par AIMSIB
Les révélations s’enchaînent autour de ce dossier terrible et voici presque venir le fin du fin, Marceau s’attaque aujourd’hui à cette allégation célèbre selon laquelle ce vaccin diminue la fréquence des cancers : il est probable que vous n’allez pas beaucoup aimer la suite. Un vaccin anticancer qui donne des cancers, c’est possible ? Mais ça, c’est déjà prouvé et c’est ici. Bonne lecture.
Pas d’étude préalable démontrant l’efficacité du Gardasil
Plus de 200 souches de papillomavirus humain (PVH) ont été identifiées et environ 40 d’entre elles « pourraient » causer le cancer, y compris le cancer du col de l’utérus, du pénis, de la bouche, du vagin, de la vulve et de l’anus. Parmi ceux-ci, le cancer du col de l’utérus est le type le plus courant de cancer attribué au PVH. Certaines souches sont également responsables des verrues génitales.
90% des infections au PVH disparaissent d’elles-mêmes sans traitement (*) car un système immunitaire qui fonctionne bien permet de contrôler le virus. Dans de rares cas cependant, une infection par un PVH à haut risque qui reste non traitée et non contrôlée peut se transformer en cancer.
Étant donné que l’infection par le PVH produit rarement des symptômes jusqu’à ce qu’elle devienne cancéreuse, il est conseillé aux femmes d’effectuer au moins un dépistage tous les trois à cinq ans, ce qui permettra d’identifier la présence du PVH et de le traiter.
Afin de convaincre les régulateurs et les responsables de la santé publique d’homologuer le Gardasil, Merck a menti sur l’efficacité du vaccin en annonçant à tort que le Gardasil prévenait le cancer du col de l’utérus. Aucune étude crédible ne démontre que le Gardasil prévienne le cancer du col de l’utérus.
Merck ne voulait pas investir le temps ou l’argent nécessaire pour effectuer des tests et a persuadé les régulateurs de lui permettre d’utiliser des « paramètres de substitution » pour étayer sa théorie selon laquelle les vaccins contre le PVH seraient efficaces pour prévenir le cancer du col de l’utérus.
L’utilisation de ces paramètres de substitution a permis à Merck de raccourcir les essais cliniques à quelques années et d’obtenir des approbations réglementaires pour les vaccins sans aucune preuve que les vaccins préviendraient le cancer à long terme.
En 2006, le premier vaccin contre le PVH, Gardasil, a été homologué ; d’abord en Europe en février suivi des États-Unis en juin.
En effet, l’EMA l’a approuvé avant la FDA, assez rare pour être souligné,.
Lorsque le Gardasil a été introduit pour la première fois, la chercheuse sur le PVH, le Dr Diane Harper, a prédit qu’il faudrait 60 ans de vaccination d’au moins 70% de toutes les filles de 11 ans pour réduire les taux de cancer du col de l’utérus aux États-Unis.
Mais en janvier 2020, une étude du Royaume-Uni a soulevé des doutes importants quant à savoir si le vaccin Gardasil prévenait le cancer du col de l’utérus, comme le prétend Merck. L’étude souligne le fait qu’il n’a jamais été prouvé que le Gardasil prévient le cancer du col de l’utérus (ou tout autre type de cancer).
À noter qu’en France les dépistages étaient effectués tous les 36 mois car il est connu que l’écrasante majorité de ces lésions guérissent spontanément dans cet intervalle de temps. Mais depuis l’arrivée du Gardasil, les autorités de santé ont changé la fréquence de dépistage pour passer à 24 mois.
La suite, vous la connaissez :
Il y a plus de lésions à PVH et, à partir de là, on vous raconte qu’il y a donc plus de cancers du col de l’utérus pour justifier la vaccination Gardasil.
Qui a bien pu demander ce changement de calendrier de dépistage ?
Merck bien sûr ! Ils sont tous corrompus, à tous les étages, c’est effrayant ! Observons que Merck lui-même recommande de continuer les frottis de dépistage qui sont aujourd’hui reconnus encore comme étant la meilleure prévention contre le cancer du col de l’utérus.
C’est un peu comme le vaccin magique ARNm que tout le monde doit prendre pour être protégé des formes graves en plus du masque, de la distanciation sociale, du gel hydroalcoolique. Et contre les formes graves, il faut en plus le Paxlovid ! Bande de clowns !
En 2013, un groupe de chercheurs met en garde contre la supercherie :
Le vaccin a été salué comme une percée qui réduirait les taux de cancer du col de l’utérus mais, dans le monde réel, il a largement échoué. Au contraire, le Gardasil est désormais suspecté d’AUGMENTER le risque de développer un cancer du col de l’utérus !
