Ça m’embêtait de ne pas pouvoir donner de source sur le baby crash français évoqué dans le PS 1 de mon mail baby crash chinois.
J’ai trouvé une source, que voici (TF1 relayée par Momotchi) : https://t.me/momotchiii/4625
#France Les naissances ont atteint le point le plus bas depuis la fin de la 2e guerre mondiale. Pas un seul génie chez #LCI pour se poser des questions sur les troubles menstruels, reconnus comme liés aux vaccins Covid19 par l’EMA? https://www.tf1info.fr/societe/video-demographie-baby-crash-en-france-le-nombre-de-naissances-en-2022-au-plus-bas-depuis-1946-2245237.html
PS 1) 723.000 bébés sont nés en 2022 en France, le chiffre le plus bas depuis 1947. (Insee)
PS 2) On vaccine les poissons : vrai !
Ces dernières semaines, on a vu fleurir sur les réseaux sociaux différents messages et vidéos au sujet de la vaccination… des poissons. Information à ce point étonnante que beaucoup se demandaient si elle était fondée. Or, après quelques recherches, il apparaît incontestable que les vaccins ARNm ne concernent pas que les humains. Les poissons et…
https://www.medias-presse.info/on-vaccine-bien-les-poissons/169924/
Élisabeth
723.000 bébés sont nés en France, en 2022, a annoncé mardi l’Insee.Il s’agit du chiffre le plus faible depuis plus de 75 ans.
Moins de bébés et beaucoup plus de personnes âgées. Au 1er janvier 2023, la France comptait 68.043.000 habitants, a indiqué l’Insee dans son dernier rapport, publié ce mardi. Il s’agit d’une hausse de 0,3% sur un an, toutefois limitée par une baisse de la natalité et un niveau de mortalité élevé. 65,8 millions d’entre eux habitent en métropole et 2,2 millions dans les cinq départements d’outre-mer.
Une natalité en berne, au plus bas depuis 1946
Dans le même temps, le nombre de naissances est, lui, toujours en berne. 723.000 bébés sont nés dans l’Hexagone au cours de l’année écoulée. C’est 19.000 de moins qu’en 2021. La natalité française atteint ainsi son niveau le plus bas depuis 1946.
La baisse continue de la fécondité met en péril notre système de solidarité par répartition
Unaf
Selon l’Insee, ce recul s’explique en partie par la diminution du nombre de femmes de 20 à 40 ans, en âge de procréer. C’est surtout la conséquence de la baisse du taux de fécondité (nombre d’enfants par femme). Celui-ci, qui s’est établi à 1,80 enfant par femme en 2022 contre 1,84 en 2021, diminue graduellement chaque année depuis 2015. 2021 constitue la seule exception à cette tendance, ce qui s’explique par les répercussions de la pandémie et des confinements successifs. Par ailleurs, les femmes sont âgées de 31 ans en moyenne, lors de la naissance de leur premier enfant, contre 29,4 ans, 20 ans plus tôt.
Point positif toutefois, la France reste le pays le plus fécond de l’Union européenne (1,82 enfant par femme, en 2020, dernier comparatif possible), devant la Roumanie (1,80).
Prenant acte de la baisse de la natalité, l’Union nationale des associations familiales (Unaf) a appelé le gouvernement à relancer « la politique familiale », en améliorant notamment « l’indemnisation du congé parental » et en créant un « service public de la petite enfance ». « La baisse continue de la fécondité met en péril notre système de solidarité par répartition », a-t-elle également souligné, à l’heure où un projet de réforme des retraites suscite de fortes oppositions.
Forte mortalité et solde migratoire positif
De manière plus générale, la légère croissance démographique française est principalement liée au solde migratoire (+161.000 personnes), soit la différence entre le nombre personnes entrées et celles sorties du territoire. En effet, la mortalité est, elle, en hausse (667.000 décès en 2022, soit 5 000 de plus qu’en 2021). Elle est intimement liée au vieillissement de la population, avec l’arrivée des générations du baby-boom à un âge avancé (21,3% des habitants avaient 65 ans ou plus au 1er janvier 2023, soit 6 points de plus qu’en 2012).
De même, la pandémie s’est poursuivie au cours de l’année écoulée, avec le variant Omicron qui a provoqué des morts supplémentaires. Constat similaire avec les vagues de chaleur successives qui ont frappé l’Hexagone l’été dernier.
Source : TF1 Info
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