’HISTOIRE AMÉRICAINE.

Mais ce n’est pas tout. Des enregistrements récemment révélés montrent que Fauci a été de connivence avec les plateformes de médias sociaux pour supprimer les messages qui soulevaient la validité de la théorie des fuites de laboratoire et discréditer quiconque osait remettre en question son récit artificiel.

Le fait de mentir intentionnellement sous serment au Congrès à propos d’une question importante constitue un crime de parjure (18 USC 1621). Le fait de faire des déclarations sciemment fausses et trompeuses lors d’un témoignage (18 USC 1001) est un délit équivalent, que la personne soit ou non sous serment. Ces deux délits sont passibles de la même peine, qui peut aller jusqu’à cinq ans d’emprisonnement en cas de condamnation. (voir plus sur Fox News à propos de A. Fauci).

Quand on pense que juste soulever l’hypothèse de la fuite de laboratoire il y a encore quelques semaines était « complotiste »… Ceux qui nous taxent de complotistes, « journalistes » et autre « fact checkers » doivent au plus vite donner leur démission et on ne doit plus les entendre.

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Révélations fracassantes sur le Covid : les Lockdown Files et l’affaire Fauci !

Dans ce vidéo percutant, Nicolas Dupont-Aignan, Député de l’Essonne et Président du parti politique « Debout la France » résume l’affaire des Lockdown Files, 100 000 documents qui révèlent comment le gouvernement britannique à instrumentalisé la COVID pour faire peur (« fear factor ») à la population et imposer des confinements… alors qu’elle savait que le virus était très peu dangereux pour l’immense majorité de la population.

On notera que la fuite est venue de la journaliste Isabel Oakeshott qui a obtenu les documents de la part de Matt Hancock lui-même alors qu’ils collaboraient à ses mémoires. Matt Hancock est l’ancien ministre de la Santé britannique.

« Il me semblait qu’il n’y avait vraiment pas d’autre option que de les exposer. Pouvez-vous imaginer un journaliste digne de ce nom, ignorant de tels documents? » dit-elle. Il resterait donc quelques rares journalistes? Il est cependant à noter qu’elle a reçu les documents, elle n’a pas enquêté ni réalisé aucune démarche particulière pour lui parvenir. Encore heureux qu’elle ait décidé de les « exposer ».

  • Rappel des faits: Le 04 mars 2023, le Daily Telegraph a dévoilé des milliers de messages WhatsApp (+ de 100 000) mettant directement en cause Boris Johnson et son ministre de la Santé, Matt Hancock, concernant la gestion du Covid-19 au Royaume-Uni.
  • Dans certains messages divulgués, le ministre ne se cache pas d’avoir utilisé la peur et la culpabilité pour imposer les confinements, déclare notamment qu’il veut que les britanniques « fassent dans leur pantalon », demande le meilleur moment pour annoncer le prochain variant (alpha), ce qui aura pour conséquence que cinq jours plus tard, Boris Johnson annoncera que les familles ne pourraient plus se réunir pour Noël. Puis le 6 janvier 2021, l’Angleterre était plongée dans un troisième verrouillage.
  • Hancock ira même jusqu’à déclarer que « Bill Gates lui en doit une au vu du nombre de personnes à qui il a fait injecter ses puces« .
  • Pas de panique, ce dernier message a été fait sur le ton de la boutade selon The Telegraph.

Source : Anaïs Tea

Cela s’ajoute aux Twitter Files lâchés par Elon Musk lorsqu’il a racheté la compagnie : des documents internes montrent que l’administration américaine (services secrets, Maison blanche, départemetn d’État, ministère de la Défense, etc.) a fait pression sur Twitter pour faire de la censure à propos du COVID19. On imagine sans peine que c’est la même chose avec les autres réseaux sociaux… et les médias subventionnés.

De tout cela, dans la presse belge, canadienne ou française, quasiment pas de son, pas d’image ! », constate Guillaume Bigot, essayiste, politologue et éditorialiste à CNEWS sur Sud Radio.

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Livres à se procurer

  • Le livre d’Alexandra Henrion-Caude, Les apprentis sorciers, vient de sortir en France. À se procurer absolument pour comprendre ce qu’est l’ARN. En attendant, vous pouvez écouter la présentation de son livre à Sud Radio : « Toutes les vérités sur le covid n’ont pas encore été dites ! » (Sud Radio Bercoff dans tous ses états, 9 mars 2023).
  • Covid 19, ce que révèlent les chiffres officiels, de Pierre Chaillot. Indispensable pour réaliser que les propres données de la Santé publique, en dépit de nombreuses manipulation, montrent ce que les « complotistes » disent depuis le début, à savoir que la COVID n’est pas la nouvelle peste et ne justifiait en aucun cas toutes les mesures « sanitaires » mises en place. L’ « efficacité » des « vaccins » en prend aussi un coup.

