Introduction.
Les évènements s’enchainent de plus en plus rapidement. Nos repères s’estompent, sous une forte pression médiatique. Nous sentons confusément que quelque chose de sombre va arriver. Pourtant, nous sommes entrés dans les temps de l’apocalypse, c’est-à-dire, les temps du dévoilement, de la vérité.
Deux anciens amis, que les fidèles lecteurs de ce blog connaissent bien, se joignent à moi pour décrypter différents faits d’actualité de manière succincte. Il s’agit du démystificateur de sophismes économiques, Frédéric BASTIAT et de mon poète préféré, Alex ANDRIN.
Mes billets s’articulent en trois parties. Les deux premières, à la manière de « l’ami Frédéric », avec son célèbre : « Ce que l’on voit et ce que l’on ne voit pas ». La troisième partie est réservée à la vision de « l’ami Alex ».
CE QUE L’ON VOIT
Dans le monde du journalisme d’investigation, la technique de l’infiltration de « la cible » sur laquelle on enquête, est courante. Aujourd’hui, l’image a pris une place prépondérante dans les médias grand public. Cela amène parfois les investigateurs, à recourir à une autre technique, elle aussi éprouvée, celle de la caméra cachée.
Maintenant que le décor est planté, passons aux acteurs de cette saga, oh combien , révélatrice. La cible n’est autre que le laboratoire pharmaceutique PFIZER. Pour ce qui est de l’investigateur, c’est une organisation américaine, à but non lucratif, du nom de « Project Veritas ».
Elle est connue pour faire un travail de fond dans l’infiltration des organisations gouvernementales et autres lobbys, afin de démontrer leurs intentions partisanes et souvent mensongères. Projet Veritas réalise des montages audio et vidéo à partir d’informations brutes, enregistrées sous couverture, afin de dénoncer ces méfaits.
Fondé par James O’KEEFE, un militant politique conservateur américain, Project Veritas considère que sa mission est d’enquêter et exposer la corruption, la malhonnêteté, l’égoïsme, le gaspillage, la fraude et toute autre faute, dans les institutions publiques et privées afin de parvenir à une société plus éthique et plus transparente.
Pour être totalement rassuré, sachez que cette organisation a son « brevet de complotisme », délivré par une des références en la matière : « Conspiracy Watch ». Dans le langage ordinaire, nous pouvons qualifier l’organisation « Project Veritas » de véritable lanceur d’alerte.
CE QUE L’ON NE VOIT PAS
En septembre 2021, Jodi O’MALLEY, infirmière diplômée du gouvernement fédéral et du HHS (United States Department of Health and Human Service) a rendu public des enregistrements secrets. Cette vidéo, postée par « Projet Veritas », devient rapidement virale.
En résumé, on y apprend, selon ces personnes, que les effets secondaires des injections ne sont pas rapportés aux autorités, alors que la « phase 3 » l’exige, notamment pour certifier ou non, de la non-dangerosité d’un produit. Ils mettent, en exemple, des cas de patients souffrant de différentes pathologies post-injection. Selon les affirmations de médecins filmés dans cette vidéo, on y apprend que les traitements basés sur l’ivermectine , notamment, sont proscrits sous peine de perdre leur travail.
Toujours en septembre 2021, c’est un « rapport sur les décès dus aux vaccins » qui est rendu public par « Project Veritas ».
Nouveau coup d’éclat fin janvier 2023, la publication d’une véritable bombe, par « Project Veritas ». Des informations sont dévoilées par… le directeur de la recherche et du développement chez Pfizer, Jordon TRISHTON WALKER, filmé à son insu par « Project Veritas ». Nous apprenons de bien curieuses choses : « Nous effectuons ces mutations de structures sélectionnées pour essayer de voir si nous pouvons les rendre plus puissants […] ce n’est pas ce que nous disons au public ».
Se rendant compte qu’il a été piégé par l’investigateur de « Project Veritas », Jordon TRISHTON WALKER essaie de faire intervenir, en vain, la police pour détruire l’enregistrement.
Voici, pour votre information, une autre vidéo… tout aussi « révélatrice » des pratiques des laboratoires pharmaceutiques.
CE QU’EN PENSE ALEX ANDRIN
La vérité finit, toujours par éclater.
Grâce à l’obstination des lanceurs d’alertes.
Il nous faut, sans relâche, toujours plus les aider.
Puis faire circuler, toutes leurs découvertes.
C’est en nous unissant, que nous contribuerons,
À un monde meilleur, c’est sûr, nous le pouvons.
Gardez confiance en vous. Je vous aimer et vous salue.
Source : Sérénité Patrimoniale
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