Plusieurs études (dont une du CDC qui a toujours soutenu le vaccin jusqu’à présent) ont montré qu’en supprimant certaines souches de PVH, les vaccins Gardasil créent une niche écologique pour d’autres souches jusque-là « plus faibles » qui, tout d’un coup, se retrouvent avec le champ libre pour se multiplier et pouvant entraîner d’autres cancers.
Les données de santé publique semblent étayer la conclusion selon laquelle le Gardasil pourrait augmenter le taux de cancer du col de l’utérus.
- Après l’introduction du vaccin contre le PVH en Grande-Bretagne, les taux de cancer du col de l’utérus chez les jeunes femmes âgées de 25 à 29 ans ont augmenté de 54%.
- En Australie, 13 ans après la sortie du Gardasil et son introduction chez les adolescentes, il y a eu une augmentation de 16% chez les femmes de 25 à 29 ans et de 30% chez les femmes de 30 à 34 ans.
Pendant ce temps, grâce au dépistage, les taux diminuent pour les femmes plus âgées (qui n’ont pas été vaccinées). En d’autres termes, le Gardasil peut augmenter le risque de cancer en permettant à d’autres virus PVH de prendre la place (phénomène de remplacement) de ceux que le Gardasil est censé inhiber.
Ce sera l’un des nœuds des procès de certaines victimes qui déposent une plainte contre le vaccin Gardasil aux États-Unis.
Propagande, propagande….
La propagande des politiques corrompus continue pourtant de marteler que l’Australie aurait éradiqué le cancer du col de l’utérus grâce au Gardasil alors qu’il est impossible d’affirmer une telle chose. Il faudrait des décennies avant de pouvoir s’en rendre compte car ces cancers ne concernent pas les jeunes mais moins de 1% des femmes autour de 60 ans. Alors sur quoi se basent-ils ?
Bah oui, sur des modélisations mathématiques, pas sur des chiffres réels. Simulation publiée dans le Lancet en 2018, encore ce journal de malheur !!!
Pourtant, la réalité a la vie dure car cet objectif d’éradication ne fait qu’être reporté : en 2021, l’OMS publiait un tableau de bord prédisant l’éradication de ce cancer en 2030 :
Mais les dernières prédictions reportent cet objectif à 2035 !
On se marre, quel niveau d’escroquerie !
Aujourd’hui, bientôt 17 ans après l’introduction du vaccin Gardasil, on observe un « pic inquiétant » des taux de cancer du col de l’utérus à travers les pays les plus vaccinés avec des taux de vaccination pouvant aller jusqu’à 80%.
En 2019, 73% des adolescentes avaient reçu une dose et 57% avaient reçu les deux doses dans la série.
Comme indiqué dans le numéro de décembre 2022 de l’International Journal of Gynecological Cancer.
En 2018, un article revu par les pairs est publié sur l’explosion des cancers du col de l’utérus en Suède et les auteurs l’ont liée directement à la vaccination contre le PVH. Cet article a été rétracté dans la foulée !
Ce paradoxe s’explique par le phénomène de remplacement introduit plus haut
Les souches initialement associées au cancer du col de l’utérus ayant été remplacées, chez les vaccinés, par de nouvelles souches jusque-là contrôlées par le système immunitaire.
Malgré ces observations inquiétantes et les questions persistantes sur son efficacité, l’establishment médical salue toujours le vaccin contre le PVH comme un succès, prétendant que les cancers du col de l’utérus associés aux souches vaccinales auraient diminué.
Depuis 2006, les cancers associés aux quatre souches de PVH incluses dans le vaccin quadrivalent original semblent avoir diminué de 88% chez les 14 à 19 ans et de 81% chez les femmes âgées de 20 à 24 ans. Mais uniquement 14 cas de cancer du col de l’utérus/an se produisaient chez les femmes âgées de 15 à 19 ans avant l’introduction du vaccin !
Ce qui signifie qu’une baisse de 88% n’est pas si impressionnante surtout que les taux ont aussi diminué chez les femmes non vaccinées.
La baisse n’est donc pas « entièrement » due au vaccin mais aux campagnes de dépistage beaucoup plus efficaces.
En outre, lorsqu’on examine les cancers liés au PVH en général, sans tenir compte de la souche, les taux ont augmenté régulièrement depuis l’introduction du vaccin.
Comme l’a rapporté la Kaiser Family Foundation (KFF) en juillet 2021 :
« Les cancers liés au PVH ont considérablement augmenté au cours des 15 dernières années – en 2015, 43 000 personnes ont développé un cancer lié au PVH contre 30 000 en 1999. »
Les cancers oraux et anaux liés à l’infection par le PVH ont également augmenté. Alors que le cancer du col de l’utérus était le cancer associé au PVH le plus répandu, les cancers de la bouche sont désormais les plus courants alors qu’ils étaient quasi inexistants avant l’introduction du Gardasil, ! Pourquoi ?