  • Antivax toi-même ! de Xavier Bazin, qui réalise notamment une rétrospective de la vaccination depuis ses débuts et montre que la réalité est bien différente de celle que l’on veut nous faire croire, à savoir que les « vaccins sont surs et efficaces ». Comme exemple, on lira à ce sujet cet article de la presse subventionnée datant de 2011 et qui mettait en garde contre le Gardasil… vaccin qu’Emmanuel Macron veut aujourd’hui rendre obligatoire! On notera pour la petite histoire que suite à une étude publiée dans The Lancet… et financée par Merck, le fabricant lui-même, le journal a viré de bord et affirme alors que le vaccin est efficace à 90%! Ca ne vous rappelle rien?!! On apprend notamment que dans cette étude, les chercheurs ont comparé en fait des vaccinés avec le nouveau vaccin… et avec l’ancienne version (qui avait un taux d’effets indésirables graves de 23,4 par 100 000, ce qui est énorme), ce qui explique que ce succès. Qu’aurait-on découvert face à un placebo, qui en principe n’a pas d’effets secondaires?

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Les vaccins à ARNm contiennent de l’ADN plasmidique susceptible de transformer les cellules humaines en usines de protéines spike à long terme – Étude (Nepetalactone Newsletter, 15 févr 2023 (voir résumé dans The Daily Sceptic, 1 mars 2023)

Les vaccins Covid à ARNm de Pfizer et Moderna contiennent des milliards de particules d’ADN autoréplicateur qui pourraient transformer les cellules humaines en usines à long terme pour la protéine de pointe COVID-19, selon une étude.

Ce résultat devrait permettre de mieux comprendre la persistance de la protéine spike et de l’ARNm du vaccin dans l’organisme pendant des mois après l’inoculation, un phénomène inquiétant qui n’a pas été entièrement expliqué jusqu’à présent – bien que des expériences antérieures aient également montré que l’ARNm du vaccin pouvait être transcrit à l’envers dans l’ADN cellulaire.

Les experts estiment que la persistance de la protéine spike contribue aux effets indésirables des vaccins COVID-19 en provoquant des attaques auto-immunes sur le cœur et d’autres organes, entre autres mécanismes.

Cette découverte a été faite lors du premier séquençage en profondeur des produits ARNm, réalisé par le Dr Kevin McKernan de Medicinal Genomics et son équipe.

Le vaccin Moderna contenait un plasmide pour 3 000 molécules d’ARNm, tandis que le vaccin Pfizer était dix fois plus contaminé, avec un plasmide pour 350 molécules d’ARNm. L’Agence européenne des médicaments fixe le niveau « sûr » pour ces contaminants de l’ADN double brin à l’équivalent d’une partie pour 3 000 molécules d’ARNm – bien que les chercheurs notent qu’il n’est « pas clair comment ils ont fixé ces normes » ou s’ils « ont pris en compte l’ADN contaminant capable de s’amplifier à l’intérieur de l’hôte ».

Moderna respecte ce seuil de « sécurité », mais Pfizer le dépasse d’un facteur 10. Les chercheurs ajoutent que dans les deux cas, cela « équivaut à des milliards de plasmides résistants aux antibiotiques injectés par personne et par injection ». Et ce, avant qu’ils ne se reproduisent : « Des milliards de ces contaminants par injection sont probablement une sous-estimation de la charge totale car ces plasmides peuvent s’auto-répliquer dans les hôtes bactériens. »

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La FDA et l’EMA ont sciemment autorisé des Composants Dangereux dans les Vaccins de Pfizer (ZeroHedge.com le 21 février 2023 et The Epoch Times, 19 février 2023)

On y retrouve notamment des fragments d’ARNm que l’on peut appeler les « ARNm tronqués ».

La question de l’ARNm tronqué a conduit l’Agence européenne des médicaments (EMA) à soulever une « objection majeure » avant son approbation conditionnelle du vaccin en décembre 2020. Que s’est-il passé ? Comment ces problèmes ont-ils été considérés comme résolus ? Cet article de la série en deux parties abordera la question en profondeur et examinera ses conséquences potentielles pour la santé humaine.

Lire les détails ici.

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Changement de discours?

Le fameux « changement de discours », on l’attend depuis longtemps. En principe il ne peut pas arriver car la presse s’est trop commise. Mais on veut y croire, notamment car les choses commencent à bouger à l’étranger.

En Allemagne, Der Spiegel, l’un des journaux subventionnés les plus réputés s’excuse et « admet avoir échoué dans son rôle de quatrième pouvoir lors de la couverture de la pandémie ».

Il prouve par le fait même que le « 4e pouvoir » n’a jamais existé.

Aux USA, Newsweek publie une lettre de Scott W. Atlas, MD, chercheur principal en politique de la santé à la Hoover Institution de l’Université de Stanford, codirecteur du Global Liberty Institute, membre fondateur de l’Académie des sciences et de la liberté de Hillsdale, qui reconnait 10 mensonges officiels sur la COVID :

Voici les dix plus grandes faussetés – dont on sait depuis des années qu’elles sont fausses, et dont on n’a pas appris ou prouvé récemment qu’elles l’étaient – véhiculées par les responsables américains de la santé publique, les élus et les non-élus, ainsi que par des universitaires aujourd’hui discrédités :

    1. Le coronavirus SARS-CoV-2 a un taux de mortalité bien plus élevé que celui de la grippe, de plusieurs ordres de grandeur.
    2. Tout le monde court un risque important de mourir de ce virus.
    3. Personne ne dispose d’une protection immunologique, car ce virus est totalement nouveau.
    4. Les personnes asymptomatiques sont les principaux vecteurs de la propagation.
    5. Le confinement – fermeture des écoles et des entreprises, confinement des personnes à leur domicile, arrêt des soins médicaux non COVID et suppression des voyages – permettra d’arrêter ou d’éliminer le virus.
    6. Les masques protégeront tout le monde et arrêteront la propagation.
    7. On sait que le virus est d’origine naturelle, et prétendre qu’il est né dans un laboratoire relève de la théorie du complot.
    8. Les enseignants sont particulièrement exposés.
    9. Les vaccins COVID arrêtent la propagation de l’infection.
    10. La protection immunitaire ne peut provenir que d’un vaccin.

Y-t-il quelque-chose à espérer de tout cela? Malheureusement non. Médias, scientifiques et politiques sont tous coupables. Comment espérer alors qu’émerge la vérité? La solution ne peut venir que de personnes qui étaient hors du système. Mais celles-ci n’arriveront jamais aux postes décisionnels.

La seule solution est de détruire le système existant et de tout rebâtir. Ce n’est pas impossible, c’est ce qui a été fait en Europe après la 2e guerre mondiale. Nous avons cependant le devoir moral de faire mieux car hélas, ces efforts ont fini par être dévoyés, ce qui mène à la situation actuelle.

 

L’analyse des documents de Pfizer le prouve : Les « théoriciens du complot » avaient raison (Report 24, 7 mars 2023)

Une preuve d’ »un énorme crime contre l’humanité » : c’est ainsi que le nouveau livre « Pfizer Documents Analysis Reports » est décrit dans la préface. Il s’agit d’un recueil d’analyses des documents Pfizer, dont la FDA avait initialement voulu retarder la publication de 75 ans : Une équipe de 3 500 volontaires autour de Naomi Wolf et Steve Bannon a évalué les documents explosifs et en a tiré un bilan désastreux. Un résumé librement disponible de seulement 16 résultats critiques le montre déjà : de nombreuses théories dites de la conspiration autour du vaccin ARNm peuvent être confirmées par les documents officiels.

Efficacité

#1 : Moins de 50 pour cent.

#2 : Effets indésirables dès l’introduction

Sécurité

#3 : Point d’injection.

Contrairement aux déclarations publiques de Pfizer et de la FDA, tous deux connaissaient les données montrant que les composants du vaccin migrent du site d’injection à travers la circulation sanguine, franchissent des barrières sang-organe importantes (notamment dans le cerveau, les testicules et les ovaires) et continuent à produire des protéines spike nocives pendant une durée indéterminée.

#4 : Besoin de personnel supplémentaire.

Pfizer ne s’attendait pas à ce qu’il y ait plus de 158.000 rapports individuels d’événements indésirables au cours des 12 semaines de lancement du vaccin. Pfizer a dû recruter une troupe de 2 400 collaborateurs supplémentaires à temps plein pour gérer le nombre de cas. Malgré ce personnel supplémentaire, Pfizer n’a pas été en mesure de déterminer de manière définitive les dommages causés par le vaccin chez plus de 20.000 personnes.

#5 : Bébés morts.

Lorsque Pfizer a examiné les événements indésirables survenus au cours des 12 premières semaines d’introduction du vaccin, 270 femmes enceintes ont signalé un dommage lié à la vaccination. Mais Pfizer n’a enquêté que sur 32 de ces cas, dans lesquels 28 des bébés sont décédés. Cela correspond à un taux de mortalité fœtale choquant de 87,5 %.