Le vaccin contre le PVH augmente le risque de cancer dû à d’autres PVH qui touchent plus les hommes et donc la réponse est de vacciner les adolescents aussi !
La principale cause de cette augmentation continue semble être l’augmentation des cancers associés aux souches non vaccinales. En effet, de nouvelles preuves suggèrent que la vaccination contre le PVH rend les femmes plus sensibles que leurs homologues non vaccinées aux génotypes de PVH non couverts par le vaccin.
Ainsi, essentiellement les femmes qui ont reçu le vaccin viennent d’échanger un risque contre un autre, tel que rapporté par Medscape. Grrrrr !!!
« Les données proviennent de l’essai de vaccin contre le PVH au Costa Rica, qui a impliqué plus de 10 000 femmes âgées de 18 à 25 ans. Le vaccin contre le PVH utilisé dans l’essai était Cervarix, de GlaxoSmith Kline (2ème vaccin contre le PVH disponible en France). Il couvre les deux principales causes de cancer du col de l’utérus, les PVH 16 et 18, et offre une protection partielle contre trois autres génotypes. Après un suivi de 11 ans, chez les femmes vaccinées, il y avait un excès de lésions cervicales précancéreuses causées par des génotypes non inclus dans le vaccin, entraînant une efficacité vaccinale négative pour ces variantes du PVH… Les résultats sont probablement la première preuve à ce jour d’un « démasquage clinique » (ou phénomène de remplacement) avec la vaccination contre le PVH, ce qui signifie que la protection contre les souches couvertes par le vaccin rend les femmes plus sujettes aux attaques d’autres variantes cancérigènes du PVH. »
Ces résultats ont été publiés dans le Lancet Oncology du 1er juillet 2022 avec toujours la même conclusion, comme pour les injections COVID19, il faut continuer à vacciner avec ces poisons inutiles !
Le phénomène de remplacement connu par Big Pharma
Ce « phénomène de remplacement » est précisément ce qui s’est passé avec le vaccin antipneumococcique. À chaque fois qu’une souche prend le dessus à la suite de la disparition d’une souche réduite par un vaccin, les fabricants de vaccins au lieu de retirer leurs vaccins, y rajoutent les souches devenues dangereuses À CAUSE de leur vaccin initial.
La même chose se passe maintenant avec le vaccin contre le PVH.
Le Gardasil a commencé avec 4 souches en 2006, pour être mis à jour avec 5 souches de plus en 2014 sans jamais expliquer au public pourquoi ces 5 nouvelles souches initialement bénignes (HPV31, 33, 45, 52 et 58) y ont été ajoutées. Et gardez en tête qu’il y a 200 souches différentes de PHV !
Comme disait Sylvestre des « guignols de l’info », le but est de toujours « vendre encore plus de vaccins ». Big Pharma et les corrompus gagnent toujours !
Ne manquez pas la petite vidéo ci-dessous.
La seule réponse à cela est de dire NON et de les exposer !
Note :
Le Cervarix de GSK, un autre vaccin contre le PVH (il couvre lesdites deux principales causes de cancer du col de l’utérus, les PVH 16 et 18), est disponible en Europe et dans d’autres parties du monde mais, depuis 2017, Gardasil® 9 est le seul vaccin contre le PVH approuvé pour une utilisation aux États-Unis.
Donc, malgré la faible prévalence des cancers du col de l’utérus (le risque pour une femme d’être diagnostiquée d’un cancer du col de l’utérus n’est que de 0,7% aux USA !), l’OMS et Bill Gates poussent comme des dingues pour faire vacciner toutes les adolescentes surtout avant qu’elles ne puissent être en âge de procréer.
Tout comme pour les injections COVID-19, ces vaccins touchent à la fertilité des femmes et des hommes très probablement aussi. Comment peut-on faire prendre un tel risque pour un bénéfice plus que douteux et qui n’en vaut pas la peine de toute façon ? Une bande de criminels !
Enfin, les propres données de Merck ont montré que l’administration du vaccin Gardasil aux filles qui avaient déjà été exposées au PVH augmentait en fait leur risque de développer des lésions précancéreuses (ou pire) de près de 45%.
Comment vont-ils pouvoir prouver que nos enfants n’ont jamais été infectés par le PVH avant de les injecter ?
Se sont-ils juste posés la question ?
Non, car tout n’est ensuite que fric et corruption !
source : AIMSIB
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