#6 : Les mères qui allaitent.

Les données réelles de Pfizer ont montré une série d’effets secondaires du vaccin chez les mères allaitantes, et chez les nourrissons des vomissements infantiles, de la fièvre, des inflammations cutanées, de l’agitation, des réactions allergiques. En outre, les mères allaitantes ont présenté des paralysies partielles, une suppression de la lactation, des douleurs mammaires, des migraines et une coloration bleu-vert du lait maternel.

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COVID : Mortalité de 1/100 000

D’après Didier Raoult, que l’on ne présente plus, une étude montre que la mortalité en Suède du covid chez les personnes de 15/45 ans est de 1/10 000 sujets infectés au cours d’une épidémie qui a touché 10% de la population, soit 1 mort/100 000 habitants. D’après le célèbre chercheur français, aucun vaccin ne peut montrer un avantage sur une si faible mortalité. (Didier Raoult, Twitter, 7 mars 2023)

Étude : Annika Rosengren, et al. COVID-19 in people aged 18–64 in Sweden in the first year of the pandemic: Key factors for severe disease and death. Global Epidemiology, Volume 4, 2022, 100095, ISSN 2590-1133, https://doi.org/10.1016/j.gloepi.2022.100095.

 

Montana, USA: un projet de loi pour interdire les dons de sang des vaccinés contre le COVID-19

NBC, Montana (donc la presse subventionnée) rapporte que le législateur américain Greg Kmetz veut faire passer une loi qui interdirait les transfusions sanguines de la part des personnes vaccinées dans le Montana. Il s’explique ainsi :

Une personne ne peut pas donner sciemment du sang contenant des protéines altérant les gènes, des nanoparticules, des protéines de pointe ou d’autres isolats introduits par des vaccins à ARNm ou à ADN, des chimiothérapies à ARNm ou à ADN, ou d’autres biotechnologies pharmaceutiques nouvelles à ARNm ou à ADN. 

Ce qui est incroyable est que la commission a voté le dépôt du projet de loi par 19 voix contre 1.

Les « complotistes » qui veulent créer un réseau de sang « non-contaminé » sont-ils si fous?

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Effets indésirables en Allemagne : 20 000 % (ou 213 x plus) d’augmentation des congés de maladie après vaccination (AUF1.INFO, 8 mars 2023)

Les codes de diagnostic montrent une explosion des arrêts maladie après la piqûre.

L’augmentation a été observée grâce aux codes CIM, qui codifient différents diagnostics. Par exemple, « T88.0 » correspond à une infection ou une septicémie après la vaccination, « T88.1 » à « Autres complications » et « Y59.9 » à « Effets indésirables liés à l’utilisation thérapeutique de vaccins ou de substances biologiquement actives ».

Dans les années précédant les vaccinations anti-covid, le nombre d’arrêts maladie avec de tels diagnostics après une vaccination était relativement faible puisqu’il y avait moins de 6 000 déclarations par an dans toute l’Allemagne. De 5 834 cas en 2020, le nombre de victimes du vaccin a explosé à plus d’un million en 2021.

 

La protection conférée par les nouveaux vaccins bivalents COVID-19 chute brutalement en quelques mois selon un rapport du CDC. (NTD, 24 février 2023)

Selon les chercheurs des Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC), un rappel bivalent Pfizer ou Moderna augmente initialement de 52 % la protection contre l’hospitalisation, mais cette protection tombe à 36 % au-delà de 59 jours.

Les chercheurs ont examiné séparément la protection des personnes qui avaient reçu au moins deux doses monovalentes, c’est-à-dire des doses des vaccins originaux, et aucun rappel bivalent. Ils ont constaté que les personnes âgées de 18 à 64 ans n’avaient qu’une protection de 19 % contre l’hospitalisation et que celles âgées de 65 ans et plus n’avaient qu’une protection de 28 %.

Les autorités américaines se préparent à remplacer tous les vaccins originaux de Pfizer et Moderna par le bivalent. Les conseillers de la Food and Drug Administration (FDA) ont appuyé cette décision lors d’une récente réunion, et les conseillers du CDC se sont accordés jeudi à dire qu’il s’agissait d’une bonne décision.

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Les milliards de masques utilisés depuis le début de la pandémie menacent la faune (The conversation, 7 mars 2023)

On savait qu’ils sont inutiles et toxiques, en plus d’être dangereux pour la faune.

Quand arrête-on cette folie?

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QUESTIONNER - COMPRENDRE - AGIR Collectif de soignants, médecins et citoyens réunis autour d’une idée : le besoin d’une politique sanitaire juste et proportionnée au Québec et ailleurs dans le monde…

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